Apple, contraint de verser 50 millions de dollars à  des utilisateurs de MacBook

Apple est connu pour ses produits aux finitions réussies et à la fiabilité à toute épreuve. Mais pendant quelques années le MacBook a connu des déboires avec un composant essentiel. Résultat : un recours collectif a été lancé contre la firme de Cupertino. Des claviers papillon qui ne font pas l’unanimité Apple vient d’accepter un accord lors d’un recours collectif, les obligeant à verser 50 millions de dollars à certains clients. En cause ? Le design “révolutionnaire” des claviers sur les MacBook de 2015 à 2019. En 2015 sort le premier MacBook 12 pouces (plus fin qu’un MacBook Air). Cette finesse est la raison pour laquelle Apple a dû désigner un nouveau clavier pour qu’il puisse rentrer dans le châssis extrêmement fin. Les touches sont passées du système classique en “ciseau” à des touches “papillon”. Cela a permis de réduire la hauteur des touches et la distance à parcourir pour celles-ci avant d’effectuer une action. Ce nouveau clavier fut ensuite porté au nouveau design de MacBook Pro en 2016 et au MacBook Air de 2018 et 2019. Le problème de ce clavier est qu’avec une distance de frappe si courte, une simple poussière pouvait bloquer une touche. Dès la première année, les signalements se sont accumulés. Mais après avoir investi autant dans ce clavier, Apple a préféré ignorer le problème. Sauf qu’avec le nombre croissant de plaintes, la firme s’est vue obligée de réagir. Ils ont alors mis en place un service de réparation dédié aux claviers. Sans jamais reconnaître que le design ne fonctionnait pas. À partir de là, la stratégie a été de payer les réparations qui leur coûtait moins chers, que de changer le clavier dans tous ses futurs MacBook. Surtout que le service de réparation remplace le clavier “papillon”, par un clavier “papillon”. Résultat, le problème reviendra… Un recours collectif initié  Un recours collectif a alors été lancé pour demander un dédommagement pour avoir continué à fabriquer un produit qui était défaillant de base. Finalement, cela n’ira pas jusqu’au procès. Apple a préféré payer 50 millions de dollars pour régler le problème à l’amiable. Les clients recevront ainsi une part de cette somme, tandis que le reste ira au cabinet d’avocat : -Jusqu’à 395 dollars par MacBook pour ceux qui ont remplacé plusieurs claviers.-Jusqu’à 125 dollars pour le remplacement d’un clavier.-Jusqu’à 50 dollars pour le simple remplacement de touches. Les 15 millions de dollars restant iront quant à eux au cabinet d’avocat qui a défendu l’affaire. Ce dédommagement ne s’applique malheureusement pas aux consommateurs français. Pour être éligible, il faudra avoir acheté son MacBook entre 2015 et 2019 dans l’un de ces 7 États : Californie, Floride, Illinois, Michigan, New Jersey, New York et Washington. Finalement, Apple se retrouve encore une fois à payer et à ne pas admettre ses erreurs. La firme a refusé tout commentaire à la presse internationale. Aucun communiqué n’a été publié pour justifier la décision de conserver un clavier qui était défaillant de façon flagrante. Depuis 2019 les nouveaux MacBook sont revenus à l’ancien système de touche en “ciseau”. Il s’agissait probablement simplement du MacBook 12 pouces qui nécessitait un nouveau clavier. Depuis longtemps Apple aurait pu passer à la génération précédente. Source : www.jeuxvideo.com

L’industrie musicale africaine pourrait-elle tirer parti du digital ?

(SIMA 2022) – L’industrie musicale africaine a généré plus de 17 milliards de dollars hors concerts en 2017. Depuis lors, le marché a davantage explosé. En Afrique francophone seulement, on compte environ 400 millions de potentiels consommateurs de musique dont 65% ont moins de 25 ans. Le taux de pénétration d’Internet sur le continent qui est aujourd’hui de 22% selon la Banque mondiale, devrait impulser encore plus les revenus du secteur.  Les pays africains doivent donc renforcer leurs actions de sensibilisation en faveur du développement de l’industrie musicale, non seulement chez les professionnels du domaine, mais aussi chez les acheteurs. Dans ce sens, le Salon des industries musicales de l’Afrique francophone (SIMA), qui se tiendra du 17 au 18 novembre 2022 à Abidjan, souhaite contribuer au développement et à la structuration du secteur. De nombreux spécialistes d’ici et d’ailleurs viendront nourrir la réflexion des acteurs du domaine et dégager des pistes de solutions concrètes quant à la possibilité pour la musique africaine en général et celle de la zone francophone en particulier de tirer pleinement profit de la digitalisation.  Lors de ce Salon, il s’agira, par exemple, d’évoquer la question du streaming et de la croissance du taux d’utilisation des services de paiement mobile qui boostent la consommation des œuvres musicales africaines sur la scène internationale. Avec un chiffre d’affaires de 71 millions de dollars en 2021 et une prévision de 314 millions de dollars en 2026, c’est une évidence. Diffusion rapide de la musique à l’échelle mondiale, coûts de distribution réduits pour les artistes qui veulent distribuer leurs œuvres eux-mêmes, sont entre autres les avantages de cette nouvelle possibilité de consommation de la musique. En la matière, les pays anglophones du continent ont, de façon positive, donné le la. Ainsi, au Nigeria qui affichait déjà un chiffre d’affaires de 47 millions de dollars en 2014, la digitalisation de l’industrie musicale a permis à de nombreux artistes d’éclore. Davido, Burna Boy, Tiwa Savage, Wizkid et bien d’autres cumulent des millions d’écoutes de leurs différents tubes sur des plateformes disponibles sur Internet. Ces grands noms de la musique engrangent des dollars, faisant d’eux des millionnaires. En Afrique du Sud, au Kenya et dans bien d’autres pays d’Afrique anglophone, les industries musicales se professionnalisent de plus en plus et semblent tirer pleinement profit de la digitalisation. L’Afrique francophone devrait s’en inspirer. Dans des pays tels que la Côte d’Ivoire où l’industrie a un potentiel indéniable, la digitalisation a de beaux jours devant elle. Selon les chiffres de l’Autorité de Régulation des Télécommunications de Côte d’Ivoire (ARTCI), le taux de pénétration de l’internet mobile au 31 mars 2022 était de 82,7% et celui de la téléphonie mobile était, à la même date, de 166,5%. Des chiffres qui confortent dans l’idée que tout est propice à l’émergence d’une industrie musicale prospère. Les géants du marché de la musique à la demande ont perçu le potentiel du continent et sont en train de s’installer sur ce dernier. En effet, de grandes entreprises internationales de distribution de musique en ligne ont ouvert des représentations dans de nombreux pays. C’est le cas notamment de Spotify qui, en 2021, a annoncé son entrée dans 40 pays d’Afrique. Deezer, Apple Music, Tidal…les autres grands distributeurs de musique en ligne ne sont pas moins présents sur le marché africain.     A côté d’eux, des acteurs locaux revendiquent aussi leur droit à percer le marché. Iroking, Tigo, Simfy Africa ou encore Mdundo s’activent à gagner des parts de marché. Comptons également Boomplay qui a ouvert officiellement ses bureaux en Côte d’Ivoire en juin dernier. Ces plateformes offrent la possibilité à leurs abonnés de souscrire des abonnements gratuits et premium. Toute cette dynamique commerciale permettra à l’industrie musicale africaine de générer de l’argent qui profitera aux acteurs du secteur. L’Afrique francophone sera dans quelques années l’un des plus grands marchés au monde de la diffusion de musique en continu. Nous devons tous nous préparer à être à la hauteur de cet avenir radieux. De la réflexion, des concertations et des actions en synergie sont nécessaires et des rencontres comme le SIMA répondent à ce besoin. La perspective d’une digitalisation réussie de l’industrie musicale de l’Afrique francophone ne peut se réaliser sans l’apport considérable de la diaspora africaine établie dans les pays occidentaux. Celle-ci, en plus d’avoir la culture de l’achat de musique en ligne, bénéficie de toutes les commodités numériques et technologiques pour accéder facilement aux œuvres musicales. Il faut désormais mettre davantage à disposition les albums des artistes africains sur des plateformes internationales comme Deezer, Spotify, Apple Music, etc. qui comptent chaque mois des centaines de millions d’écoutes et de téléchargements légaux. N’oublions pas non plus que la digitalisation de la musique africaine a un impact positif sur la visibilité d’artistes encore méconnus. Facebook, Tik Tok, Instagram, YouTube, Triller, etc., sont des réseaux sociaux où ces derniers peuvent faire montre de leurs talents. Rien que sur Facebook, en 2018, on dénombrait plus de 200 millions d’abonnés africains sur une population de près de 1,2 milliards d’habitants. Cela correspond à 17% de la population totale et 48.7% des internautes africains. Une véritable opportunité de visibilité. Autre exemple : l’application Tik Tok, qui est devenue aujourd’hui un réel tremplin pour des artistes émergents. Ces dernières années, le réseau social chinois s’est imposé comme un acteur incontournable dans l’industrie musicale. Reprises par des millions d’abonnés sur TikTok, de nombreuses chansons sont ensuite devenues virales sur les plateformes de streaming.  L’industrie musicale est un excellent moyen de valoriser et développer le continent africain, tant sur le plan économique qu’en termes de développement durable. L’Afrique francophone a l’opportunité de valoriser ce secteur grâce au digital et ainsi briller à la hauteur du talent de ses artistes.   Source : Agence Ecofin

Le top 5 des pays sources de menaces informatiques dans le monde selon Kaspersky

Selon le dernier rapport publié en juillet par Kaspersky, les cinq premiers pays d’o๠proviennent le plus les attaques et menaces informatiques sont les suivants : les à‰tats-Unis (34,9 % des menaces), les Pays-Bas (33,63 %), l’Allemagne (9,18 %), la France (1,44 %). La Russie se trouve au cinquième rang avec 1,33 % des attaques. Ces chiffres émanent de la base de données de Kaspersky, et précisément des serveurs à  partir desquels les différentes cyberattaques sont localisées. Cette base de données s’enrichit au fil des menaces qu’enregistrent les solutions de protection antivirus de la marque Kaspersky. Sur la base des informations reà§ues lors de l’analyse de ces menaces, l’entreprise produit des statistiques qui sont publiées trimestriellement.     L’Asie centrale et l’Europe, les régions les plus touchées par les diverses menaces La menace la plus répandue est celle des malware en ligne. Il s’agit de logiciels malveillants (vers, cheval de Troie, ransomware, spyware, adware, scareware, etc) qui se propagent dans l’ordinateur après que l’utilisateur ait téléchargé une application ou un fichier infecté de manière inconsciente. Les pays les plus touchés par ce type de virus informatique c’est l’Ukraine (40,9 %), la Moldavie (39,9 %), la Grèce (39,8 %), les Philippines (39,6%) entre autres. Hors du réseau internet, la menace la plus populaire est celle des virus qui se transmettent via les matériels informatiques tels que les clés USB, les DVD ou cartes SD. L’Asie centrale bat le record avec le Turkménistan (55,5 %), le Tadjikistan (54,1 %) et l’Ouzbekistan (49,9 %) suivie par l’Asie du Sud à  travers l’Afghanistan (51,8 %) et le Moyen-Orient avec le Yémen (51,6 %). Source : www.jeuxvideo.com   Vanessa Ntoh

Des bourses offertes aux africains par l’Université de Pretoria

Afin de rendre l’Afrique plus réactive aux nouvelles réalités du droit international, l’Université de Pretoria à travers son centre des droits de l’homme lance un master sur le commerce et l’investissement. La formation d’un an est accessible via une bourse ou un autofinancement. Le Centre pour les droits de l’homme de l’Université de Pretoria, en Afrique du Sud, en partenariat avec l’Université Makerere en Ouganda, l’American University Washington College of Law aux Etats-Unis et les universités d’Amsterdam et Erasmus de Rotterdam, aux Pays-Bas, a ouvert les candidatures pour un programme de bourses d’études dans le cadre de son cours de niveau master en droit du commerce international et investissement en Afrique. Il s’agit d’un programme d’enseignement supérieur et de formation axé sur l’Afrique avec une exposition complète au monde international du commerce et de l’investissement. Il est ouvert à tous les Africains titulaires d’une licence en droit et autres domaines connexes. Les candidats doivent avoir d’excellentes références académiques et démontrer un intérêt pour le droit du commerce international et de l’investissement. Ils doivent en outre jouir d’une bonne connaissance écrite et orale de l’anglais, la langue d’enseignement. Le cours dure une année (de janvier à décembre) à temps plein divisé en deux semestres. Au premier semestre, les étudiants participeront à un cours intensif conçu sur mesure. Au second semestre, ils devront rédiger un mini-mémoire. Les enseignements seront abordés sur une méthodologie interdisciplinaire. Les bourses couvrent les frais de scolarité, l’hébergement et les charges liées aux activités officielles organisées dans le cadre de la formation. Les étudiants qui ne reçoivent pas de bourses peuvent être admis en tant qu’étudiants autofinancés. La date limite de candidature est fixée au dimanche 31 juillet prochain. Source: www.agenceecofin.com

Digitalisation Cameroun : la plateforme Super projet dédiée aux personnes handicapées voit le jour

Le Club des Jeunes Aveugles Réhabilités du Cameroun (Cjarc), dirigé par Coco Bertin, a présenté au public lundi dernier (11 juillet 2022) Super projet, une plateforme de géolocalisation des personnes handicapées. Super projet  est une base de données centralisées qui contient des informations sur les personnes handicapées vivant sur le territoire national camerounais. Elle est disponible via le site internet  www.supeh.org et est couplée d’une application mobile téléchargeable sur Playstore. L’impact attendu sur les politiques publiques nationales Cette plateforme est un outil d’aide à  la décision destiné aux autorités, acteurs politiques et autres partenaires au développement qui leur permet d’avoir accès aux données suivantes :   le nombre de personnes handicapées dans chaque point géographique donné, les différents types d’handicaps en cause, les besoins recensés des parties, le partenaire au développement en Å“uvre dans la zone géographique concernée, ses activités et les objectifs atteints.     Accessible en ligne 24h/24, la plateforme numérique permet de produire les statistiques sur cette catégorie de la population. En effet, en l’absence d’une dynamique nationale de collecte des données régulière, les données issues du 3ème Recensement Général (Rgph) datant de 2005 sont devenues obsolètes. Or, cette situation favorise une sous-estimation du besoin réel des personnes handicapées à  l’échelle nationale voire internationale. L’application mise en place va permettre d’améliorer la formulation et la mise en Å“uvre des politiques publiques centrées sur les personnes handicapées et de structurer l’action des départements ministériels concernés (MINSANTE, MINAS). #digital #handicap #Cameroun Source : www.cameroonmagazine.com   Ntoh Vanessa

Application mobile : Avec Ntchina, le don de sang n’est plus un mystère !

Qu’est-ce que Ntchina ? Ntchina est une application mobile créée par Alvine Yenot, jeune gabonaise. C’est une plateforme communautaire d’entraide et de don de sang, qui permet de mettre en relation les potentiels donneurs et demandeurs de sang. Comment fonctionne cette application ? Si vous êtes un donneur ou si vous avez besoin de sang, vous remplissez un formulaire en ligne pour vous inscrire sur la plateforme. Par la suite, les personnes enregistrées dans la base de données reçoivent une alerte leur signalant qu’il y a un donneur/demandeur actif dans une zone géographique donnée. Le travail se fait au quotidien en partenariat avec la banque de sang gabonaise. L’inscription, autant que l’accès aux informations diffusées sur la plateforme sont gratuites. Les profils ne sont pas sectionnés et irréversibles c’est-à-dire qu’un donneur peut devenir un demandeur plus tard et vice-versa.     Aux origines de la plateforme Ntchina Pour la petite histoire, un parent proche de la conceptrice se trouvait en attente de transfusion sanguine en 2019. Lorsqu’Alvine Yenot réalise que trouver un donneur n’est pas chose facile, l’idée lui vient alors de faciliter les choses. Elle s’inscrit au Programme d’Entrepreneuriat de la Fondation Tony Elumelu et devient récipiendaire ; ce qui lui permet d’acquérir du matériel, de créer sa structure et d’embaucher du personnel. Selon elle, « on n’a pas besoin de porter une cape ou d’avoir de supers pouvoirs pour sauver une vie, parce qu’on a tous le superpouvoir le sang qui est en nous et qu’on peut sauver une vie à n’importe quel moment ». #applicationmobile  #Prosygma Source : www.wearetech.africa   Vanessa Ntoh

Avis d’Appel d’Offres National Ouvert N°004/AONO/INS/CIPM/2022 du 12/07/2022 pour la fourniture du matériel informatique et des licences de logiciels statistiques à  l’Institut National de la Statistique (INS)

1.Objet Dans le cadre de la Convention INS-PAD pour le Renforcement des capacités des Ressource humaine du PAD intervenant dans la chaîne de production des statistiques au PAD, le Directeur Général de l’Institut National de la Statistique lance un Appel d’Offres National Ouvertpour la fourniture du matériel informatique à l’INS. 2.Consistance des prestations Rubrique Quantité SPSS (licence annuelle version la plus récente) 3 EVIEWS (licence annuelle version la plus récente) 3 XLSTAT (licence annuelle version la plus récente) 5 Achat d’un vidéo projecteur 1 Acquisition des ordinateurs portables 3 Copieur multifonction en couleur, en réseau 1 3.Cout Prévisionnel Le cout prévisionnel du présent Appel d’Offres est fixé à 19 300 000 de francs CFA toutes taxes comprises. 4.Allotissement Les prestations objet de la présente lettre commande se feront en un seul lot. 5.Participation et origine La participation au présent appel d’offres est ouverte aux entreprises spécialisées dans les domaines informatiques installés sur le territoire camerounais. 6.Financement La prestation objet du présent appel d’offres est financée par le budget de de la convention INS-PAD.     7.Consultation du Dossier Le dossier peut être consulté aux heures ouvrables à l’INS, Direction des Affaires Administratives et Financières (Sous-direction du Budget et de la Maintenance, service des marchés) de l’INS, sis au quartier du lac, route de l’imprimerie National, Tel. 222 23 86 09 porte 409. 8.Acquisition du Dossier Le dossier peut être obtenu à la Direction des Affaires Administratives et Financières (Sous-direction du Budget et de la Maintenance, service des marchés) de l’INS, sis au quartier du lac, route de l’imprimerie National, Tel. 222 23 86 09 porte 409.dès publication du présent avis, contre présentation d’une quittance de versement d’une somme non remboursable de trente mille (30 000) francs CFA, au « compte spécial CAS-ARMP, n° 355988 » ouvert dans les agences BICEC. La copie du reçu de versement sera déposée au lieu du retrait du Dossier d’Appel d’Offres. 9.Remises des offres Chaque offre rédigée en français ou en anglais en sept (07) exemplaires dont un (01) original et six (06) copies marqués comme tels, devra parvenir à la Direction des Affaires Administratives et Financières (Sous-direction du Budget et de la Maintenance, service des marchés) de l’INS, sis au quartier du lac, route de l’imprimerie National, Tel. 222 23 86 09 porte 409, au plus tard le 05/08/2022à 12h00et devra porter lamention :« Avis d’Appel d’Offres National Ouvert N°004/AONO/INS /CIPM/2022 du 12/07/2022 pour la fourniture  du matériel informatique et des licences de logiciels statistiques à l’INS,A n’ouvrir qu’en séance de dépouillement ». 10.Delai de Livraison Le délai maximum de livraison prévu par le Maître d’Ouvrage est de trente (30) jours. 11.Cautionnement Provisoire Chaque soumissionnaire devra joindre à ses pièces administratives, une caution de soumission établie par une institution financière agréée par le Ministère en charge des finances et dont la liste figure dans la pièce 10 du présent DAO d’un montant de  trois cent quatre-vingt mille (380 000) francs CFA et valable pendant trente (30) jours au-delà de la date de validité des offres. 12.Recevabilité des Offres Sous peine de rejet, les autres pièces administratives requises devront être impérativement produites en originaux ou en copies certifiées conformes par le service émetteur ou une autorité administrative, conformément aux stipulations du Règlement Particulier de l’Appel d’Offres. Elles devront obligatoirement être datées de moins de trois (03) mois ou avoir été établies postérieurement à la date de signature de l’avis d’appel d’offres.Toute offre non conforme aux prescriptions du présent avis et du Dossier d’Appel d’Offres sera déclarée irrecevable. Notamment l’absence de la caution de soumission délivrée par une institution financière agréée par le Ministère chargé des Finances ou le non-respect des modèles des pièces du Dossier d’Appel d’Offres, entraînera le rejet pur et simple de l’offre sans aucun recours. 13.Ouverture des Plis L’ouverture des offres se fera en un temps et aura lieu 05/08/2022 à 13 heures par la Commission Interne de Passation des Marchés de l’INS, dans la salle de réunion de l’Institut National de la Statistique (INS).Seuls les soumissionnaires ou leurs représentants dûment mandatés, et ayant une parfaite connaissance du dossier, peuvent assister à ces séances d’ouverture. 14.Critères d’évaluation Les critères éliminatoires porteront sur les aspects suivants: Absence ou non-conformité de l’une des pièces du dossier administratif dans un délai de 48h après l’ouverture des offres; Absence de la caution de soumission ; Non-respect de certaines spécifications techniques, précisées dans le RPAO ; Fausse déclaration ou pièces falsifiées ; Moins de 08 OUI sur les 10 critères essentiels existant; Non possession  d’un agrément de vendeur de matériels des télécommunications délivré par l’ART ; Non possession d’un agrément de certification des équipements des communications électronique délivré par l’ART.  Critères essentielsLes critères essentiels renseignent sur la qualification technique des candidats.Les offres techniques seront évaluées de façon binaire et  en fonction des critères essentiels ci-après :I- La présentation générale de l’offre :II- Les référence du soumissionnaireIII- Délai de livraison;IV – Service après-vente (SAV)Les détails des critères sont donnés dans la pièce n°3 du présent DAO. 15.Attribution Le Maître d’Ouvrage attribuera le Marché au Soumissionnaire dont l’offre a été reconnue conforme pour l’essentiel au Dossier d’Appel d’Offres et qui dispose des capacités techniques et financières requises pour exécuter le Marché de façon satisfaisante et dont l’offre a été évaluée la moins-disante en incluant le cas échéant les rabais proposés. 16.Durée Validité des Offres Les soumissionnaires restent engagés par leur offre pendant 90 joursà partir de la date limite fixée pour la remise des offres. 17.Renseignements Complémentaires Les renseignements complémentaires peuvent être obtenus aux heures ouvrables à la Direction des Affaires Administratives et Financières (Sous-direction du Budget et de la Maintenance, service des marchés) de l’INS, sis au quartier du lac, route de l’imprimerie National, Tel. 222 23 86 09 porte 409. Source : ARMP

Aviation civile : l’Etat d’Israà«l signe un accord de coopération avec Boeing en matière de sécurité

Selon un communiqué de la Direction nationale de la cybersécurité d’Israà«l (INCD) en date du 4 juillet dernier, l’Etat d’Israà«l a signé un accord de partenariat avec le géant de l’aviation américaine Boeing. Cet accord vise la promotion de la cyberdéfense entre les deux parties, particulièrement en ce qui concerne le partage des connaissances, la détection des menaces, la compréhension et la réduction des risques, et le développement de solutions pour défendre l’aviation civile.     Les actions envisagées se feront sur les deux territoires (en Israà«l et aux Etats-Unis) avec comme appui les plateformes d’internet et d’aviation. Ces activités font pleinement partie d’un plan stratégique israélien visant à  renforcer les compétences israéliennes dans la cyberdéfense appliquée au domaine de l’aviation civile. Cet accord intervient dans un contexte marqué par les crises au plan des relations internationales (géopolitique), la guerre Russie – Ukraine et la montée en puissance des attaques de sécurité informatique. Source : www.frenchxinhuanet.com    Vanessa Ntoh

AVIS D’APPEL D’OFFRES NATIONAL OUVERT N°12/AONO/FEICOM/CIPM/2022 du 24 JUIN 2022 POUR LA FOURNITURE DU MATERIEL INFORMATIQUE EN TROIS (03) LOTS AU FEICOM

1.Objet Le Directeur Général du Fonds Spécial d’Equipement et d’Intervention Intercommunale (FEICOM), Maître d’ouvrage, dans le but d’optimiser et d’améliorer la productivité  et la qualité du travail de son institution, lance un Appel d’Offres National Ouvert en vue de la fourniture du matériel informatique divisé ainsi qu’il suit : ordinateurs lot 1,  équipements réseau lot 2 et imprimantes et scanners lot 3 au FEICOM.Les caractéristiques techniques desdits matériels sont spécifiées dans le Dossier d’Appel d’Offres. 2.Consistance des prestations Le présent marché consiste en la fourniture, le transport, la manutention, la mise en service des matériels informatiques, à savoir : 15 laptops de type I , 15 laptop format compact, 10 laptop de type II, 40 Desktop all in one (lot 1) ; 1 antenne WIFI Outdoor, 1 IP PBX, 1 switch couche 3, 03 firewall Appliance (lot 2) ; 05 copieurs  multifonction haute performance (lot 3). 3.Cout Prévisionnel Le coût prévisionnel de la présente prestation est de cent millions (100 000.000) francs CFA TTC subdivisé ainsi qu’il suit :Lot I : 74 000 000 FCFA;Lot 2 : 10 000 000 F CFA;Lot 3 : 16 000 000 F CFA. 4.Allotissement Ce marché est alloti en trois lots comme suit :Lot 1 : Ordinateurs ;Lot 2 : équipements réseau ;Lot 3 : Imprimantes et scanners.NB : Un soumissionnaire peut être attributaire de plus d’un lot. 5.Participation et origine La participation au présent Appel d’Offres est ouverte aux entreprises nationales spécialisées dans le domaine et pouvant justifier d’une expérience minimale et discontinue de trois (03) ans dans la fourniture du matériel informatique. 6.Financement La prestation objet du présent Appel d’Offres est financée par le budget du Fonds Spécial d’Equipement et d’Intervention Intercommunale (FEICOM), Exercice 2022, sur la ligne d’imputation budgétaire n° 22-23-00 « matériel informatique ». 7.Consultation du Dossier Le Dossier d’Appel d’Offres peut être consulté aux heures ouvrables auprès du Service des Marchés et Approvisionnements, sis à l’ancien siège du FEICOM à Yaoundé (Mimboman), BP 718 Yaoundé, FEICOM, Rue 4.561 MIMBOMAN YDE 4ème, Téléphone 222 235 164/Fax 222 23 17 59, porte 11, poste 217 dès publication du présent Avis. 8.Acquisition du Dossier Le Dossier d’Appel d’Offres peut être obtenu aux heures ouvrables auprès du Service des Marchés et Approvisionnements, sis à l’ancien siège du FEICOM à Yaoundé (Mimboman), BP 718 Yaoundé, FEICOM, Rue 4.561 MIMBOMAN YDE 4ème,Téléphone 222 235 164/ Fax 222 23 17 59, dès publication du présent Avis sur  présentation d’une quittance attestant le versement de la somme de cent mille (100.000) francs CFA non remboursable dans le Compte Spécial CAS – ARMP ouvert dans les Agences BICEC. 9.Remises des offres Chaque offre rédigée en français ou en anglais en sept (07) exemplaires dont un (01) original et six (06) copies marqués comme tels, devra parvenir sous pli fermé et scellé auprès du Service des Marchés et Approvisionnements, sis à l’ancien siège du FEICOM à Mimboman, au plus tard le 28 JUILLET 2022 à 14 heures précises et devra porter la mention suivante :                                                                                                 APPEL D’OFFRES NATIONAL OUVERT 12/AONO/FEICOM/CIPM/2022 du 24 JUIN 2022 POUR LA FOURNITURE DU MATERIEL INFORMATIQUE AU FEICOM « A n’ouvrir qu’en séance de dépouillement »     10.Delai de Livraison Le délai maximum prévu par le Maître d’Ouvrage pour la livraison des équipements objet du présent Appel d’Offres est fixé à 30 jours, à compter de la date de notification de l’ordre de service de commencer l’exécution du Marché. 11.Cautionnement Provisoire Chaque soumissionnaire doit joindre à ses pièces administratives, un cautionnement de soumission par lot ainsi qu’il suit Lot 1 : 1 480 000 FCFA ; Lot 2 : 200 000 FCFA ; Lot 3 : 320 000 FCFA, établi par une banque de premier ordre ou une compagnie d’assurance agréée par le Ministère des finances et dont la liste figure dans la pièce 11 du DAO, acquitté à la main par l’émetteur valable pendant trente (30) jours au-delà de la date limite de validité des offres. 12.Recevabilité des Offres Sous peine de rejet, les pièces du dossier administratif requises doivent être impérativement produites en originaux ou en copies certifiées conformes par le service émetteur ou autorité administrative compétente, conformément aux stipulations du Règlement Particulier de l’Appel d’Offres. Elles doivent être datées de moins de trois (03) mois ou avoir été établies postérieurement à la date de signature de l’Avis d’Appel d’Offres.Toute offre non conforme aux prescriptions du présent Avis et du Dossier d’Appel d’Offres sera déclarée irrecevable. Par ailleurs, les offres parvenues après les dates et heure limites de dépôt ne seront pas recevables 13.Ouverture des Plis L’ouverture des plis, qui se fera en un temps aura lieu le 28 JUILLET 2022 à 15 heures précises par la Commission Interne de Passation des Marchés auprès du FEICOM dans la salle de réunions de ladite Commission à l’ancien siège du FEICOM.Seuls les soumissionnaires peuvent assister à cette séance d’ouverture ou s’y faire représenter par une personne de leur choix dûment mandatée et ayant une parfaite connaissance du dossier. 14.Critères d’évaluation 14.1. Critères éliminatoires :Dossier administratif incomplet après 48 heures délai de grâce ;Absence de cautionnement de soumission ;Fausses déclarations ou pièces falsifiées ;Non-conformité aux spécifications techniques de la fourniture de l’Appel d’Offres ;Absence de prospectus accompagné des fiches techniques du fabricant ;Non-conformité au modèle de soumission ;Absence d’agrément ou autorisation du fabricant ;Note technique inférieure à 80% de « OUI »Omission dans le bordereau des prix, d’un prix unitaire quantifié.14.2. Critères essentiels :Présentation générale de l’offre ; Capacité financière égale ou supérieure au montant prévisionnel de chaque lot ; Références dans les fournitures similaires ;Service après-vente (Disponibilité des pièces de rechange et main d’œuvre) ;Garanties sur le matériel proposé ;Délai de livraison. 15.Attribution Le marché sera attribué au soumissionnaire administrativement et techniquement qualifié et dont l’offre évaluée est la moins disante.   16.Durée Validité des Offres Les soumissionnaires restent engagés par leur offre pendant quatre-vingt-dix (90) jours à partir de la date limite fixée pour la remise des offres. 17.Renseignements Complémentaires Les renseignements complémentaires d’ordre technique peuvent être obtenus aux heures ouvrables auprès du Service des Marchés et Approvisionnements du FEICOM :Tél : 237) 222 235 164, Poste 217, porte 11.BP :718 YAOUNDE, FEICOM, Rue 4.561, MIMBOMAN YDE 4èmeFax :(237) 222 23 17 5.NB : « Pour tout acte de corruption, bien vouloir appeler ou envoyer un SMS à la CONAC au numéro suivant : 1517 » Source : ARMP

Bois : Le Projet UFA – Reforest avance à  grands pas

Planter « 240 000 arbres sur quatre années afin d’enrichir des trouées d’abattage, des parcs et des parcelles en milieux dégradés dans les Unités Forestières d’Aménagement au Cameroun », tel est l’objectif visé par le projet UFA – Reforest. Atteindre cet objectif nécessite de disposer de plants en grande quantité et surtout de bonne qualité. D’o๠les pépinières des entreprises prenant part au projet ont été étendues afin de garantir de meilleures conditions de vie aux plantes. Il s’agit principalement des entreprises PALLISCO, GRUMCAM-ALPICAM, SEFAC, et SEEF.     Comment ces pépinières ont-elles été mises sur pied ? Les pépinières sont des sortes d’habitats o๠l’on fait pousser les plantes pour favoriser leur croissance avant leur implantation sur le site final de la plantation.  Pour qu’elles soient exploitées dans le futur, il a fallu dimensionner leur taille selon les objectifs de plantation annuelle par entreprise, le taux de germination moyen des semences et le temps de croissance nécessaire pour atteindre la hauteur optimale de transplantation (40 à  80 cm).  Pour rappel, le projet « Reboisement dans les UFA du Cameroun » (UFA-Reforest), financé par l’Union Européenne, a démarré en début 2022 et s’achèvera en 2026. La stratégie visant à  planter des arbres s’inscrit dans un projet global de gestion durable des forêts qui touche au reboisement, à  la traà§abilité et à  la certification des entreprises forestières.  Source : ATIBT   Vanessa Ntoh

Smartphones : vers la recherche d’une plus grande qualité d’image ?

Après des années d’augmentation du nombre de modules caméra, le volume des ventes se tasse et leur nombre se stabilise à trois par terminal. Et les constructeurs profitent de cette trêve pour travailler les fondamentaux de la qualité d’image. Après l’explosion, la stabilisation : alors qu’on a vu jusqu’à cinq modules caméra sur un seul smartphone, le nombre de ces modules par appareil se stabilise. Tandis que les volumes de vente de ces modules baissent de 27 % en un an à cause des différentes crises – pénuries d’autres composants, confinements, guerres, etc. Le volume des ventes reste confortable, avec tout de même 1,13 milliard de capteurs mobiles vendus au premier trimestre de cette année.     La tendance est non seulement baissière en volume, mais aussi en nombre de modules par smartphone. Selon une étude du cabinet TrendForce, les smartphones à quatre modules arrière ou plus sont en baisse depuis 2020, stabilisés à 21 % des terminaux vendus. Loin d’ajouter des modules à ne plus savoir qu’en faire, les constructeurs consolident leurs offres à trois modules : ce genre d’appareil représente 44 % des volumes de vente. Ce qui se fait au détriment des appareils à un seul module, qui ne représentent plus que 10 % du marché. Miser davantage sur la qualité des images Loin d’être négative, cette tendance de stabilisation marque une maturité du segment. Un parallèle pourrait ici être fait avec les débuts de l’ère de la photo numérique, où les constructeurs se battaient davantage sur le nombre de mégapixels que sur la qualité d’image. Or, il y a deux ans, on était en plein « boom » de l’ajout de modules caméra – dont certains parfaitement inutiles comme l’optique macro du Realme X3 SuperZoom, qui ne méritait pas d’exister. Après avoir buté contre les limites de la montée en définition – notamment le pouvoir de résolution des optiques – les constructeurs d’appareils photo s’étaient calmés. Selon TrendForce, il semble bien que cela soit aussi le cas chez les fabricants de smartphones. Le cabinet note que « les performances photo et vidéo restent les (principales, ndr) fonctionnalités pour faire la promotion des terminaux ». Et que, de ce fait, ils sont attachés à « mettre en avant la plage dynamique, la photo de nuit et d’autres scénarios ». En clair : moins de modules caméra, mais une recherche d’une plus grande qualité d’image. Ce qui est une excellente nouvelle. Des innovations de plus en plus poussées ! Bien le nombre de modules caméra se stabilise, la course à l’innovation continue. Si le nombre de pixels utiles reste aux alentours de 12 Mpix, les capteurs se densifient pour affiner le traitement du signal (Samsung est à 200 Mpix !) et deviennent aussi de plus en plus grands (le 1 pouce a fait son retour l’an dernier). En marge des capteurs, les optiques, les processeurs et les algorithmes jouent, eux aussi, un rôle majeur dans les progrès. Mais dans ces trois domaines, les informations sont malheureusement beaucoup plus rares… Source :  www.01net.com

Un million de dollars américains en jeu à  travers le concours Apps UP

Le concours d’innovation Huawei Global App Innovation Contest, Apps UP en abrégé, est lancé depuis le 24 juin 2022, les inscriptions étant ouvertes dans le monde entier. Organisée par l’un des principaux fournisseurs mondiaux d’infrastructures de technologies de l’information et des communications (TIC), à savoir, Huawei, l’édition de cette année a pour thème « Ensemble, nous innovons ». En quoi consiste Apps UP ? Grosso modo, le concours est un événement qui met en commun les compétences des développeurs du monde entier pour construire un écosystème d’applications reliant tout de manière intelligente. Il a pour but d’inciter les développeurs à innover, à rapprocher les personnes, les appareils et les scénarios, et à créer des expériences d’application cohérentes basées sur l’intelligence artificielle transparente.     Depuis sa création, ce concours a attiré plus de 10 000 développeurs et constitue un terrain sur lequel ces professionnels de l’informatique explorent leurs rêves. Récompenses fixées Le concours comprend trois étapes : l’inscription et présentation, l’examen préliminaire, l’examen public et les finales régionales. Au bout de ces étapes, plusieurs récompenses sont mises en jeu : Le prix de la meilleure application à impact social, le prix pour l’ensemble des scénarios, le prix honorant les femmes du secteur technologique,  le prix d’innovation meilleurs services mobiles d’Huawei (HMS) pour la région de la Chine, le prix d’innovation étudiant, récompensant les développeurs étudiants exceptionnels qui soumettent des programmes novateurs, entre autres. Le lien pour postuler Source : rezonodwes.com   Vanessa Ntoh

Lancement de My Digital World au Cameroun

Le groupe Meta, propriétaire du réseau Facebook, a annoncé il y a quelques jours le lancement de « My Digital World » au Cameroun. Le groupe ambitionne de former près de 4 000 participants à l’usage du numérique avec l’appui d’entités telles que Digital Access, Positive Youths Africa qui œuvrent dans la promotion du numérique. Cette annonce intervient à la suite de la phase expérimentale qui a été menée au Cameroun en 2021. A la base, « My Digital World » est un programme d’alphabétisation numérique visant à éduquer les internautes quant à l’utilisation des réseaux sociaux. Il s’agit de leur apprendre à utiliser les plateformes virtuelles de manière responsable en respectant les droits humains et en prenant en compte leur sécurité personnelle.     Ce programme tire son origine du forum sur la culture numérique ou « Digital Literacy Forum » initié par le groupe Meta. Diffusé pour la première fois sur la page Facebook officielle de Meta, ce forum a souligné l’importance de vulgariser l’alphabétisation numérique afin d’asseoir la culture de la citoyenneté numérique. Selon Phil Oduor, Responsable des programmes Meta Policy en Afrique subsaharienne, c’est un ensemble de modules de formation « qui aident les participants à acquérir des compétences concrètes telles que la protection des informations personnelles, l’identification de sources d’information fiables, l’appréhension des thématiques assujetties à la désinformation, et la validation de relation en ligne non nuisibles ». Ce programme est accessible gratuitement dans plusieurs pays d’Afrique du Nord et d’Afrique subsaharienne (Afrique du Sud, Nigeria, Côte d’Ivoire, Kenya, Sénégal, etc.) et va s’étendre progressivement dans tout le continent africain. Source : www.socialnetlink.org   Vanessa Ntoh

E-commerce : Mastercard et Ezipay en partenariat dans la zone Moyen –Orient et Afrique pour favoriser le paiement numérique

Mastercard a renforcé sa collaboration avec les principaux opérateurs fintech en s’associant à EziPay pour permettre à des millions de consommateurs à travers le Moyen-Orient et l’Afrique (MEA) d’effectuer des paiements de commerce numérique mondial rapidement, en toute sécurité. Grâce à ce partenariat, les clients EziPay disposant d’une carte virtuelle Mastercard liée à leurs portefeuilles EziPay peuvent effectuer des paiements à des marchands en ligne mondiaux grâce à une expérience de paiement numérique sur des sites Web et des applications mobiles. Le service est disponible que le client ait ou non un compte bancaire. Il permettra également aux propriétaires de petites entreprises d’acheter auprès de fournisseurs à l’étranger et de payer avec la solution de paiement virtuelle.     Les consommateurs et les commerçants peuvent utiliser la solution de paiement virtuel Mastercard, qui est liée au portefeuille électronique EziPay qui fournit un service de passerelle de paiement pratique, pour effectuer des transactions numériques mondiales et se connecter avec des marques et des entreprises du monde entier, partout où Mastercard est acceptée. Les collaborations, telles que celle avec EziPay, jouent un rôle clé dans la promotion de l’engagement mondial de Mastercard en faveur de l’inclusion financière. Mastercard s’engage à faire entrer un total d’un milliard de personnes, 50 millions de micro et petites entreprises et 25 millions de femmes entrepreneurs dans l’économie numérique d’ici 2025. Dans la MEA, les appareils mobiles sont le principal canal utilisé pour se connecter à Internet. Selon la GSMA, d’ici 2025, on estime que 300 millions de personnes utiliseront leurs appareils pour accéder aux services Internet. Alors que les services financiers mobiles continuent de dominer la sphère des paiements numériques, les consommateurs s’attendent de plus en plus à avoir accès à une gamme plus large de solutions financières numériques. Source : afriqueitnews.com   Vanessa Ntoh

Digitalisation Cameroun : Hausse des recettes fiscales de 14,7 % au deuxième trimestre 2022

Entre janvier et mai 2022, la Direction Générale des impôts (DGI) a engrangé une recette s’élevant à 965,2 milliards de FCFA, soit une hausse importante de 14,7% enregistrée au cours des cinq premiers mois de l’année 2022. Cette performance se traduit par un gain avoisinant 123,5 milliards de FCFA par rapport aux résultats obtenus à la même période en 2021, d’après les informations fournies par l’administration fiscale. Selon cette dernière, le rendement obtenu pour le compte du seul mois de mai dépasse largement les prévisions initiales (102,3%) et s’élève à 21,2 milliards de FCFA. Dans cette perspective, l’objectif annuel fixé à 2 184,8 milliards de FCFA par la loi de finances rectificative de l’État du Cameroun datée du 2 juin 2022 pourrait être atteint voire dépassé d’ici le dernier trimestre de l’année. Selon le Ministère des Finances, cette hausse des revenus s’explique par un ensemble de mesures mises sur pied pour simplifier la collecte des impôts, à savoir, la numérisation du processus de déclaration-paiement.     En effet, comme l’a souligné Modeste Mopa Fatoing, directeur général des impôts, « tout est complètement fait en ligne au niveau des grandes, des moyennes, des petites et des micros entreprises des chefs-lieux des régions. Il est possible de s’enregistrer à partir de son téléphone ou de son ordinateur, et de payer l’impôt sans se rapprocher de l’administration fiscale ». Autrement dit, les attestations fiscales sont délivrées à distance, ce qui permet aux contribuables de mieux gérer leur temps. Par ailleurs, cette digitalisation des services entraine une meilleure sécurisation des paiements. Elle nécessite de lourds investissements, notamment en termes de connectivité et de disponibilité d’outils informatiques tels que les serveurs qui assurent le stockage des données et leur consultation en ligne 24h/24.   Source : Investir au Cameroun   Vanessa Ntoh

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