Le Cameroun compte étendre la liste des essences interdites d’exportation en 2025

L’interdiction d’exportation de bois sous forme de grumes dès le 1ᵉʳ janvier 2028, une décision commune aux pays de la CEMAC, marque une étape importante dans la gestion durable des forêts de la région. Pour atteindre cet objectif, le gouvernement camerounais a décidé d’élargir la liste des essences interdites à l’exportation.   Dans une circulaire datée du 23 octobre 2024, le Chef de l’Etat camerounais a instruit  au gouvernement d’étendre la liste des essences interdites d’exportation sous forme de grumes pour l’exercice 2025. Un an auparavant, le ministre des forêts et de la faune avait publié une liste de 76 essences concernées par cette interdiction. L’objectif visé est de préparer l’économie camerounaise à l’entrée en vigueur de cette décision, et de développer l’industrie de transformation du bois au niveau local. En effet, l’interdiction d’exportation des grumes a des incidences sur les recettes fiscales, les emplois et l’activité des exploitants forestiers. Parallèlement, la transformation locale nécessite d’importants investissements en termes d’infrastructures, d’équipements, de formation professionnelle entre autres. Les mesures incitatives complémentaires Pour rappel, l’élargissement de la liste des essences interdites d’exportation sous forme de grumes n’est pas la seule mesure prise par le gouvernement camerounais. Afin d’inciter les acteurs du secteur forestier à privilégier la transformation locale plutôt que l’exportation de grumes, le gouvernement camerounais a mis en place plusieurs mesures incitatives. Lire aussi : La CITES resserre l’étau sur le commerce des bois tropicaux, l’ATIBT accompagne les acteurs de la filière bois Depuis plusieurs années, l’Etat procède à des relèvements successifs des droits de sortie des grumes et des sciages. Entre 2017 et 2023, ces droits sont passés de 17,5 % à 60 %, puis à 75 % dans la loi de finances 2024. Ces mesures ont eu un impact significatif sur les exportations de grumes, qui ont fortement diminué. Selon l’Institut National de la Statistique (INS), le volume d’exportation qui était de 958,3 m³ en 2021 est passé à 746 m³ en 2022. Source : Investir au Cameroun   Vanessa Ntoh

Les artistes se révoltent contre l’utilisation abusive de leurs œuvres par l’IA

Des milliers d’artistes, de musiciens à des écrivains en passant par des acteurs, se sont unis contre l’utilisation non autorisée de leurs œuvres pour entraîner des modèles d’intelligence artificielle. Ils dénoncent une menace pour leurs moyens de subsistance et réclament une meilleure protection de leurs droits d’auteur.   En quoi est-ce que l’IA générative constitue une menace pour eux ? Les entreprises technologiques ont besoin de données pour alimenter leurs modèles d’IA pour que ces derniers puissent produire de manière autonome une réponse quelle que soit la question sur laquelle ils sont sollicités. Pour ce faire, ils se servent des œuvres musicales, littéraires sans toutefois avoir une autorisation légale des créateurs. Les assistants virtuels pourront à la longue reconnaitre des partitions, créer de la musique, des images ou des textes sur la base des créations artistiques auxquelles ils ont été familiarisées ; ce qui est problématique pour les créateurs et la survie de leurs œuvres. C’est dire que cette pratique soulève des questions éthiques et économiques énormes, raison pour laquelle les artistes ne sont pas restés inactifs face à cette situation. Lire aussi : Les vidéos créées par IA devront etre déclarées sur YouTube La bataille juridique est lancée ! Aux États-Unis, des journaux et des maisons de disques ont intenté des procès contre les géants de la tech. Sony Music Group, Universal Music Group, Warner Music Group ont porté plainte contre Suno et Udio, des starts-ups spécialisées dans la production de musique par IA. Ces entreprises pourraient débourser jusqu’à 150 000 dollars par chanson copiée. De nombreuses autres affaires ont été portées devant les tribunaux, notamment huit journaux américains qui ont décidé de poursuivre en justice OpenAI et par conséquent Microsoft pour violation du droit d’auteur sur des articles de presse utilisés pour entrainer ChatGPT et Copilot. Les législateurs, de leur côté, cherchent à mettre en place un cadre réglementaire pour encadrer le développement de l’IA et protéger les droits d’auteurs des créateurs. Les enjeux pour l’avenir Cette mobilisation des artistes marque un tournant dans le débat sur l’intelligence artificielle. Elle souligne l’importance de trouver un équilibre entre l’innovation technologique et le respect des droits d’auteur. Les prochaines années s’annoncent cruciales pour définir les règles du jeu et garantir une utilisation éthique de l’IA. En Amérique et en Europe, des efforts sont faits pour mettre en place un cadre juridique. Il est urgent que l’Afrique mette en place un dispositif légal pour protéger les droits des artistes face aux avancées de l’IA. Source : L’Usine Digitale   Vanessa Ntoh

Rwanda : La Carnegie Mellon University vous ouvre ses portes

La Carnegie Mellon University au Rwanda et la Fondation Mastercard offrent des bourses d’études en cycle master aux jeunes africains. Les étudiants sélectionnés bénéficieront d’un soutien financier et d’un accompagnement personnalisé. C’est quoi l’objectif de la bourse ? La Carnegie Mellon University au Rwanda (CMU-Rwanda) et la Fondation Mastercard ont lancé un programme de formation en Technologie de l’information, Ingénierie électrique et informatique, ou Ingénierie Intelligence artificielle. Ce programme ambitieux vise à former une nouvelle génération de talents africains capables d’innover et de contribuer au développement du continent. Quels sont les critères d’éligibilité ? Les candidats doivent être ressortissants d’un pays africain et s’inscrire à l’un des programmes d’étude de la CMU-Africa. Ils doivent démontrer un fort potentiel de leadership et un engagement envers l’Afrique ; et maîtriser l’anglais, langue d’enseignement à la CMU-Rwanda. Les avantages de la bourse Les boursiers bénéficieront d’une aide pour la candidature à la bourse, la prise en charge complète des frais de scolarité, une allocation mensuelle de subsistance, un accompagnement pour l’entrepreneuriat entre autres. Les modalités de candidature Pour postuler, les candidats doivent soumettre leur dossier complet en ligne sur le site web de la CMU et compléter le test de compétence. Pour que la CMU-Africa prenne en charge les frais de votre test de compétence, il faut postuler au plus tard le 15 décembre 2024, qui est la date limite d’admission anticipée. Toute candidature reçue après cette date ne sera prise en compte que si elle est accompagnée d’un DET/IELTS/TOEFL valide. La date limite de dépôt des candidatures est fixée au 15 janvier. Source : Agence Ecofin   Vanessa Ntoh

Alerte rouge pour les .io : Un changement de souveraineté qui pourrait coûter cher aux sites web

Depuis des décennies, le Royaume-Uni et Maurice se disputent la souveraineté des îles Chagos. Depuis le début de ce mois d’Octobre, un accord semble se dessiner, vu que le Royaume Uni a annoncé qu’il cédait sa souveraineté sur ce territoire. En conséquence, le nom de domaine « .io », très populaire dans le monde tech, et directement lié aux Chagos, pourrait disparaitre. La fin d’une ère ? Si l’accord entre le Royaume-Uni et Maurice aboutit, le Territoire britannique de l’océan Indien cessera d’exister. Cette disparition aura des répercussions sur les noms de domaine. L’organisme international en charge des noms de domaine, l’IANA, sera contraint de supprimer le « .io ». Conséquence directe : tous les sites internet utilisant cette extension devront changer d’adresse. Un casse-tête pour les gérants de sites Des millions de sites web utilisent actuellement l’extension « .io ». Pour eux, ce changement représente un véritable défi. Il faudra mettre à jour tous les liens, refaire du référencement et informer les utilisateurs. Des plateformes populaires comme itch.io, spécialisée dans les jeux vidéo indépendants, devront repenser leur stratégie. Lire aussi : Huawei soutient la transformation digitale de la Guinée Les iles Chagos, un cas d’école Cette affaire est un rappel pour tous ceux qui créent un site internet. Le choix du nom de domaine ne doit pas se faire à la légère. Il est essentiel de prendre en compte les évolutions politiques et géographiques, car elles peuvent avoir des conséquences directes sur la pérennité d’un site web. Source : RTBF   Vanessa Ntoh

DEMANDE DE COTATION N°007/DC/AER/PERACE/UGP/SPM/CSPM/2024 DU 14 OCTOBRE 2024 RELATIVE À L’ACQUISITION DE CONSOMMABLES INFORMATIQUES POUR L’EXERCICE 2024 À L’UGP PERACE

1.Objet Le Gouvernement de la République du Cameroun a obtenu de la Banque Mondiale le financement IDA 6356- CM pour l’exécution du Projet d’Electrification Rurale et d’Accès à l’Electricité dans les Régions sous desservies du Cameroun (PERACE) et se propose d’utiliser une partie de ce financement pour effectuer des paiements autorisés au titre du Contrat pour lequel cette Demande de cotation est publiée. 2.Consistance des prestations Il est prévu dans le cadre de l’exécution dudit projet de solliciter les prestations de services désignées relatifs à l’acquisition de consommables informatiques pour l’exercice 2024 à l’UGP PERACE. 3.Financement Le financement relatif à ce Marché est assuré par le Crédit IDA N° 6356 de la Banque Mondiale.     4.Acquisition du Dossier Les soumissionnaires admis à concourir pourront retirer le Dossier de Demande de cotation dans les locaux de l’Unité de Gestion du (PERACE), Sise à Yaoundé, Quartier Mballa II, Rue Dragage, Face la Société Nationale des Hydrocarbures (SNH), à la sortie, 2ème entrée à droite à partir de la route principale en allant vers l’ARMP, Téléphone : (+237) 677 30 29 28), ou par courriel à : fjfonkwa@yahoo.co.uk  avec copie à : ibessong@gmail.com, dès publication du présent avis. 5.Remises des offres  A cet effet, vous trouverez ci-joint, le bordereau descriptif et quantitatif de ces fournitures, que je vous demande de bien vouloir chiffrer et  retourner  avec l’ensemble des pièces demandées, au plus tard le 12 Novembre 2024 à 13 heures sous enveloppe cachetée adressée à :  Monsieur le Coordonnateur du Projet d’Electrification Rurale et d’Accès à l’Electricité dans les Régions Sous-Desservies du Cameroun (PERACE), Sise à Yaoundé, Quartier Mballa II, Rue Dragage, Face la Société Nationale des Hydrocarbures (SNH), à la sortie, 2ème entrée à droite à partir de la route principale en allant vers l’ARMP, BP (S/C) 30704 Yaoundé, Tél. : 657 79 21 40 / 675 27 88 14.Portant la mention : « DEMANDE DE COTATION N°007/DC/AER/PERACE/UGP/SPM/CSPM/2024 DU 14 OCTOBRE 2024 À L’ACQUISITION DE CONSOMMABLES INFORMATIQUES POUR L’EXERCICE 2024 À L’UGP PERACE.A N’OUVRIR QU’EN SALLE DE DEPOUILLEMENT DES OFFRES ».  6.Recevabilité des Offres Les offres produites en sept (07) exemplaires dont un (01) original et six (06) copies marquées comme tels seront chiffrées Hors TVA (HT) et Toutes Taxes Comprises (TTC) et accompagnées du modèle de lettre de marché signé, qui constituera le contrat au cas où votre offre serait retenue.Les cotations non conformes aux prescriptions de la présente Demande de cotation seront rejetées. 7.Ouverture des Plis Les cotations seront ouvertes le 12 Novembre 2024 à 14 heures dans la Salle de réunion de de l’Unité de Gestion du (PERACE), Sise à Yaoundé, Quartier Mballa II, Rue Dragage, Face la Société Nationale des Hydrocarbures (SNH), à la sortie, 2ème entrée à droite à partir de la route principale en allant vers l’ARMP, en présence des représentants des soumissionnaires dûment mandatés qui souhaitent être présents à l’ouverture. 8.Attribution L’Acheteur attribuera le marché au soumissionnaire, dont il aura déterminé que la cotation est conforme pour l’essentiel aux dispositions du Dossier de Demande de cotation, et qu’elle est la moins disante. 9.Durée Validité des Offres Les cotations resteront valables pendant 90 (quatre-vingt-dix) jours à compter de la date d’ouverture des plis. 10.Renseignements Complémentaires Les prestations à fournir dans le cadre de la présente Demande de cotation seront livrées dans les locaux de l’Unité de Gestion du Projet d’Electrification Rurale et d’Accès à l’Electricité dans les Régions sous desservies du Cameroun (PERACE), Sise à Yaoundé, Quartier Mballa II, Rue Dragage, Face la Société Nationale des Hydrocarbures (SNH), dans un délai maximum de 60 (soixante) jours, dès notification de l’Ordre de service de commencer les prestations. Source : ARMP  

L’avenir des médias à l’ère du numérique : enjeux et perspectives

Le secteur des médias traverse une période de transformation profonde, marquée par la digitalisation. Le récent African Digital Summit qui s’est tenu les 8 et 9 Octobre dernier à Casablanca a souligné l’urgence pour les acteurs de repenser leurs modèles économiques et à innover pour survivre.     De nouveaux défis et de nouvelles opportunités La digitalisation offre de nouvelles opportunités pour les médias, notamment une audience élargie et la possibilité de personnaliser les contenus. Elle ouvre également de nouveaux défis, notamment en termes de mesure d’audience et de financement : – des outils de mesure permettant d’évaluer l’impact des contenus doivent impérativement être développés dans un environnement numérique complexe, – les médias doivent explorer de nouvelles sources de revenus, telles que la publicité en ligne ou les abonnements. Innovation et adaptation : les clés de la réussite Pour faire face à ces défis, les médias doivent innover et s’adapter en permanence. Ils doivent accorder une importance particulière à la qualité de leurs contenus et à leur capacité à répondre aux attentes des audiences. Cela implique de développer de nouvelles compétences, de collaborer avec d’autres acteurs du secteur et de s’appuyer sur les technologies les plus récentes. L’intelligence artificielle, par exemple, pourrait les aider dans la diffusion de contenus. Source : Hespress   Vanessa Ntoh

Test complet du Samsung Galaxy A05s : Performances, autonomie, appareil photo…

Il ressemble extérieurement à un Galaxy S24, il a la même interface qu’un S24 mais c’est un Galaxy A05s.  Avec la concurrence venue de Chine, l’entrée de gamme Samsung a-t-elle encore un intérêt ? Sur quels points le géant coréen garde-t-il de l’avance ? Réponse dans ce test.  Vous n’avez d’yeux que pour la série S, mais c’est bien les petits modèles comme ce Galaxy A05s qui se vendent le plus dans le monde. Samsung a le savoir-faire des écrans, mais aussi des processeurs. En outre, le constructeur sud-coréen est souvent salué pour la qualité de ses écrans et même de ses capteurs photo. Il maitrise depuis longtemps le traitement de l’image avec des intelligences artificielles adaptées. Mais est-ce encore intéressant d’acheter un téléphone Samsung pour moins de 170 euros face aux téléphones chinois ? Fiche technique   Samsung Galaxy A05s Ecran LCD PLS6,7 pouces1080 x 2400 pixels90 Hz Processeur Qualcomm Snapdragon 680 OS Android 14 + One UI 6.1 RAM 4 Go Stockage 64 Go microSD Oui (jusqu’à 1 To) Capteur principal – 50 MP grand angle (f/1.8)– 2 MP portrait (f/2.4)2 MP ultra grand angle (f/2.4) Capteur selfie 50 MP Batterie 5000 mAhRecharge filaire 25 Watts Biométrie Scanner d’empreinte sur le bouton / reconnaissance faciale Résistance à l’eau – Sans fil – Wi-Fi 802.11 ac (Wifi 5)– Bluetooth 5.1– NFC Réseau – 4G/4G+/4G LTE Connectique USB Type-C Dimensions 168 x 77,8 x 8,8 mm Poids 195 g Prix et disponibilité Le Samsung Galaxy A05s est en vente au prix conseillé de 169 euros. Ce téléphone est commercialisé dans une seule configuration de 4 Go de mémoire vive et 64 Go de stockage. L’acquéreur potentiel se limitera donc à choisir le coloris parmi argent, noir ou lime (modèle testé ici). Sous la barre des 170 euros, la concurrence est rude. On trouve aussi bien des modèles anciens comme le Honor 90 Smart, Motorola G34 5G, Poco C65, Redmi 13C ou encore Realme C55… Les comparaisons sont simples : quel que soit le modèle, la concurrence est beaucoup lotie en mémoire de stockage. Design Autrefois (il y a moins de 5 ans), les smartphones haut de gamme se démarquaient nettement des autres grâce à leur design distinctif et raffiné. Aujourd’hui, Samsung adopte une stratégie d’harmonisation par le haut. Autrement dit, les différences visuelles entre le modèle premium S24 et le plus abordable Galaxy A05s sont très minimes. Cette uniformisation du design bénéficie avant tout aux consommateurs au budget limité. Les écarts esthétiques entre l’A04s et ses prédécesseurs étaient déjà minimes, mais entre le Galaxy A05s et l’A04s, ils sont presque imperceptibles. Ce dernier perd seulement 1 gramme et quelques dixièmes de millimètres en largeur et épaisseur sur la génération précédente. Écran plus grand oblige, la longueur augmente de 3,7 millimètres. Les modules photo ne dépassent que d’un demi-millimètre à peine de la coque. Étrangement, c’est mieux qu’un Galaxy A15 ou même Galaxy A35 par exemple. Avec un écran qui occupe presque toute la face avant, le dos d’un smartphone devient le principal élément de style. Dans cette série Galaxy A05s, le design reste inchangé. Les capteurs photo sont toujours alignés verticalement. Le revêtement irisé brille de mille feux avec la moindre lumière. Contrairement aux modèles plus haut de gamme de la série Galaxy A, le plastique est partout, aussi bien comme cadre que comme dos. Cadre et dos sont de la même couleur. Comme ses autres frères découlant du S24, l’emplacement de la carte SIM ou SIM2/MicroSD est situé en haut de la tranche gauche, tandis que les boutons de volume et d’alimentation se trouvent à droite. La prise en main est agréable. Le bord supérieur ne comporte qu’un micro, identifiable par un orifice tête d’épingle. La tranche inférieure rappelle la position d’entrée de gamme de ce téléphone avec la présence d’une prise jack 3,5 mm pour des écouteurs filaires. À côté du port jack, on retrouve un autre micro, un port USB Type-C et une grille pour le haut-parleur principal. Comme la génération précédente, le Galaxy A05s conserve une encoche d’environ 7 mm de diamètre, mais moins évasée. Les bordures latérales sont similaires à celles du modèle supérieur, mesurant environ 2 millimètres, mais le “menton” sous l’écran est nettement plus large, atteignant environ 6 millimètres. Comme sur le Galaxy A15, la certification d’étanchéité est absente, attention donc à l’eau. Malgré tout, le Galaxy A05s se distingue par une bonne réparabilité avec un score de 8,8 sur 10. Écran S’il y a bien une partie ou Samsung ne nous déçoit jamais, c’est bien sur l’écran. Rien d’étonnant puisque le constructeur coréen est également un leader dans la production de dalle. Sur ce téléphone aux faux airs de Galaxy S24, pas d’onéreuse dalle AMOLED, mais sur une dalle LCD PLS meilleure marché. Un écran fonctionnant avec cette technologie sera légèrement plus lumineux et avec de meilleurs angles de vision qu’une dalle conventionnelle IPS. Contrairement aux modèles supérieurs de la gamme Galaxy A, Samsung propose une dalle au moins aussi grande (6,7 pouces) que la concurrence. C’est d’autant plus remarquable que son ancêtre Galaxy A04s se contentait d’une modeste dalle 6,5 pouces. Encore mieux, l’augmentation de la diagonale d’affichage s’accompagne d’une définition beaucoup plus élevée qu’auparavant. Avec une matrice de 1080 x 2400 pixels (FHD+), Samsung écrase tous ses compétiteurs directs. Même ses grands frères Galaxy A25 ou A25 ont une définition plus faible. Sans surprise, avec un écran un peu plus grand et une définition beaucoup plus grande, la résolution passe de 270 pixels sur la Galaxy A04s à 393 pixels par pouce sur ce Galaxy A05s. Les Honor, Motorola, Xiaomi sont en PLS. En termes de rendu, faute d’OLED,  couleurs ou  contrastes ne sont pas dingues. L’écran n’est pas lumineux. En extérieur, catastrophe. Mais sur un téléphone à moins de 170 euros, peut-on vraiment faire la fine bouche ? Du côté des paramètres, c’est spartiate. L’écran est par défaut calibré en « fluidité des mouvements » adaptative. En clair, l’affichage est rafraichi entre 60 et 90 Hz selon le contenu. C’est un peu moins bon qu’un Motorola G34 (120 Hz), mais le téléphone n’est pas prévu pour des jeux véloces. On

L’appel à candidatures pour le programme de bourses allemand (DAAD) en Afrique centrale et de l’Ouest est lancé !

L’Allemagne offre une nouvelle fois aux étudiants africains une chance unique de poursuivre leurs études supérieures. Le DAAD, l’agence allemande d’échanges universitaires, a lancé un appel à candidatures pour son programme de bourses en Afrique subsaharienne. Cette initiative vise à soutenir les futurs leaders du continent en leur permettant de se former dans des universités de renommée internationale. Des domaines d’études variés et adaptés aux enjeux du continent Les domaines d’études proposés sont variés et répondent aux défis actuels de l’Afrique : agriculture, santé, environnement, technologies de l’information… Les étudiants pourront ainsi acquérir les compétences nécessaires pour contribuer au développement durable de leur pays. Les programmes sont dispensés dans des universités partenaires situées dans plusieurs pays d’Afrique subsaharienne, offrant ainsi une expérience d’étude enrichissante et multiculturelle. Un soutien financier complet pour les boursiers Les bourses accordées par le DAAD couvrent l’ensemble des frais liés aux études : allocation mensuelle, frais de scolarité, allocation d’études et de recherche, etc. Ce soutien financier permet aux étudiants de se concentrer pleinement sur leurs études sans avoir à se soucier des aspects matériels. Comment postuler ? Les candidats intéressés par ce programme peuvent déposer leur dossier avant le 21 novembre 2024. Pour connaître les modalités de candidature et les critères d’éligibilité, il est recommandé de consulter le site web du DAAD.  Source : Agence Ecofin   Vanessa Ntoh

Une nouvelle menace d’attaque par e-mail fait rage : les spams se cachent dans vos e-mails de confirmation !

Les pirates informatiques ont mis au point une nouvelle façon d’attaquer les messageries électroniques des internautes en infiltrant les e-mails de confirmation envoyés par les sites web après l’inscription d’un utilisateur. Cette technique, dévoilée par les chercheurs en cybersécurité de Cisco Talos, constitue une menace grandissante pour les internautes. Comment les pirates détournent vos inscriptions en ligne Lorsqu’un internaute s’inscrit sur un site, ce site lui envoie un e-mail de confirmation à l’adresse électronique qu’il a renseignée sur le formulaire d’inscription. Cet e-mail contient généralement un lien sur lequel l’internaute doit cliquer pour valider son inscription. Par la suite, un e-mail de post-inscription lui est envoyé. Les pirates utilisent cette fonction pour disséminer des liens malveillants. Si le contenu indésiré n’est pas détecté par le site web concerné, les informations malveillantes sont envoyées aux internautes à travers l’email post-inscription. Ces informations, dissimulées dans des e-mails provenant de noms de domaine vérifiés, passent à travers les filtres anti-spam traditionnels et sont par conséquent difficiles à stopper. Lire aussi : Africa Data Protection lance une plateforme e-learning gratuite pour sensibiliser les Africains à la protection des données Pour se protéger, les utilisateurs doivent faire attention au contenu des mails qu’ils reçoivent. Si vous recevez par exemple un mail de type « Votre inscription à la newsletter xxx » alors que vous n’avez pas tenté de vous inscrire sur un site récemment, vous avez la possibilité d’ignorer le message ou de le supprimer immédiatement. Face à un e-mail douteux, ne cliquez pas sur les liens qu’il contient et n’ouvrez pas les pièces jointes. Il est recommandé d’utiliser un outil spécialisé pour vérifier l’authenticité de l’expéditeur. Source : phonandroid.com    Vanessa Ntoh

Les bourses 2025-2026 de l’ARES sont disponibles jusqu’au 18 octobre 2024 !

L’appel à candidatures des bourses de l’ARES pour l’année académique 2025-2026 est ouvert. Ces bourses de l’ARES vous offrent la possibilité de suivre un bachelier ou un master de spécialisation d’un an ou une formation continue entre 2 et 6 mois au sein d’un établissement de la Fédération Wallonie-Bruxelles en Belgique. Qui peut introduire une candidature ? Toute personne intéressée par cet appel doit : Avoir la nationalité, résider et travailler dans l’un des 31 pays éligibles (liste ci-dessous) ; Être titulaire d’un diplôme d’études supérieures Témoigner d’une expérience professionnelle pertinente d’au moins deux ans, dans un pays partenaire de l’ARES.     Les pays éligibles : En Afrique : Afrique du Sud, Bénin, Burkina Faso, Burundi, Cameroun, Ethiopie, Guinée, Kenya, Madagascar, Mali, Maroc, Mozambique, Niger, Ouganda, RD Congo, Rwanda, Sénégal, Tanzanie, Tunisie et Zimbabwe. En Amérique du Sud et Caraïbes : Bolivie, Cuba, Équateur, Haïti, Pérou. En Asie du Sud-Est : Cambodge, Indonésie, Népal, Philippines, Vietnam. En Asie : Territoire palestinien. Quels sont les secteurs couverts par la bourse ?  La bourse comprend : Frais de déplacement international ; Allocation de subsistance ; Frais exceptionnels liés aux demandes de visas (uniquement pour le bachelier et les masters de spécialisation) ; Frais de mission indirects (uniquement pour les formations continues) ; Frais d’assurance. Comment postuler ? L’inscription se fait en ligne via la plateforme GIRAF. Il faut créer un compte, remplir le formulaire en ligne et le soumettre au plus tard le 18 octobre 2024 à 12h. Plus d’infos sur les formations disponibles  Source : ARES   Vanessa Ntoh

Orion : les lunettes intelligentes qui repoussent les limites de la réalité augmentée

Il y a cinq ans, Mark Zuckerberg, PDG de Meta, annonçait au monde entier son projet de construire des lunettes AR c’est-à-dire de réalité augmentée. Lors de Meta Connect 2024, il a levé le voile sur ses dernières avancées technologiques. Le casque Meta Quest 3 a été présenté comme une solution plus accessible pour découvrir la réalité virtuelle. Cependant, la véritable star de la conférence a été Orion, un prototype de lunettes de réalité augmentée qui  pourraient révolutionner notre façon d’interagir avec le monde numérique.     Des fonctionnalités avancées pour une expérience utilisateur inédite Les lunettes Orion permettent d’avoir une expérience de réalité augmentée inédite grâce à un champ de vision étendu, une haute résolution et un suivi précis des mouvements de la tête et des yeux. A travers elles, les utilisateurs peuvent ainsi voir des objets virtuels se superposer de manière réaliste à leur environnement réel. Les applications diverses d’Orion Les lunettes peuvent être utilisées dans les domaines suivants : Professionnel : Aide à la conception, à la formation, à la maintenance, etc. Divertissement : Jeux vidéo immersifs, expériences sociales virtuelles, etc. Communication : Appels vidéo en réalité augmentée, hologrammes, etc. Pour développer des produits de ce type, il faut braver de nombreux défis techniques, notamment miniaturiser les composants, développer des logiciels adaptés, etc. Il faudra probablement attendre plusieurs années avant de voir les lunettes présentées disponibles pour le grand public. Meta a annoncé de nouveaux partenariats avec des développeurs, des créateurs de contenu et des entreprises pour enrichir son écosystème. Source : Meta  Vanessa Ntoh

Windows 11 : Fini les applications inutiles !

Tu en as marre des logiciels qui prennent la poussière sur ton PC ? Windows 11 te donne enfin les clés pour faire le ménage et garder que ce qui te sert vraiment. Qui n’a jamais été frustré par les applications préinstallées sur un nouvel ordinateur ? Que ce soit des jeux (solitaire), des logiciels en version essai, ces applis, que l’on n’utilise pas généralement, encombrent notre disque dur et ralentissent notre PC. Heureusement, Microsoft a enfin entendu nos plaintes ! Avec la dernière mise à jour de Windows 11, vous avez désormais la possibilité de supprimer un grand nombre d’applications préinstallées et ceci en quelques clics.     Ce qui change désormais sur Windows 11 Au départ, les utilisateurs avaient la possibilité de désinstaller Cortana et Appareil photo. Selon le blog Windows, la liste des applications intégrées supprimables s’est élargie, nous pouvons citer : Actualités Astuces Bureau à distance Calculatrice Calendrier Caméra Cartes Contacts Courrier Cortana Enregistreur Famille Films & TV Hub de commentaires Horloge Xbox Météo Média Player Microsoft 365 Microsoft Clipchamp Microsoft To Do Notepad Paint Photos Snipping Tool Terminal Quick Assist Pour désinstaller les applications par défaut de ton ordinateur, voici quelques étapes : Ouvre le Terminal Windows Tape « winget list » et appuie sur Entrée, tu vas voir apparaître la liste de toutes tes apps. Choisis l’app que tu veux supprimer et note son nom. Tape « winget uninstall » suivi du nom de l’application (exemple : « winget uninstall Microsoft Edge ») et appuie sur Entrée. Et voilà, c’est fait ! Tu peux répéter l’opération pour toutes les apps qui te gênent. Source : phonandroid   Vanessa Ntoh

TRAFFIC recrute un directeur régional principal pour l’Afrique

TRAFFIC est une organisation non gouvernementale qui veille à ce que le commerce mondial des espèces sauvages soit légal et durable, dans l’intérêt de la planète et des hommes. Son but est de lutter contre la dégradation de l’environnement en soutenant le respect de la biodiversité. Ces dernières années, TRAFFIC a connu une croissance significative et sa nouvelle stratégie 2030 présente une vision ambitieuse pour un impact considérable. L’ONG est actuellement à la recherche d’un directeur régional principal pour l’Afrique.     Ce dernier doit assurer la direction stratégique globale et l’orientation du travail en Afrique. Cela inclue la supervision des bureaux TRAFFIC pour l’Afrique australe (Afrique du Sud), l’Afrique de l’Est (Tanzanie), et l’Afrique centrale (Cameroun). Les exigences du poste Le candidat idéal doit avoir : – Un diplôme universitaire et, de préférence, un diplôme de troisième cycle dans une discipline pertinente. – Un minimum de 10 ans d’expérience professionnelle en Afrique à un niveau élevé dans le domaine de la conservation de la nature, du développement durable, les processus intergouvernementaux, le dialogue politique, les partenariats public-privé et l’ensemble des questions liées à la conservation, l’utilisation et le commerce des espèces sauvages. – Une bonne compréhension du contexte sociopolitique et des aspirations de la région en matière de développement. – D’excellentes compétences en matière de planification stratégique, de gestion de projets et de développement de partenariats, avec des exemples significatifs de génération d’impact et d’influence dans le domaine de la conservation de la nature en Afrique. – Des compétences de représentation de haut niveau avec de solides compétences diplomatiques, politiques, interculturelles et interpersonnelles. – La capacité avérée à exercer un leadership axé sur la mission : établir des collaborations puissantes, être authentique et créer la confiance, apprendre en permanence et écouter profondément, être à l’écoute de ses interlocuteurs. – La capacité avérée à gérer, encadrer et diriger une équipe composée de personnes aux compétences, personnalités et origines diverses, et expérience solide en matière de délégation et d’habilitation. – Avoir des compétences de haut niveau en anglais ; la connaissance pratique d’au moins une autre langue de la région est souhaitable. – Une expérience significative en matière de collecte de fonds auprès de donateurs régionaux et internationaux. – Un engagement manifeste envers la mission et les valeurs de TRAFFIC. Comment postuler ? Les candidats intéressés doivent sdoumetre leur CV et lettre de motivation à https://hrms.iucn.org/iresy/index.cfm?event=vac.show&vacId=11065 au plus tard le 18 octobre 2024. Source : PFBC   Vanessa Ntoh

La CITES resserre l’étau sur le commerce des bois tropicaux, l’ATIBT accompagne les acteurs de la filière bois

La CITES a renforcé les contrôles sur le commerce de certaines essences de bois tropicales, afin de préserver leur survie. L’ATIBT, consciente des défis que cela représente pour les entreprises forestières, a mis en place une initiative pour les accompagner dans cette transition. La CITES : missions et enjeux La Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d’extinction (CITES) a pour but de veiller à ce que le commerce des spécimens d’animaux et de plantes sauvages ne menace pas la survie des espèces auxquelles ils appartiennent.     Lors de la 19e session de la Conférence des Parties de la CITES au Panama en novembre 2022, la liste des espèces menacées d’extinction a été complétée par les essences suivantes : en Afrique : Afzelia, Khaya et Pterocarpus, en Amérique du Sud : Handroanthus spp., Roseadendron spp., Tabebuia spp. (nom commun ipé) et Dipteryx Par ailleurs, certaines essences (comme l’acajou, le doussié, le padouk, l’ipé ou le cumaru) qui faisaient déja l’objet de surveillance sont plus strictement réglementées par la CITES. Pour continuer à vendre ces essences de bois, les entreprises doivent désormais obtenir une autorisation de commerce et réaliser un ACNP (avis de commerce non préjudiciable) au préalable. L’ACNP est une étude scientifique qui évalue l’impact du commerce sur la survie des espèces végétales et animales concernées.  L’ATIBT, partenaire des acteurs de la filière bois L’ATIBT travaille en étroite collaboration avec les gouvernements et les entreprises forestières. Elle les aide à s’adapter aux nouvelles règles de la CITES. Elle accompagne notamment la production des ACNP, des permis d’exportation/d’importation, entre autres. Elle œuvre pour une meilleure prise en compte des espèces vulnérables en Afrique Centrale. Son initiative est essentielle pour assurer la durabilité des filières bois tout en respectant les engagements internationaux en matière de conservation de la biodiversité. Pour plus d’informations   Vanessa Ntoh

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