Du nouveau avec la tablette Pixel de Google !

Un membre de Twitter dévoile de nouvelles images de la Pixel Tablet qui confirment le design sobre et les lignes arrondies de l’ardoise siglée Google. Malgré un côté un peu passe-partout, Google destine la Pixel Tablet à devenir un véritable appareil à tout faire, un genre de Nest Hub plus polyvalent. Le membre de Twitter SnoopyTech a dévoilé des images laissant penser qu’avec la Pixel Tablet et son dock, l’accent sera mis sur les fonctionnalités et sur la sécurité des données. En observant les photos publiées par le leaker, on remarque un nouveau bouton au niveau de la tranche supérieure droite, à proximité de l’objectif photo, quand on fait face à l’écran. Selon 9 To 5 Google, il pourrait s’agir d’un bouton/glissière permettant d’obstruer physiquement la lentille ou de couper le microphone de l’appareil. Une fonctionnalité qui assurera que les utilisateurs ne sont pas écoutés ou filmés à leur insu. On note également deux longues découpes en forme de haut-parleur sur la tranche latérale droite de l’appareil. D’après le leaker, il pourrait s’agir des connecteurs pour clavier externe.     La Pixel Tablet va protéger vos données avec un bouton Google souhaite apparemment faire de la Pixel Tablet un centre de contrôle de tous les appareils de la maison. C’est la raison pour laquelle la compagnie va proposer son nouveau gadget avec un ensemble d’accessoires tels qu’un dock intégrant des enceintes audio, qui en feront un outil utilisable quotidiennement pour tous les membres de la famille, un rôle de compagnon « pour tous ». Le Nest Hub se voit peu à peu amputé de fonctionnalités fort appréciées, des enfants notamment, tout porte à croire que Google va miser favoriser la Pixel Tablet. De la future tablette signée Google, on sait pourtant peu de choses. Elle devrait fonctionner grâce à un processeur Tensor G2, celui-là même que l’on retrouve dans les Pixel 7 et Pixel 7 Pro et son écran pourrait avoir une résolution de 2560 x 1600 pixels, pour une diagonale de 11 pouces. Le stockage pourrait être de 256 Go. Des rumeurs récentes affirment que la firme de Mountain View a abandonné l’idée de présenter un modèle Pro, pour se concentrer sur une seule et unique ardoise.   Source : phonandroid

Talents africains 2023 est lancé !

Vous êtes passionné-e de bande dessinée ? L’Institut national des Beaux-arts de Tétouan (Maroc) en partenariat avec l’association Chouf organisent le concours africain de bande dessinée «Talents africains». Ce concours intervient dans le cadre de la seizième édition du Forum international de la bande dessinée de Tétouan (FIBD – Tétouan 16) programmée du 9 au 13 mai 2023. Il est ouvert gratuitement aux créateurs de bande dessinée africains, âgés de plus de 17 ans et n’ayant jamais été édités professionnellement. Chaque créateur doit envoyer une bande dessinée présentant une « histoire complète avec titre d’expression française, arabe, anglaise ou sans parole, en une, deux ou trois planches originales maximum (les sorties imprimante sont considérées comme originales), en noir et blanc ou en couleurs, en plus d’une couverture portant clairement le titre de la bande dessinée, en format A3… Le thème est libre. Tous les styles et tous les genres sont autorisés, sous réserve du respect de l’ordre public et des bonnes mœurs ». En plus de ces éléments, le créateur doit fournir sa biographie, des travaux antérieurs, croquis ou recherches, son CV. Le jury sélectionnera dix candidatures qui vont participer au concours, puis choisira 3 d’entre elles et enfin le meilleur. Les dix candidatures choisies à l’entame de la compétition feront l’objet d’une exposition dénommée «Exposition du concours Talents Africains 2023». La liste sera rendue publique au plus tard le 2 mai 2023 sur le site de l’association Chouf et ses pages officielles. Les auteurs des 3 meilleures participations recevront leurs prix lors de la cérémonie officielle du forum. NB : Les candidatures doivent être envoyées par email avant le 25 avril 2023 à l’adresse fibadet@gmail.com. Le règlement du concours est disponible ici. Source : http://chouflabd.blogspot.com/  

Digitalisation : le visa en ligne entre officiellement en vigueur au Cameroun dès le 30 avril 2023

A l’instar de plusieurs pays africains, le Cameroun a officiellement adopté l’émission du visa en ligne. Après plusieurs mois d’attente, les autorités du pays ont annoncé la date de l’effectivité de l’e-visa. A partir du 30 avril, les demandes de visas à destination du Cameroun se feront exclusivement en ligne, a annoncé le ministre des Relations extérieures, Lejeune Mbella Mbella, à travers un communiqué publié le jeudi 6 avril. Selon le communiqué, l’obtention du visa électronique requiert au préalable l’introduction d’une demande de visa à partir de la plateforme www.evisacam.cm, et ce, peu importe la zone géographique, du demandeur, selon les modalités administratives établies. La demande en ligne est suivie du paiement des frais du visa qui se fera en ligne via divers modes (Mastercard, Visa, Paypal, Mobile Money, Orange Money, Moov, Wave, Safaricom, Airtel, Vodacom, Africell).     Une autorisation de visa en ligne sera ensuite délivrée au demandeur qui pourra se rendre soit dans une mission diplomatique, soit à un poste frontière, pour obtenir véritablement le visa. Cette phase finale sera achevée par un enrôlement du demandeur consistant au prélèvement de ses empreintes digitales, de la photographie du visage et autres. Selon le communiqué, le visa est délivré dans un délai de trois jours à compter de la date de la demande en ligne. Rappelons que c’est en juin dernier que le gouvernement camerounais avait réceptionné les équipements informatiques dédiés à ce projet confié à l’entreprise Impact Palmarès R&D SAS basé à Abidjan en Côte d’ivoire. Le projet de loi actualisant le cadre juridique avait quant à lui été déposé à l’Assemblée nationale le 2 juillet. Le décret qui actualise les conditions d’entrée, de séjour et de sortie des étrangers qui séjournent au Cameroun avait été signé le mois dernier par le président de la République, Paul Biya. Cette réforme prescrite par le président de la République constitue la première étape vers la transformation numérique de l’appareil diplomatique du Cameroun. A en croire le ministre des Relations extérieures, « le système e-visa au Cameroun répond au souci de rendre la destination Cameroun plus attentive, de répondre aux doléances de la diaspora camerounaise d’arrimer notre système consulaire aux standards internationaux en la matière ».

La Guinée se prépare à  mettre sur pied un village 100 % numérique dédié à  la formation professionnelle

Un village numérique imminemment attendu du côté de la Guinée. Le budget des travaux  y afférents s’élève à hauteur de 10 millions de dollars. Annonce faite lundi 20 mars 2023 par le ministre de l’Enseignement technique, de la Formation professionnelle et de l’Emploi, Alpha Bacar Barry. C’était à l’occasion de l’ouverture officielle d’un atelier portant sur le projet de « transformation de l’Ecole nationale des postes et télécommunications de Kipé, en Ecole nationale du numérique ». Le projet sera soutenu par le Fonds des Nations unies pour l’enfance (UNICEF), l’Agence française de développement (AFD), l’Agence de coopération internationale allemande pour le développement (GIZ), le Programme des Nations Unies pour le développement (PNUD). Pour Alpha Bacar Barry, ministre l’Enseignement technique, de la Formation professionnelle et de l’Emploi, ce projet vise non seulement à impliquer toutes les générations mais aussi à mettre à leur disposition des infrastructures adéquates.     « Nous voulons construire un village pour prendre en charge la question du numérique, du jardin d’enfant à l’université. Mais pas seulement des parcours de formation. Nous voulons également mettre en place des infrastructures pour l’accueil, l’encouragement, la formation continue, le renforcement des capacités, le laboratoire, le financement pour l’ensemble des parties prenantes du numérique en Guinée », a déclaré Alpha Bacar Barry. Le village comprendra des profils de formations, des incubateurs, des laboratoires, des salles de formation et des espaces de coworking pour développer le digital made in Guinée. Source : DIGITAL Business Africa

5 astuces pour préserver la durée de vie de votre ordinateur

A l’occasion du Digital Cleanup Day, journée de sensibilisation sur la pollution numérique, l’entreprise Okamac, du groupe Sens Technologies, a énuméré quelques astuces pour prolonger la durée de vie de son ordinateur. Il s’agit de : 1/ Ne pas descendre en dessous de 10 % de batterie. Une batterie déchargée s’endommage plus rapidement : il est ainsi préférable de maintenir le niveau de charge entre 20 et 80 %. 2/ Réduire les tâches et outils non-utilisés (fenêtres, logiciels, programmes, clés USB) Cette action permet de réduire la consommation en puissance de traitement (RAM), qui peut ralentir inutilement le navigateur et d’autres applications de bureau. 3/ Ne pas laisser son ordinateur branché en continu, notamment la nuit.Débrancher son ordinateur portable lorsqu’il est pleinement chargé permet à la fois de réduire sa consommation d’électricité et de ralentir l’usure de la batterie. En effet, un appareil éteint mais branché continue de consommer 70 watts/heure (Ademe). 4/ Privilégier un support dur pour poser son ordinateur, afin de ne pas obstruer les ventilateurs Lorsque l’ordinateur est situé sur un support mou, il risque de s’enfoncer dans un creux, obstruant ainsi les fentes de ventilation sur les côtés. La surchauffe oblige l’ordinateur à consommer encore plus pour rafraîchir son système, accélérant son usure. 5/ Nettoyer régulièrement son système L’accumulation de fichiers, de données de recherche ou d’applications sollicite fortement le disque dur et empêche l’installation de mises à jour parfois nécessaires au bon fonctionnement des logiciels. Il est donc essentiel de le désencombrer des données inutiles : préserver au moins 20% d’espace libre offre un fonctionnement optimal. Source : Digitalbusiness.africa

AVIS DE CONSULTATION RELATIF A LA FOURNITURE ET A L’INSTALLATION DU MATERIEL INFORMATIQUE A L’ANRP

1.Objet Le Directeur Général de l’Agence Nationale de Radioprotection lance un avis de consultation relatif à la fourniture et à l’installation du matériel informatique au siège de l’Agence Nationale de Radioprotection, en un lot unique. 2.Consistance des prestations Les prestations de la présente consultation, consistent en la fourniture et à l’installation du matériel informatique. Les informations complémentaires y afférentes sont  contenues dans les spécifications techniques. 3.Cout Prévisionnel Le coût prévisionnel de l’opération à l’issue des études préalables est de seize millions (16 000 000) francs CFA 4.Allotissement Ce marché est constitué d’un  lot unique. 5.Participation et origine La participation à la présente consultation est ouverte aux entreprises Camerounaises, exerçant dans le domaine de la fourniture du matériel informatique. 6.Financement Les  prestations objet   du   présent   appel   d’offres sont financées par le Budget d’Investissement Public de l’ANRP, exercice 2023, sur la ligne d’imputation 22 23 00. 7.Consultation du Dossier Le dossier physique peut être consulté aux heures ouvrables à l’ANRP, Service du Budget, du Matériel et du Patrimoine, BP 33732,  téléphone 222 203 371, et la versionélectronique sur la plateforme COLEPS disponible aux adresses http://www.marchespublics.cm et http://www.publiccontracts.cm  dès publication du présent avis. 8.Acquisition du Dossier Le dossier peut être obtenu àl’ANRP, Service du Budget, du Matériel et du Patrimoine, BP 33732,  téléphone 222 203 371, dès publication du présent avis, contre versement d’une somme  non  remboursable  de  vingt-cinq mille (25 000) francs CFA, payable dans le compte spécial CAS-ARMP N°335988 ouvert à la BICEC.Il est également possible d’obtenir le DAO par téléchargement gratuit sur la plateforme COLEPS disponible aux adresses sus indiquées pour la version électronique. Toutefois, la soumission en ligne est conditionnée par le payement des frais d’achat du DAO 9.Remises des offres Chaque offre est rédigée en français ou en anglais.–      Pour la soumission hors ligne, l’offre en sept (07) exemplaires dont un (01) original et six (06) copies marquées comme telles, devra parvenir au Service du Budget, du Matériel et du Patrimoine de l’ANRP, BP 33732,  téléphone 222 203 371, au plus tard le 20 avril 2023 à  12 heures et devra porter la mention :« AVIS DE CONSULTATION N°0002/DC/ANRP/CIPM/2023  DU 20 MARS 2023 RELATIF A LA FOURNITURE ET A L’INSTALLATION DU MATERIEL INFORMATIQUE A L’AGENCE NATIONALE DE RADIOPROTECTION (ANRP). A n’ouvrir qu’en séance de dépouillement »–       Pour la soumission en ligne, l’offre devra être transmise par le soumissionnaire sur la plateforme COLEPS au plus tard le 20 avril 2023 à 12 heures. Une copie de sauvegarde de  l’offre enregistrée sur clé USB ou CD/DVD devra être transmise sous pli scellé avec l’indication claire et lisible « copie de sauvegarde », en plus de la mention ci-dessus dans les délais impartis.     10.Delai de Livraison Le délai de livraison est fixé à deux (02) mois à compter de la date de notification de l’ordre de service de commencer la prestation. 11.Cautionnement Provisoire Chaque soumissionnaire doit joindre à ses pièces administratives,  une  caution  de  soumission  établie par  une  banque  de  premier  ordre  agréée  par  le Ministère chargé des finances et dont la liste figure à la dernière page du Dossier de Consultation,  d’un montant de trois cent-vingt mille (320 000) francs CFA   et   valable pendant  trente  (30)  jours  au-delà  de  la  date  (limite) de validité des offres. 12.Recevabilité des Offres Sous peine  de  rejet,  les  pièces du dossier administratif requises doivent être produites en originaux ou en copies certifiées conformes par le service  émetteur ou autorité administrative compétente,  conformément  aux  stipulations du Règlement Particulier de l’Appel d’Offres. Elles doivent dater de moins de trois (03) mois  ou avoir été établies postérieurement à la date de signature de l’avis de consultation. Toute offre incomplète conformément   aux   prescriptions  du  Dossier  d’Appel  d’Offres  sera déclarée  irrecevable.  Notamment  l’absence  de  la caution de soumission délivrée par une banque de premier  ordre  agréée  par  le  Ministère  chargé  des Finances ou le non-respect des modèles des pièces du Dossier d’Appel d’Offres, entraînera le rejet pur et simple de l’offre sans aucun recours.  13.Ouverture des Plis L’ouverture de plis se fera en un temps le 20 avril 2023 à 13 heures par la Commission Interne de Passation des Marchés dans la salle de réunions de l’ANRP, sise à Yaoundé (siège de l’ANRP, quartier EMIA).Seuls les soumissionnaires ou leurs représentants dûment mandatés et ayant une parfaite connaissance du dossier peuvent assister à cette séance d’ouverture. 14.Critères d’évaluation L’évaluation des offres se fera en trois étapes :Première étape : vérification de la conformité des pièces administratives de chaque soumissionnaire ;Deuxième étape : évaluation technique des offres administrativement conformes ;Troisième étape : analyse des propositions financières des soumissionnaires dont les offres ont été reconnues techniquement et administrativement conformes.Critères éliminatoiresIl s’agit notamment:–       Absence ou non-conformité d’une pièce administrative 48 heures après l’ouverture des plis ;–       Fausse déclaration ou pièces falsifiées ;–       Absence d’un prix unitaire quantifié;–       Absence de la caution de soumission à l’ouverture des plis (article 92 du Code des Marchés Publics);–       Non-conformité aux spécifications techniques du dossier de consultation ;–       Non-conformité du modèle de soumission ;–       Non-conformité du mode de soumission ;–       Non-respect du format de fichier des offres ;–       Absence de la copie de sauvegarde en cas de dysfonctionnement de la plateforme COLEPS (pour les candidats qui ont soumissionné en ligne). 15.Attribution A l’issue de l’analyse financière, le soumissionnaire dont l’offre est conforme pour l’essentiel aux prescriptions du descriptif technique et qui présente l’offre de prix la moins disante sera retenu.  16.Durée Validité des Offres Les soumissionnaires restent engagés par leur offre pendant  quatre-vingt-dix (90) jours  à partir de la date limite fixée pour la remise des offres 17.Renseignements Complémentaires Les renseignements complémentaires peuvent être obtenus aux heures ouvrables au siège de l’Agence Nationale de Radioprotection (ANRP), Service du Budget, du Matériel et du Patrimoine (SBMP), BP 33732 Yaoundé, téléphone : 222 203 371, fax : 222 203 370, e-mail : officialmail@anrp.cm,ou en ligne sur la plateforme COLEPS aux adresses :  http://www.marchespublics.cm et http://www.publiccontracts.cm Source : ARMP

High Tech : Le robot Omeife approuvé par le gouvernement nigérian

Un protocole d’accord a été signé le 11 mars dernier entre l’Agence nationale de développement des technologies de l’information (NITDA) et Uniccon, la société qui a développé Omeife. Ce protocole, qui marque l’adoption du robot humanoïde « Omeife » par le gouvernement fédéral, s’inscrit dans la politique d’alphabétisation numérique de la NITDA. En quoi consiste cette politique d’alphabétisation numérique ? Le Nigéria entrevoit d’accroitre le niveau d’alphabétisation numérique sur son territoire d’ici à 2030. Pour ce faire, la vision du gouvernement est de collaborer avec les jeunes nigérians qui ont choisi de se spécialiser dans le domaine de l’intelligence artificielle en particulier et des technologies de manière globale. L’objectif sous-jacent est celui de mettre à profit leur génie pour le développement du pays. « L’idée générale du projet est que nous voulons tirer parti d’Omeife pour renforcer la culture numérique au Nigeria. L’idée est d’utiliser le robot de la même manière que les gens utilisent ChatGTP pour obtenir des conseils, des instructions… », a déclaré Yau Isa Garba, le directeur du Centre national pour l’intelligence artificielle et la robotique de la NITDA.     Que représente Omeife ? Omeife est considérée comme le premier robot humanoïde d’Afrique. Elle parle plusieurs langues, intègre les cultures africaines et comprend le langage corporel humain. Développée par la start-up Uniccon, appartenant à un jeune nigérian, elle a été présentée lors du Gitex, le salon mondial de l’innovation technologique tenu à Dubaï en octobre dernier. Source : www.wearetechafrica   Vanessa Ntoh

Le Congrès Mondial du mobile édition 2023 s’est tenu à  Barcelone !

Organisé par le Group Special Mobile Association (GSMA), le Mobile World Congress 2023, a réuni plus de 2000 entreprises à Barcelone du lundi 27 février au jeudi 02 mars 2023. Ce congrès a permis à de nombreux participants de présenter les dernières tendances en matière de téléphonie mobile (notamment la connexion 5G), de cloud, d’intelligence artificielle, de fintech, c’est-à-dire les startups qui se servent de la technologie pour optimiser la finance. Les pays africains ont saisi cette opportunité pour découvrir des innovations et échanger autour de leurs stratégies digitales respectives. C’est le cas de la Cote d’Ivoire, du Tchad, de l’Ouganda, du Sénégal, de la Tunisie entre autres.     Moussa Bocar Thiam, ministre de la Communication, des Télécommunications et de l’Economie numérique, a présenté la stratégie nationale sénégalaise de développement du numérique à l’horizon 2035. Il a en outre exprimé le souhait pour son pays d’établir des relations de partenariat avec les géants de la téléphonie mobile présents : Nokia, LG, Sony, Samsung entre autres. Egalement, les ministres ivoirien et tchadien en charge de l’Economie numérique ont partagé leur expérience en matière de stratégie digitale et d’innovation technologique. La Tunisie quant à elle s’est démarquée en exposant son savoir-faire dans les solutions de paiement, le marketing digital, le cloud, le contrôle et le monitoring des réseaux mobiles. Le GSMA a pour mission de représenter les intérêts des opérateurs de téléphonie mobile dans le monde entier, en réunissant plus de 750 opérateurs et 400 entreprises environ de l’écosystème mobile au sens large. Source : Digitalbusinessafrica   Vanessa Ntoh

Saviez-vous que les sites en « .ai » sont la propriété de l’ile d’Anguilla ?

Les sites en « .ai », de plus en plus prisés par le secteur de l’intelligence artificielle, rapportent gros à… l’île d’Anguilla, dont c’est le nom de domaine officiel sur Internet, a indiqué à l’AFP un des gestionnaires de cette extension. En effet, les deux lettres « .ai » ne font pas référence aux initiales « intelligence artificielle » en anglais, mais à ce territoire britannique des Caraïbes, qui comme tout pays ou territoire dispose d’une extension nationale qu’il gère à sa guise. Mais le secteur de l’IA, en plein essor, s’est emparé de ce nom qui évoque son secteur, et de plus en plus d’entreprises achètent des sites en « .ai ». Pour Anguilla, qui les facture 60 dollars par an et a augmenté ses prix, les recettes mensuelles ont doublé ces six derniers mois, a précisé Vince Cate, gestionnaire technique du nom de domaine de l’île. Anguilla ne demande aux acheteurs aucune preuve de lien avec son territoire.     Le « .ai » représente la troisième source de revenus pour le gouvernement de l’île. « Au rythme de croissance actuel, je pense qu’il représentera sa deuxième source fin 2023 et à terme sa première », a estimé M. Cate, sans en préciser le montant. Mathématiquement, à 60 dollars par an, cela signifie un revenu de l’ordre de 10 millions de dollars par an. « Il existe deux sortes d’extensions, celles en deux lettres qui correspondent à un pays ou à un territoire et les noms génériques qui représentant un secteur » , explique Pierre Bonis, directeur général de l’Afnic, qui gère le domaine « .fr ». « C’est un détournement de l’utilisation d’un nom de domaine national », a-t-il souligné, citant d’autres cas similaires ces dernières années. Ainsi le « .tv » utilisé par les chaînes de télévision mondiales est en réalité le nom de domaine des îles Tuvalu, un archipel polynésien. Le « .io » a été adopté par des développeurs qui y voient les initiales input/output, abréviation courante en informatique, alors qu’il s’agit du domaine Indian Ocean, appartenant à une île britannique au milieu de l’océan Indien. « C’est une pratique qui existe pour les petits pays. Mais le prix du ‘.ai’ est élevé – en comparaison, l’Afnic facture le ‘.fr’ 4,56 euros – et n’a pas vocation à devenir massif », selon M. Bonis. Source : La libre

Challenge App Afrique : les dix finalistes de la 7e édition sont connus !

Le jury de la 7e édition du Challenge App Afrique a livré son verdict. Les dix candidatures sélectionnées viennent du Cameroun, du Rwanda, du Bénin, de RDC, de Tunisie et du Maroc. Débutée le 10 novembre 2022, la septième édition du Challenge App Afrique dévoile ses dix premiers lauréats. L’idée consistait cette année à imaginer le service numérique qui contribuera au développement de l’agriculture durable. Plus de 800 projets ont été reçus et dix ont été sélectionnés pour poursuivre l’aventure. Les finalistes sont invités à peaufiner leurs projets afin d’espérer être le grand lauréat d’une dotation de 15 000 euros.     Les projets retenus sont les suivants : • Rabeb Fersi (Tunisie) : Crop’s Talk est une application mobile de conseil agricole ayant pour but d’aider les petits agriculteurs à améliorer leur productivité et leur résilience face aux changements climatiques. • Samantha Ruzibiza (Rwanda) : Bazafarm, qui signifie littéralement « demander à votre ferme », est un dispositif de surveillance en temps réel de la qualité du sol. • Finagnon Robert Agbovoedo (Bénin) : Ki@foret est une plateforme qui permet de lier les ramasseurs des produits forestiers non ligneux et les commerçants en leur fournissant au plus offrant. • Mbumba Lapaque (RDC) : MukulimaSoko est un centre digital et physique de négoce et de rénovation offrant plusieurs services aux acteurs agricoles : un espace e-commerce et un espace d’entraide phytosanitaire proposant aux experts de partager leur savoir et aux agriculteurs d’alerter sur les aléas agricoles apparus dans leurs plantations. • Adamou Nchange Kouotou (Cameroun) : OGPM (Outil de Gestion de Projet agricole) est une plateforme numérique constituée de deux applications : une application mobile qui sert à collecter des informations d’analyse de risques techniques agricoles, et une application web recommandant les meilleures décisions de crédit agricole et facilitant le suivi technique et commercial de la production des cultivateurs. • Lucien Medjiko (Bénin) : E-Pinea est une application mobile qui connecte les producteurs d’ananas aux potentiels acheteurs par le biais d’une carte dynamique permettant de localiser les champs d’ananas et de visualiser en temps réel leur état de maturité. Elle propose également un espace de commerce en ligne qui permet aux transformateurs et aux fournisseurs d’exposer et de vendre des produits dérivés de l’ananas et services associés. • Chris Ayale (RDC) : Kivugreen est une plateforme numérique qui permet aux petits agriculteurs d’avoir des informations techniques comme la météo, le prix du marché et les conseils agricoles – et qui leur donne accès au marché. • Mounir Jamaï (Maroc) : Daki Farm est un écosystème d’applications composé du Daki Farm e-learning, permettant de suivre des formations agricoles digitalisées en langue locale et du Daki Farm Smart Irrigation permettant d’irriguer des cultures en fonction des besoins des plantes et des conditions météo. • Jean Gilbert Soh Ndeh (Cameroun) : Initialement conçu pour assurer la traçabilité et la gestion des produits bois de la forêt, Pallitracks est une application numérique qui a pour but de s’adapter également aux produits agricoles. • Pyrrus Oreste Kouoplong Koudjou (Cameroun) : Clinicagro est une application qui propose des diagnostics approfondis de sols et des maladies que peuvent subir les végétaux. Il permet d’obtenir également divers indicateurs techniques liés au sol. Lancée par RFI, France 24 et leurs partenaires Digital Africa, CIRAD, IRD, AIMS, 10 000 codeurs et Fanaka & Co, la septième édition du Challenge App Afrique a pour objectif de récompenser les innovations numériques permettant d’améliorer l’agriculture durable en Afrique. Source : France24  

Google et Meta, sommées de restreindre les informations diffusées à  la veille des élections présidentielles nigérianes !

Les autorités nigérianes, en prélude aux élections prévues le 25 février prochain, ont demandé aux plateformes de surveiller le contenu diffusé afin de ne pas alimenter des tensions au sein de l’espace public nigérian. Le 3 février dernier, Lai Mohammed, ministre de l’information, a rencontré les représentants de Google (le moteur de recherche sur internet) et Meta (la maison-mère du réseau social Facebook) à Abuja. L’objectif visé était de les inviter à surveiller le flux d’informations émanant de leurs plateformes afin d’éviter que « des personnes mal intentionnées publient de faux résultats et ne créent des tensions », apprend t-on du journal Ecofin. Ce dernier a invité les deux groupes à collaborer avec les services de sécurité afin de supprimer les informations susceptibles d’inciter à la violence émanant des divers acteurs de la scène politique, et des internautes en général.     Il faut souligner que l’action de veille effectuée par les autorités nigérianes va au-delà des deux plateformes citées. De manière générale, l’Etat à travers l’agence de régulation de l’audiovisuel (National Broadcasting Commission) a interpellé les médias au sujet du contenu haineux et des informations mensongères ou délibérément biaisées. A cet effet, Arise News TV et TVC, deux chaines locales, ont reçu une amende de 4300 $ chacune pour avoir enfreint le code national de la radiodiffusion lors de la couverture des campagnes électorales. Source : Agence Ecofin   Vanessa Ntoh

Installer android 14 sur votre smartphone en quelques clics

Google a mis en accès libre la première version de l’android 14, qui correspond à la dernière version du système d’exploitation (android) de ses smartphones en cours de développement. Selon le magazine phonandroid, quelques nouveautés sont annoncées. « On sait notamment qu’Android 14 va bloquer l’installation des applications qui ne sont plus mises à jour, ou encore qu’il sera capable de transformer son smartphone en webcam ». En attendant la version finale de l’android 14, il est possible de prévisualiser cette dernière version, notamment sur les smartphones Pixel. Comment le faire ?     Les étapes à suivre Voici quelques points à suivre : S’assurer que votre téléphone est compatible avec android 14 Pour l’instant, les modèles compatibles sont : Pixel 4a, Pixel 4a 5G, Pixel 5, Pixel 5a, Pixel 6, Pixel 6 Pro, Pixel 6a, Pixel 7, Pixel 7 Pro. Télécharger la version correspondante à votre série de téléphone Préparer votre téléphone à l’installation Il s’agit d’activer le mode développeur d’android, en allant dans Paramètres → À propos du téléphone → Information sur le logiciel → Cliquez 7 fois sur Numéro de version → Sortir → Paramètres → Options de développement → Débogage USB (activer). Installer l’outil ADB (Android Debug Bridge) sur son ordinateur portable Cet outil permet de communiquer avec l’android et facilite l’installation et le débogage d’applications mobiles dans l’Android à partir de son ordinateur Windows ou Mac (selon votre appareil). Installer la Preview Developer téléchargée sur votre appareil. Pour en savoir plus ou trouver les fichiers d’installation, cliquez ici.

L’AFD Digital Challenge 2023 est lancé !

« Culture et créativité : un avenir numérique », tel est le thème de la sixième édition de l’AFD Digital Challenge, un concours dédié aux start-up et associations numériques évoluant dans le secteur des industries culturelles et créatives en Afrique. Le numérique pour un avenir durable Le groupe AFD continue de renforcer son soutien aux start-up et aux acteurs du numérique africain pour la sixième année consécutive. Depuis 2016, l‘AFD Digital Challenge a pour objectif annuel d’identifier ces projets, de les valoriser et d’accélérer leur développement. Cette ultime édition de l’AFD Digital Challenge est dédiée au numérique mis au service des Industries Culturelles et Créatives. Les Industries Culturelles et Créatives (ICC) ne sont pas que le lieu du divertissement, elles constituent aussi un levier majeur de développement économique et social. Le rôle de ces industries dépasse leur simple potentiel en matière de création de richesses, puisqu’elles participent activement à renforcer la cohésion sociale, l’inclusion, la valorisation des cultures africaines et d’émancipation des citoyens et citoyennes. Grâce au numérique, le secteur culturel et créatif dispose d’un énorme accélérateur pour soutenir la reprise et favoriser la création d’opportunités économiques pour la jeunesse africaine. Dans ce contexte, l’entrepreneuriat créatif doit être valorisé dans les stratégies de développement économique portées par les pays africains, avec le potentiel de transformer la créativité et le capital humain en une croissance et un développement durable.     Les Industries Culturelles et Créatives regroupent les secteurs d’activité ayant comme objet principal la création, le développement, la production, la reproduction, la diffusion ou la commercialisation de biens, de services et activités à contenu culturel, artistique et/ou patrimonial. Un accompagnement sur-mesure à la clé Les 10 projets lauréats bénéficieront d’un accompagnement financier, mais aussi d’un appui pour accélérer leur projet et participer au développement de la culture et la créativité à travers l’innovation technologique et numérique en Afrique. Ils seront accompagnés par l’AFD au travers d’un « pack accélération » alliant appui technique et appui financier d’un montant pouvant aller jusqu’à 45 000€. Phases de sélection ● Une phase d’examen des dossiers de candidature, validant l’admissibilité des candidats et pré-sélectionnant 30 start-up et associations sur la base d’une analyse des projets, de leur caractère innovant, de leur modèle économique, de leur impact et de la place qu’y tient le numérique ; ● Une phase d’analyse approfondie par les experts de l’AFD des projets pré-qualifiés ; ● Une sélection finale par le jury composé d’experts de l’AFD. ● Annonce des résultats le vendredi 19 mai 2023. Les candidatures sont attendues jusqu’au 24 février 2023, et doivent etre déposées sur cette page. Source : www.socialnetlink.org

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