Souscription aux solutions informatiques : l’abonnement s’impose comme le mode de paiement élu par les éditeurs de logiciels

  Pendant de nombreuses décennies, les logiciels informatiques ont été pour la plupart achetés en une fois pour une utilisation plus ou moins longue, généralement sur douze mois. Cependant, ce mode d’achat est remis en cause par les éditeurs informatiques qui souhaitent augmenter les revenus tirés de cette activité pour les dix-huit prochains mois. Baptisée «Software Monetization Models and Strategies 2021 », l’enquête menée par Revenera auprès de 374 personnes aurait permis de questionner la rentabilité du secteur. Ainsi, plus de la moitié des entreprises du domaine informatique et précisément du secteur des logiciels prévoit de passer à des modèles d’abonnement d’ici un an environ. La principale raison pour laquelle ces éditeurs privilégient l’abonnement (mensuel) ou la licence (annuelle) à l’achat unique est que cela leur permettra d’obtenir de meilleurs revenus sur le long terme. Afin de rendre leurs offres alléchantes, la plupart des éditeurs proposent des offres exceptionnelles qui permettent aux utilisateurs de tester le logiciel sur une courte période. Pendant cet intervalle de temps, ils ont le loisir de valider leur achat en s’abonnant définitivement ou alors de résilier l’offre s’ils ne sont pas convaincus par le service fourni. Jusqu’ici, « les modèles de monétisation qui dominent le secteur sont l’abonnement et la licence perpétuelle. L’abonnement signifie que les utilisateurs, au lieu d’acheter un logiciel, paient un montant mensuel spécifique pour que leur compte logiciel continue de fonctionner, tandis que la licence perpétuelle signifie que les utilisateurs obtiendront une licence logicielle pour quelques mois ou pour une période spécifique, après quoi ils devront la racheter ». Source : Developpez.com

RFI et France 24 lancent la sixième édition du Challenge App Afrique

  Le thème de cette sixième édition, à savoir, « le numérique au service de l’éducation des enfants » a pour but de favoriser l’intégration des nouvelles technologies dans le secteur éducatif en Afrique francophone.  Ouverte aux start-ups et aux développeurs du continent africain, cette compétition « vise à développer des solutions mobiles ou web innovantes » qui seront utiles à l’éducation des enfants en Afrique. Elle est également « l’occasion pour les candidats de bénéficier d’une visibilité et d’opportunités commerciales au niveau international ». Comment se passe le processus de sélection ? La compétition est soumise à un règlement spécifique sans aucune obligation d’achat ni des frais de gestion de dossier. « Après une première pré-sélection de 20 candidats, une seconde sélection au sein de ce groupe de présélectionnés permettra au 10 participants finalistes de présenter au jury une preuve de concept (POC), ou une démonstration de faisabilité », apprend-t’ on sur le site internet dédié au challenge. Par la suite, conformément au règlement, le gagnant bénéficie d’un financement pour le développement de son application. Les dix finalistes quant à eux profiteront d’un accompagnement personnalisé au sein d’un incubateur choisi dans leur pays d’origine. Le challenge, organisé par France Médias Monde à travers les émissions “7 milliards de voisins” de RFI et ’’Tech 24’’ de France 24, a récompensé le guinéen Amara Diawara pour son projet «Afriqcare» visant à améliorer le mode de consultation et de prise en charge des patients dans le domaine de la santé en Guinée et au Mali. Les inscriptions sont ouvertes du 8 octobre 2021 au 8 décembre 2021, le règlement du concours est disponible ici. Source : RFI

Bois : Le système Tracer-Nkok officiellement reconnu par l’Union Européenne

Après plusieurs mois de travaux, le système Tracer-Nkok a obtenu le 24 septembre 2021 sa reconnaissance internationale de la part de l’Union Européenne. Ce résultat va permettre au Système de Diligence Raisonné Tracer-DR utilisé par sa filiale FRM-Gabon, de mettre en œuvre sa procédure d’approvisionnement en grumes de la ZES de Nkok, en partenariat avec l’ONG gabonaise Brainforest. La spécificité du système de Diligence Raisonné TRACER-DR, est d’être mis en œuvre au plus près des acteurs des filières bois du Bassin du Congo, au travers des filiales locales de FRM Ingénierie. En effet, depuis près de deux ans, FRM s’est efforcé d’arrimer son Système de Diligence Raisonnée, déployé à la demande de GSEZ sur la Zone Economique Spéciale de Nkok, aux exigences du RBUE en répondant aux multiples attentes de la Commission Européenne. Cette décision vient donc couronner ce travail ardu et passionné de tous les partenaires associés à ce projet, et ouvre une nouvelle ère pour les relations commerciales entre les unités de transformation industrielle du bois de la ZES de Nkok et leurs clients en Europe. Concrètement, les implications de cette reconnaissance pour l’accès des bois contrôlés TRACER-DR sur les marchés européens, est que désormais, le Système TRACER-DR est reconnu sur l’espace européen. Les importateurs de bois en France et bientôt, dans les autres pays de l’UE pourront même directement utiliser ce système pour la mise en œuvre de leur Diligence Raisonnée comme le leur exige le RBUE. En outre, les Attestation-DR délivrées par TRACER aux exportateurs de « Bois du Gabon » de la ZES de Nkok, et du Bassin du Congo, seront directement utilisées par leurs clients importateurs européens (voire au-delà), pour justifier de la conformité au RBUE de leurs approvisionnements auprès desdits fournisseurs dans le cadre de leur analyse de risque. Ceci constitue une véritable avancée dans la mesure où les attestations-DR de TRACER suscitaient des questionnements auparavant dans la filière bois en Europe où le système n’était pas encore connu et reconnu. Source : Directinfogabon.com

L’application Ym@ne Driver lancée par le gouvernement camerounais et le consortium Camtrack – Mtn Cameroun

  En partenariat avec l’entreprise de géolocalisation Camtrack Cameroun et la société de télécommunications Mtn Cameroun, l’Etat du Cameroun a mis en place une application qui permet de surveiller le réseau routier.   Ym@ne Driver est un dispositif constitué d’un kit de suivi centralisé à distance qui permet de contrôler le mode de conduite des bus de transports interurbains. Lancée officiellement le 27 septembre 2021 par le Ministre des Transports, Jean Ernest Masséna Ngallè Bibehe, ladite application est en phase pilote d’un mois.   Elle fonctionne suivant trois caméras capables de faire une reconnaissance faciale des chauffeurs, de détecter des signes de fatigue (bâillement, somnolence), ou des risques (non port de la ceinture de sécurité, usage de cigarette par exemple). En cas de problème, « une alerte ou sonnerie est envoyée au véhicule, à la base des données du ministère des Transports, à la compagnie de transport concernée ainsi qu’à la salle de contrôle de l’application ».   Le dispositif a été installé dans 100 véhicules de transport appartenant aux agences de voyage effectuant les lignes Douala-Yaoundé, Yaoundé/Bafoussam et Douala/Bafoussam. Et les résultats ne se sont pas fait attendre. Deux jours ont suffi à ce que cette application alerte sur le comportement jugé à risque de l’un des conducteurs de bus de la compagnie United Express. Ce dernier, d’après les images tirées de la vidéo, se trouvait dans un état de somnolence au volant qui aurait pu causer un accident de circulation et mettre la vie de nombreux passagers en danger.   Ladite vidéo, prise à partir des caméras numériques installées dans le bus a permis au Ministère d’interpeller la direction de la compagnie concernée qui a aussitôt demandé à l’équipage de marquer une « pause d’urgence et de ne reprendre la route que peu de temps après ». A travers un communiqué sur sa page Facebook, la compagnie United Express a reconnu la véracité des faits et promis de multiplier les efforts pour que de tels incidents ne se reproduisent pas à l’avenir. Le Ministère des transports pour sa part s’est réjoui de l’adhésion de cette agence de voyages à la phase test du projet et plus globalement de cette initiative visant à réduire les accidents de circulation routière.   Source : Digital Business Africa

Réseaux sociaux : Facebook, WhatsApp, Instagram, Messenger victimes d’une panne géante qui a ému la planète entière

  Lundi 4 Octobre 2021, c’était la catastrophe. Les applications du groupe Facebook ont été en arrêt pendant plusieurs heures, suscitant ainsi l’émoi des utilisateurs des sites en question.   Le réseau social Facebook et l’ensemble de ses services étaient inaccessibles aux environs de 17 heures. A l’origine de cette panne, un changement de configuration effectué sur certains serveurs du groupe qui ne s’est pas bien passé. De source officielle (Facebook), cette interruption des services est allée au-delà de la plateforme en ligne. Au sein de l’entreprise, les équipes de Facebook avaient du mal à accéder aux outils et infrastructures de travail, les badges d’accès étant non fonctionnels. Ces plateformes n’étant pas accessibles, des millions d’internautes se sont rabattus sur Twitter, l’une des plateformes sociales virtuelles tout aussi populaire. C’est d’ailleurs sur Twitter que Mark Zuckerberg, CEO du groupe Facebook s’est exprimé pour présenter s’excuser auprès du public pour cette interruption et les rassurer que son équipe travaillait à remettre les choses en ordre. Les applications ont finalement été rétablies le lendemain aux premières heures de la matinée. Si Facebook se veut rassurant sur la préservation des données des utilisateurs en ligne, il n’en demeure pas moins que cette panne soulève la question de la forte dépendance des utilisateurs aux applications de Mark Zuckerberg.  Les utilisateurs gagneraient certainement à adopter des applications alternatives à Facebook, WhatsApp, Instagram et Messenger pour ne pas se retrouver complètement largués à l’avenir.

Economie numérique : le Forum mondial sur la cybersécurité est annoncé pour février 2022 à  Riyad

Le Forum mondial sur la cybersécurité se tiendra entre le 1 et 2 février 2022 à Riyad en Arabie Saoudite avec pour thème central  « Repenser l’ordre cybernétique mondial ». Placé sous le haut patronage de Sa Majesté le roi Salman bin Abdulaziz Al Saud, le forum réunira des décideurs politiques de haut niveau, des entreprises du secteur industriel, des experts issus d’organisations internationales et universitaires de premier plan. Il a pour objectif principal d’ouvrir le débat sur les défis actuels de la cybersécurité afin de tirer davantage profit des multiples avantages qu’offre le numérique à l’humanité. Il vise entre autres à impulser le changement socioéconomique tout en favorisant une certaine coordination entre les usagers du cyberespace. Traditionnellement, le forum s’est déroulé en ateliers organisés en sous-thèmes. Pour cette édition 2022, les articulations retenues sont : L’évolution de l’ordre international dans le cyberespace, L’état actuel et futur des menaces de cybersécurité, Les technologies du futur comme solutions aux menaces, Les dimensions humaines de la cybersécurité dans l’avenir du travail, Tirer parti des forces du marché et des incitations économiques, Combler les cyber-clivages mondiaux et renforcer la cybersécurité centrée sur l’homme Bref historique sur le Forum mondial Il a été lancé pour la première fois en février 2020 au cours du sommet du G20 qui a été abrité par l’Autorité nationale saoudienne de cybersécurité. En pleine crise de COVID-19, cette première édition avait réuni en ligne de nombreuses personnalités au plan politique, économique et social. A l’issue du sommet, les chefs d’Etat à travers une Déclaration commune se sont engagés comme suit : « Nous sommes favorables à un environnement ouvert, équitable et non discriminatoire et à la protection et l’autonomisation des consommateurs, tout en traitant les enjeux liés au respect de la vie privée, à la protection des données, aux droits de propriété intellectuelle et à la sécurité. (…) Nous reconnaissons qu’il est important de promouvoir la sécurité de l’économie numérique et nous accueillons favorablement le document du G20 reprenant des exemples de pratiques liées à la sécurité de l’économie numérique. »    Source : Aetoswire

AVIS D’APPEL D’OFFRES NATIONAL OUVERT N°000034/AONO/MPT/CIPM/2021 DU 20 SEPTEMBRE 2021

AVIS D’APPEL D’OFFRES NATIONAL OUVERT N°000034/AONO/MPT/CIPM/2021 DU 20 SEPTEMBRE 2021 LANCE EN PROCEDURE D’URGENCE POUR LA FOURNITURE ET L’INSTALLATION DES EQUIPEMENTS, MATERIELS ET LOGICIELS INFORMATIQUE EN VUE DE LA MISE A NIVEAU DES LOCAUX DEVANT ABRITER LES INCUBATEURS DE N’GAOUNDERE ET MAROUA. Source de financement BUDGET INVESTISSEMENT PUBLIC(BIP)     1. Objet Le Ministre des Postes et Télécommunications lance un Appel d’Offres National Ouvert pour la fourniture et installation des équipements, matériels et logiciels informatique en vue de la mise à niveau les locaux devant abriter les incubateurs de N’Gaoundéré et Maroua. 2.Consistance des prestations –    La consistance des prestations est la suivante :–    Équipements, matériel et logiciel informatiques–    ordinateur complet ;–    onduleurs ;–    imprimante multifonction ;–    photocopieuse multifonction ;–    vidéo projecteur ;–    switch mangeable POE 48 ports ;–    webcam & casque numérique ;–    baie de brassage 24U ;–    APC essential surge ;–    licence antivirus ;–    licence windows 10.1 professionnel;–    Smart Tv, 55 » UHD 4k–    APC essential surge – 5 prises 230v ou équivalent–    câblage informatique–    révision du câblage informatique–    Aménagement de la salle de N’GaoundéréLes travaux d’aménagement porte sur la peinture et la pose des rideaux dans la salle multimédia de la Délégation Régionale de l’Adamaoua. 3.Cout Prévisionnel Le coût prévisionnel de l’opération est de quatre-vingt millions (80 000 000) FCFA. 4.Participation et origine La participation au présent appel d’offres est ouverte à toutes les entreprises nationales spécialisées dans la fourniture des équipements informatiques et de logiciels. 5.Financement Les fournitures, objet du présent appel d’offres, sont financés par le Budget du CAS FST, exercice 2021, sur la ligne d’imputation budgétaire N°55 45 587 03 (55T0C2100547) 220021 2220 : «Aménagement et équipement des incubateurs de N’Gaoundéré et de Maroua». 6.Consultation du Dossier Le dossier peut être consulté aux heures ouvrables à la Direction des Affaires Générales (Service des Marchés Publics (porte 162, téléphone 222.23.36.41) dès publication du présent avis. 7.Acquisition du Dossier Le dossier peut être obtenu à la Direction des Affaires Générales, Service des Marchés Publics, sis au 1er étage de l’immeuble abritant les services centraux du Ministère des Postes et Télécommunications (porte 162, Tél. 222.23.36.41), dès publication du présent avis, sur présentation d’une quittance de versement d’une somme non remboursable de cinquante mille francs (50.000 F) CFA, payable au Trésor Public. 8.Remises des offres Chaque offre rédigée en français ou en anglais en sept (07) exemplaires dont l’original et six (06) copies marquées comme tels, devra parvenir au Ministère des Postes et des Télécommunication, Direction des Affaires Générales (Service des marchés publics 1er étage, porte 162), au plus tard 12 Octobre 2021 à 14 heures et devra porter la mention AVIS D’APPEL D’OFFRES NATIONAL OUVERT N°000034/AONO/MPT/CIPM/2021 DU 20 SEPTEMBRE 2021 LANCE EN PROCEDURE D’URGENCE POUR  LA FOURNITURE ET L’INSTALLATION DES EQUIPEMENTS, MATERIELS ET LOGICIELS INFORMATIQUE EN VUE DE LA MISE A NIVEAU DES LOCAUX DEVANT ABRITER LES INCUBATEURS DE N’GAOUNDERE ET MAROUA.. « A n’ouvrir qu’en séance de dépouillement ». 9.Delai de Livraison Le délai maximum de livraison prévu par le Maître d’Ouvrage est de deux  (02) mois. 10.Cautionnement Provisoire Chaque soumissionnaire devra joindre à ses pièces administratives, une caution de soumission établie par un établissement bancaire ou un organisme financier agréé par le Ministère des Finances d’un montant d’un million six cent mille (1.600.000) FCFA et valable pendant trente (30) jours au-delà de la date de validité des offres. 11.Recevabilité des Offres Sous peine de rejet, les pièces administratives devront être impérativement produites en originaux ou en copies certifiées conformes par le service émetteur conformément aux stipulations du Règlement Particulier de l’Appel d’Offres. Elles devront obligatoirement dater de moins de trois (03) mois précédant la date originale de dépôt des offres ou avoir été établies postérieurement à la date de signature de l’Avis d’Appel d’Offres. Toute offre non conformément aux prescriptions du présent Avis et Dossier d’Appel d’Offres sera déclarée irrecevable, notamment pour défaut de caution de soumission conforme. 12.Ouverture des Plis L’ouverture des plis se fera en un seul temps. L’ouverture des offres administratives, techniques et financières aura lieu dans la salle de réunion de la Commission Interne de Passation des Marchés sise à l’immeuble siège de la CAMPOST, porte 308 le 12 Octobre 2021 à 15 heures, par  la Commission Interne de Passation des Marchés siégeant en présence des soumissionnaires qui souhaite y assister ou leur représentant dument mandaté et ayant une parfaite connaissance  du dossier. 13.Critères d’évaluation Critères éliminatoires :–    Absence ou non-conformité d’une pièce administrative, 48 h après l’ouverture des plis ;–    Absence de la caution de soumission à l’ouverture des plis ;-Document falsifié ou fausse déclaration ;–    Offre financière incomplète ;–    Absence de l’autorisation du fabricant ou de l’agrément de distributeur agréé par le fabricant en cours de validité pour les micro-ordinateurs, imprimante, photocopieur et vidéo projecteur ;–    Absence de l’autorisation de l’éditeur pour les logiciels;–    -Absence de prospectus des équipements proposés accompagnés de fiches authentiques décrivant les caractéristiques techniques les micro-ordinateurs, imprimante, photocopieur et vidéo projecteur ; -Absence de déclaration sur l’honneur de non abandon de chantier ou de non défaillance ;– Absence d’un prix unitaire quantifié ;– Non respect de 75% des spécifications techniques minimales ;-Non satisfaction d’au moins 4 oui sur 5 de critères essentiels.  Critères essentiels :Les critères de qualification des candidats sont les suivants :– Référence similaire ;– Capacité de financement ;– Services après-vente ;– Délais de livraison ;– Clause d’acceptation des conditions du marché 14.Attribution Le Maître d’Ouvrage attribuera le marché au soumissionnaire dont l’offre aura été jugée conforme pour l’essentiel au Dossier d’Appel d’Offres et évaluée la moins disante. 15.Durée Validité des Offres Les soumissionnaires restent engagés par leurs offres pendant quatre-vingt-dix (90) jours à partir de la date limite fixée pour la remise des dites offres. 16.Renseignements Complémentaires Les renseignements complémentaires peuvent être obtenus aux heures ouvrables au Ministère des Postes et Télécommunications, Secrétariat Général, Cellule Informatique (porte 810, Tél 222 23 04 90)./- NB : Pour toute tentative de corruption ou faits de mauvaises pratiques, bien vouloir appeler le MINMAP ou envoyer un SMS aux numéros suivants : 673 205 725 / 699 370 748./- YAOUNDE Le 29-09-2021 Le MINISTRE LIBOM LI LIKENG NÉE MENDOMO Minette

Yoomee Cameroun et UBA Cameroon s’unissent pour proposer leur service Mobile Money

  La banque UBA Cameroon a obtenu de la BEAC en tant qu’institution de la zone CEMAC  s’occupant de l’émission de la monnaie, l’autorisation d’émettre la monnaie électronique sur le territoire camerounais. S’appuyant sur cet accord, l’opérateur Yoomee a lancé son service de mobile money. Les principaux arguments mis en avant pour positionner le produit sur le marché sont la sécurité et le cout.  « Yoomee Money vient pallier aux multiples problèmes rencontrés sur le marché du Mobile Money au Cameroun. Avec un grand accent sur la sécurité par QR code et empreinte digitale », argue l’opérateur de téléphonie mobile et fournisseur d’accès à internet (FAI). Par ailleurs, pour être plus compétitifs sur un marché hyper concurrentiel, l’opérateur mise sur des frais de service moins cher par rapport à ce qui se fait sur le terrain depuis quelques années. On parle de frais de transfert, d’envoi et de réception d’argent qui seraient jusqu’à 50% moins chers que les concurrents (Orange Money, Mtn Momo, Yup). Le service de paiement marchand qui y est inclus intègre des remises qui sauront ravir le public. Source : Investir au Cameroun

Le chiffre d’affaires de Huawei dans le secteur des smartphones pourrait chuter de 30 à  40 milliards de $ en 2021

  La société chinoise Huawei Technologies verra les revenus de son activité de smartphones chuter d’au moins 30 à 40 milliards de dollars en 2021, les nouveaux flux de croissance ayant peu de chances de combler le manque à gagner dans les prochaines années, a déclaré le président Eric Xu. Alors que la firme « s’est habituée aux sanctions américaines » qui lui sont imposées depuis 2019, ses nouveaux domaines d’activité liés à la 5G ne peuvent pas compenser les pertes de l’activité des téléphones, a déclaré M. Xu, qui est président tournant cette année, lors d’une conférence de presse à Pékin vendredi.L’ancien président américain Donald Trump a placé Huawei sur une liste noire des exportations en 2019 et lui a interdit d’accéder à des technologies critiques d’origine américaine, entravant sa capacité à concevoir ses propres puces et à s’approvisionner en composants auprès de fournisseurs extérieurs.Les sanctions ont particulièrement touché les activités de Huawei dans le domaine des smartphones.Autrefois brièvement le plus grand vendeur de smartphones au monde, Huawei a quitté les rangs des cinq premiers fournisseurs chinois au deuxième trimestre pour la première fois en plus de sept ans, selon le cabinet d’études Canalys.Les smartphones ont tout de même rapporté environ 50 milliards de dollars de revenus l’année dernière, selon M. Xu. Huawei a enregistré la plus forte baisse de revenus de son histoire au premier semestre 2021, générant 320,4 milliards de yuans. (49,57 milliards de dollars)Xu a déclaré que son « plus grand espoir » pour l’entreprise est qu’elle existe encore dans cinq à dix ans.Les efforts de la Chine pour développer son industrie des semi-conducteurs ont montré des « résultats assez encourageants », a déclaré Xu, mais relever les défis de la chaîne d’approvisionnement de Huawei prendra beaucoup de temps. Nouveaux domaines de croissanceL’administration Biden s’est montrée peu encline à réduire la pression sur Huawei jusqu’à présent, la secrétaire américaine au commerce Gina Raimondo ayant déclaré qu’elle prendrait de nouvelles mesures contre l’entreprise si cela s’avérait nécessaire.L’entreprise a cherché de nouveaux domaines de croissance tels que la 5G et les mises à niveau des infrastructures basées sur l’IA dans les aéroports et les mines. La Chine sera un leader mondial dans l’application de la technologie 5G dans les prochaines années, a déclaré Xu.L’entreprise explore également des investissements dans des domaines qui n’ont rien à voir avec la chaîne d’approvisionnement en puces, a déclaré Xu.Il a été rapporté en août que la Commission de supervision et d’administration des actifs d’État de Tianjin (SASAC), qui supervise les entreprises soutenues par le gouvernement local, a demandé aux entreprises contrôlées par la municipalité de migrer leurs données des opérateurs du secteur privé vers un système de cloud soutenu par l’État d’ici l’année prochaine.Interrogé sur l’établissement d’un cloud d’État chinois et sur la manière dont le plan de la SASAC de Tianjin affecterait Huawei, Xu a déclaré que Huawei examinait sa position en tant que fournisseur de services potentiel.Il a également souligné que cette initiative ne venait pas du gouvernement de l’État ou du gouvernement local de Tianjin, sans donner plus de détails. Il a ajouté que, selon lui, l’idée de mettre en place une infrastructure en cloud séparée serait probablement apparue parce que les fournisseurs de services en cloud existants ne font pas un travail suffisant pour assurer aux utilisateurs qu’ils peuvent placer leurs données sur leurs systèmes. Source : developpez.com

Quels critères prendre en compte pour le choix d’un bon hébergeur web ?

Si vous êtes à la recherche d’un prestataire offrant un bon rapport qualité-prix, voici quelques paramètres à prendre en compte avant de faire héberger votre site. La position géographique de l’hébergeur Même si l’hébergement web est un service qui se fait à distance, l’idéal serait de choisir un hébergeur se trouvant proche de votre zone ou pays de résidence. Cela vous permettra d’éviter des délais d’attente très longs pour accéder à vos serveurs et de bénéficier d’une assistance technique physique en cas de nécessité. Le niveau de réactivité de l’hébergeur Certains prestataires hyper sollicités ou alors négligents n’arrivent pas très souvent à répondre aux attentes de leurs clients de façon rapide. Chez Prosygma, notre service client est réactif et à l’écoute de vos besoins. En cas de besoin, nous intervenons sur le terrain pour résoudre les problèmes techniques que vous rencontrez. Nous cumulons une dizaine d’années d’expérience dans l’hébergement web.

Trois critères à  prendre en compte pour le choix d’un nom de domaine efficace

Un nom de domaine, c’est une adresse par laquelle les internautes trouvent votre site sur le web. Il permet non seulement d’être visible sur la toile, mais aussi d’envoyer et de recevoir des mails. Vous souhaitez lancer votre site internet ? Vous hésitez entre plusieurs noms de domaine et craignez de faire le mauvais choix ? Voici trois astuces pour vous aider à bien choisir votre nom de domaine. Faire le choix de la simplicité Il vaut mieux privilégier les noms simples et facilement mémorisables. Plus le nom est facile à retenir, et plus vous aurez des chances que vos cibles reviennent régulièrement sur votre page. Pensez aux multiples sites que vous visitez fréquemment, vous arrive-t-il de fouiller votre bloc-notes pour y aller ou vous vous en souvenez par cœur ? C’est la question à se poser pour que votre nom reste dans la mémoire des lecteurs. Analyser la concurrence Pour vous aider à sélectionner votre nom de domaine, vous pouvez vous inspirer de ceux que d’autres sites spécialisés dans le même domaine font. Attention à ne pas reproduire exactement la même adresse. Même si vous changez d’extension (.org .com, .fr) cela va créer des confusions qui ne vont pas vous aider à être bien positionnés sur les moteurs de recherche. Vous pourrez vous servir de leurs idées tout en ajoutant des éléments propres à vous afin de vous démarquer de ces derniers. Utiliser un mot clé pertinent Vous pouvez par exemple choisir un nom en lien avec votre identité professionnelle ou votre secteur d’activités. Beaucoup d’entreprises le font pour aider les visiteurs à se retrouver plus facilement. Si vous ouvrez un blog spécialisé, vous avez certainement une idée de la thématique à développer ou encore du public que vous visez. Vous n’allez tout de même pas utiliser l’adresse www.santéplus.com alors que votre site parle essentiellement de la transformation du bois ? Non seulement vous courez le risque de faire repartir vos internautes aussitôt, mais en plus vous donnez des raisons suffisantes aux moteurs de recherche de classer votre site comme non pertinent en matière de santé et sur le bois. Autrement dit, tous vos efforts seront réduits à zéro. Pour éviter d’arriver à ce drame et obtenir une belle audience, il est recommandé de choisir un nom de domaine en accord avec votre audience. De plus, vous pourrez toujours miser sur la publicité en ligne ou la qualité de vos contenus pour vous faire connaitre davantage sur la toile.   Vanessa Ntoh

Gabon : la zone économique spéciale de Nkok certifiée neutre en carbone

  Coordonnée par la société Arise Integrated Industrial Platforms (Arise IIP), la zone économique spéciale du Gabon (GSEZ) a obtenu en septembre 2021 la certification ISO 14064-1 en neutralité carbone ; qui fait d’elle la première zone industrielle dans le monde reconnue comme faible émetteur de carbone. Cette certification décernée par la SGS (Société Générale de Surveillance) basée à Zurich, intervient à la suite des efforts consentis par Arise pour faire baisser son empreinte environnementale. Selon Gagan Gupta, PDG d’Arise IIP, « la GSEZ met en œuvre les meilleures pratiques et respecte les normes internationales les plus strictes pour atteindre son objectif d’industrialisation neutre en carbone. Cela fournit un cadre reproductible pour toutes les zones industrielles gérées par Arise IIP et conduira à une transformation systémique et propre des produits dans toute l’Afrique ». La GSEZ s’est investie grandement dans la réduction de gaz à effet de serre et privilégie de ce fait les sources d’énergie renouvelable pour sa propre alimentation en électricité. L’une de ses activités principales est d’œuvrer pour que le taux d’utilisation du bois augmente. Grâce aux efforts fournis, celui-ci est passé de 40 % à 70 % et pourrait aboutir à 90 % en 2022. Les enjeux de l’émission des gaz à effet de serre L’émission des gaz à effet de serre est l’un des problèmes majeurs dans la lutte contre les changements climatiques. A l’origine un phénomène naturel, elle est considérée comme la cause du réchauffement climatique faisant l’objet de débats au niveau mondial. Pour freiner le réchauffement climatique, la communauté internationale s’est engagée à limiter la production de gaz à effet de serre. C’est ainsi que le Protocole de Kyoto a été formulé en 1997 et ratifié par 168 pays environ en 2010. Toutefois, sur le terrain l’implémentation de ce protocole ne fait pas l’unanimité. Si plusieurs pays africains s‘investissent dans la lutte contre les changements climatiques, la plupart se limitent à l’adoption d’une loi portée sur la préservation de l’environnement et particulièrement les changements climatiques. Or, les actions menées par le Gabon parlent d’elles-mêmes. Cette certification du GSEZ démontre à suffisance qu’il est possible d’entretenir des zones industrielles à faible émission de carbone lorsque toutes les conditions sont réunies. Source : Ecofin

Le Guichet unique du Cameroun modernise sa plateforme de paiements électroniques

  Au cours d’une rencontre tenue vendredi dernier dans la ville de Douala, le Guichet unique du Cameroun (GUCE) a présenté son nouveau schéma de paiement électronique dont l’objectif visé est de simplifier les procédures concernant les opérations liées au commerce extérieur. En présence de nombreux invités tels que les banques, les entreprises exerçant dans la monétique, les opérateurs économiques de pays étrangers dont les marchandises transitent par le Cameroun entre autres, les nouvelles fonctionnalités ont été dévoilées. Elles sont liées à : L’architecture du site, La tarification, Le paiement des droits, taxes et frais de services liés aux produits importés et exportés, La création d’un service à valeur ajoutée certifié, La stratégie de mise sur le marché du produit. Ces innovations intègrent le paiement par carte bancaire, le virement de compte à compte, le système Wallet, le service Mobile Money. Elles présentent de nombreux avantages car désormais les usagers de la plateforme peuvent effectuer leurs procédures à distance sans avoir à se déplacer. Cela leur permet de gagner en temps et limite le contact humain qui est propice à la propagation de la COVID-19. Par ailleurs, la digitalisation de plus en plus poussée des services proposés par le GUCE favorise des procédures moins longues, la traçabilité des opérations, la sécurisation des données financières liées aux différentes opérations. Ces avancées mettent en évidence l’interopérabilité entre le GIMAC (Groupement Interbancaire Monétique de l’Afrique Centrale), le GUCE et le Trust Pay Way. La collaboration entre ces entités vise la mise en place d’un système de paiement fiable et sécurisé au vu du nombre croissant des transactions financières. En effet, de 2015 à aout 2021, environ 11 millions d’opérations ont été enregistrées pour une valeur de 494 milliards de FCFA.  Vivement que cette initiative porte ses fruits au sein du tissu économique camerounais et sous-régional en Afrique centrale.

Surface Duo 2 officiel : voici la “vraie” version du smartphone Android de Microsoft

  Microsoft vient de lancer un nouveau smartphone pliant, le Surface Duo 2. Il succède directement au très controversé modèle introduit en 2019. Cette nouvelle génération utilise enfin des composants récents. Lors de sa conférence Surface, Microsoft a présenté son nouveau smartphone pliant Surface Duo 2, qui vient corriger la plupart des gros défauts de la génération précédente. Alors que celle-ci utilisait des composants assez âgés, le nouveau Surface Duo 2 est équipé du processeur Snapdragon 888 que l’on trouve dans la plupart des smartphones haut de gamme de 2021. Le processeur lui permet d’ailleurs d’être compatible avec les réseaux 5G. Côté design, le smartphone utilise toujours deux écrans différents avec une charnière encore plus résistante au milieu. Cependant, une fois déplié, la surface totale de l’écran passe à 8,3 pouces, contre 8,1 pouces sur la première génération. Il serait protégé par un verre Gorilla Glass Victus de Corning. Microsoft introduit également une « Glance Bar », qui permet de voir entre la charnière les notifications et même le niveau de batterie quand le smartphone est fermé. Pour l’instant, Microsoft n’a fait aucune mention de la capacité de la batterie.   MICROSOFT AMÉLIORE LA PARTIE PHOTO DE SON SMARTPHONE PLIABLE Alors que le Surface Duo n’utilisait qu’un seul capteur de 11 mégapixels à l’arrière, la nouvelle génération utilise trois capteurs différents. On retrouve un capteur principal de 12 MP f/1.7 ainsi qu’un second capteur ultra grand-angle de 16 MP f/2.2 qui offrirait une correction de la distorsion. On retrouve même un nouveau téléobjectif de 12 MP f/2.4 qui permettra aussi de prendre des photos en mode portrait. Avec son Surface Duo 2, Microsoft s’aligne donc enfin sur le Galaxy Z Fold3, du moins sur la partie photo.   Avec son Surface Duo 2, Microsoft met surtout en avant la productivité, puisqu’il est possible d’ouvrir deux applications à la fois. Dans l’application photo, vous pourrez également vous servir d’un écran pour prendre capturer la scène, et afficher les clichés ou les options sur l’autre. Microsoft permet également aux utilisateurs de fixer un stylet au dos du Surface Duo 2 grâce à des aimants. Microsoft promet également une excellente expérience avec le Xbox Game Pass, puisque le smartphone pliant permettra de jouer à des jeux sur un écran avec des boutons virtuels sur le deuxième. Contrairement au Surface Duo de première génération qui avait mis longtemps à sortir, le Surface Duo 2 devrait être disponible  dès le 21 octobre prochain à un prix de 1599 euros. C’est donc légèrement plus cher que le modèle précédent, qui était proposé à partir de 1549 euros pour la version 128 Go. Source : Phonandroid.com

Les services de cloud computing au coeur des strategies de types « Digital First »

  L’utilisation du cloud par les entreprises passe à un niveau de maturité supérieur, ce qui favorise l’adoption d’un ensemble de services transversaux pour stimuler l’innovation dans une économie tournée vers le numérique. Ces services en clouds fondamentaux (FCS) pour le calcul, les données et les cadres d’applications seront le moteur du développement concurrentiel sur l’ensemble du marché du cloud.Selon les nouvelles prévisions d’International Data Corporation (IDC), les revenus annuels récurrents (ARR) issus des FCS passeront d’un peu moins de 100 milliards de dollars en 2020 à plus de 300 milliards de dollars en 2025, avec un taux de croissance annuel composé (CAGR) de 28,8 %. « Le numérique est désormais un élément permanent, mais dynamique, de notre monde, construit sur l’infrastructure numérique et les technologies de plate-forme d’une fondation en cloud », a déclaré Rick Villars, vice-président du groupe, Worldwide Research chez IDC. « Lorsque les entreprises veulent poursuivre une certaine capacité numérique ou exploiter intelligemment les données à leur avantage, elles peuvent le faire parce qu’elles ont un accès rapide aux services cloud fondamentaux offerts par les principaux fournisseurs de services cloud. » IDC définit les services cloud fondamentaux comme les marchés de l’infrastructure en tant que service (IaaS), de la plateforme en tant que service (PaaS) et de l’infrastructure système en tant que service (SISaaS) où les huit principaux fournisseurs de services cloud publics (Amazon Web Services, Microsoft, Google, Alibaba Group, IBM, Tencent, Huawei et Oracle) détiennent une part de marché combinée supérieure à 60 % en 2020. Il s’agit notamment des portefeuilles de services clés suivants : Services informatiques : Calculs x86 virtualisés, calculs bare metal, stockage en bloc, calculs accélérés, autres calculs et logiciels de calcul définis par logiciel. Services de données : Systèmes de gestion des données, stockage d’objets, stockage de fichiers et logiciels de traitement des flux d’événements. Services App Framework : Logiciels d’intégration, plateformes d’applications axées sur le déploiement et logiciels de cycle de vie de l’intelligence artificielle. Services de multiplicateur d’usage : Services peu ou pas payants qui encouragent une utilisation plus importante/efficace des services à forte valeur ajoutée en facilitant l’adoption, la connexion, le déploiement, le suivi, la sécurisation et la mise à jour de ces services. Comprend l’équilibrage de charge et le DNS, ainsi que les places de marché et les offres groupées de solutions logicielles libres. Ensemble, les services de ces portefeuilles représentaient plus de la moitié de tous les revenus IaaS, PaaS et SISaaS en 2020 et devraient représenter plus des deux tiers de tous les revenus en 2025. Plusieurs facteurs sont à l’origine de la demande croissante de services cloud fondamentaux plutôt que de services IaaS et PaaS similaires proposés par des fournisseurs individuels. L’infrastructure disponible, abordable et standardisée offerte par les FCS donne aux développeurs la possibilité de créer, tester et déployer rapidement des applications innovantes. La disponibilité de multiples options de déploiement (cloud hybride) et les technologies qui apportent la portabilité aux applications (conteneurs) permettent aux clients de choisir le fournisseur de cloud le mieux adapté à une charge de travail donnée. La consommation de l’infrastructure informatique basée sur les services permet aux utilisateurs finaux de réduire les dépenses d’investissement, d’optimiser les frais d’exploitation et de concentrer les efforts du personnel informatique sur la réalisation des objectifs commerciaux plutôt que sur la gestion courante de l’infrastructure et des données. Enfin, les services de cloud computing fondamentaux centrés sur les données peuvent fournir des capacités de données entièrement automatisées qui répondent à l’augmentation significative des volumes de données et du stockage associés aux appareils mobiles et périphériques (IoT). IDC s’attend à ce que les entreprises appliquent toute une série de stratégies pour adopter les portefeuilles FCS. Certaines choisiront un partenaire FCS principal tandis que d’autres opteront pour des stratégies de déploiement de cloud plus diversifiées. Quelle que soit la stratégie FCS choisie, les entreprises accorderont une priorité élevée aux extensions des portefeuilles FCS des fournisseurs dans les domaines des options de déploiement de services étendus (périphérie, réseau et cœur), des services de gouvernance automatisés (gérer, optimiser, sécuriser) et des écosystèmes de partenaires robustes. « La demande de FCS augmente, ce qui indique que les fournisseurs répondent aux attentes des clients dans ces domaines. Cependant, ce n’est pas le moment de se reposer. Sur un marché caractérisé par une innovation rapide, les fournisseurs de FCS doivent continuellement prouver qu’ils sont prêts à investir dans l’innovation à un niveau élevé », a déclaré Lara Greden, directrice de recherche, Platform as a Service (PaaS) chez IDC. « Les clients recherchent des résultats, pas des solutions technologiques. La clé sera de se différencier, de construire l’état d’esprit, et de redéfinir/productiser les portefeuilles par cas d’utilisation. » Source : developpez.com

Retour en haut