Comment utiliser le nouvel outil de stockage de fichier sur Whatsapp ?

Comment utiliser le nouvel outil de stockage de fichier sur Whatsapp ? L’application de messagerie propose un outil pour supprimer plus facilement les photos et vidéos les plus lourdes des discussions WhatsApp.  Comment ça fonctionne concrètement ? Pour accéder à cet outil de gestion de stockage, il vous suffit de vous rendre dans les paramètres de WhatsApp, puis dans la section Utilisation données et stockage, puis dans Gérer le stockage (manage storage). Vous retrouvez une nouvelle interface où l’application vous indique la place que prennent les médias WhatsApp par rapport aux autres applications et également le stockage libre qu’il vous reste. Ensuite, WhatsApp classe les médias en 2 catégories pour vous aider à faire le tri : ·         ceux qui ont été transférés plusieurs fois ·         ceux qui font plus de 5 Mo Lorsque vous accédez à une de ces 2 catégories, vous pouvez prévisualiser les fichiers et cocher ensuite ceux que vous souhaitez supprimer. En quelques secondes, il est possible de libérer de l’espace grâce à la suppression des fichiers les plus lourds. À savoir : WhatsApp affichera une bannière d’avertissement en haut de vos discussions lorsque votre stockage de téléphone arrivera à saturation. En appuyant dessus, vous accéderez aussi à l’outil de gestion de stockage pour supprimer les fichiers trop lourds. Source : BDM

Avis international d’appel à  manifestion d’interet d’un logiciel d’archivage électronique au PAD

AVIS INTERNATIONAL D’APPEL À MANIFESTATION D’INTÉRÊT N° 031/AMI/PAD/DG/2020 DU 06-11-2020 EN VUE DE LA FOURNITURE ET DE L’INSTALLATION D’UN LOGICIEL DE GESTION ÉLECTRONIQUE DES DOCUMENTS (ARCHIVAGE ÉLECTRONIQUE) ET DE GESTION DOCUMENTAIRE POUR LE CENTRE DE LA DOCUMENATION ET DES ARCHIVES DU PORT AUTONOME DE DOUALA (PAD).   1. Contexte Le Port Autonome de Douala a engagé depuis quelques années les travaux de modernisation de son système d’Archivage et de protection des données. Et cela dans le but de pallier les difficultés liées à la gestion de l’information documentaire en tant que socle de toute efficacité administrative et financière.                 Le processus de mise en place d’un système de gestion moderne des archives, qui a commencé par la reprise de l’antériorité doit se poursuivre par le déploiement d’une Gestion Électronique des Informations et Documents d’Entreprise (GEIDE). Cette GEIDE devant être le support réel de toute informatisation des services dont l’objectif principal est la maîtrise de la traçabilité et l’automatisation des informations. Il s’agit ici de trouver des solutions en matière de gestion de ses documents. L’ensemble des documents issus du système qui concerne : l’information portuaire ;   les dossiers clients ;   les dossiers d’enquêtes ;   les dossiers de facturation ;   les contrats et concessions ;   les dossiers du personnel. 2. Objet L’objet principal de la mission est d’offrir au PAD les services d’un prestataire spécialisé pour une assistance informatique relative à la fourniture et l’installation d’un logiciel de gestion électronique des données et de gestion documentaire. Autour de l’objet principal énoncé ci-dessus, le prestataire veillera à la mise en place d’un système électronique pour la gestion des documents et leur archivage. 3. Consistance de la prestation Le soumissionnaire retenu sera principalement chargé des missions ci-après ; effectuer une analyse de diagnostic d’exploitation des fonctions actuelles du Processus de document et de la gestion du flux de travail du PORT AUTONOME DE DOUALA pour déterminer les fonctionnalités supplémentaires, les flux de travail organisationnels et les rapports qui doivent être inclus dans la mission. Afin d’adapter au mieux la solution déployée à l’organisation des services, d’anticiper les paramétrages et/ou les éventuels freins techniques qui pourraient faire obstacle au déploiement de la solution, un audit préalable devra être conduit par le prestataire. L’audit, comme la démonstration, se dérouleront sur site, dans les locaux du PAD, en présence des différents services impliqués dans le projet (Direction générale, Direction des Systèmes d’Information, Centre de la Documentation et des Archives et Service Central du courrier) ; installer le logiciel de Gestion Electronique des documents et toutes les applications complémentaires ;   archiver en version numérique les documents physiques prioritaires ; procéder au transfert de compétence aux utilisateurs : Une formation approfondie devra être adressée aux agents CDA responsables de la gestion des archives et de la documentation (courriers entrants et sortants) et aux responsables de la structure. Cette formation comprendra notamment un temps dédié pour apporter des réponses aux questions spécifiques des différents services du Port Autonome de Douala. Des supports pédagogiques doivent impérativement être fournis au Port Autonome de Douala à la livraison du logiciel. Un document détaillant les contenus, la durée, ainsi que les objectifs de formation doit être joint. L’ensemble de la documentation du matériel et des logiciels proposés devra être fourni ou consultable de façon dématérialisée en français et en anglais. La documentation devra être remise au plus tard au jour de la formation ; préciser la durée de garantie, période durant laquelle il doit assurer au minima, gratuitement les prestations de maintenances correctives, évolutives, adaptatives qui pourraient survenir durant cette période, les services d’assistance continuent et d’interventions ponctuelles.  Il s’agit spécifiquement de réaliser les prestations suivantes : maintenance corrective : réalisation des corrections des anomalies rencontrées et autres dysfonctionnements ; maintenance évolutive : révisions ou améliorations fonctionnelles ou qualitatives liées aux évolutions de l’environnement technique ou de normalisation, installation de nouvelles fonctionnalités qui ne figuraient pas dans le cahier des charges. Délivrance à l’initiative du titulaire, de nouvelles versions ; maintenance adaptative : adaptation aux évolutions technologiques du contexte technique de mise en œuvre, dès lors que ces évolutions sont indispensables à la continuité de service, ou de la réinstallation du logiciel lors des changements de matériels (systèmes d’exploitation) ; Les mises à jour de la solution logicielle devront être préférentiellement téléchargeables par un portail sécurisé avec les fiches d’informations relatives aux nouveautés liées à celles-ci. Les conditions de mise en exploitation devront être explicitement détaillées. 4. Participation et origine Le présent appel à manifestation d’intérêt est ouvert à tous les prestataires spécialisés dans la mise en œuvre des solutions informatiques 5. Remise des offres Les dossiers de candidature rédigés en français ou en anglais seront remis en cinq (05) exemplaires dont un (01) original et quatre (04) copies marqués comme tels sous plis fermé et comportant deux enveloppes distinctes, adressée au Chef de Centre de la Documentation et des Archives et à déposer au au Secrétariat de la Direction des Systèmes d’Information (DSI) porte 103 au 1er étage de l’immeuble siège du PAD, au plus tard le 30-12-2020à 15 heures, heure locale et devra porter la mention : AVIS INTERNATIONAL D’APPEL À MANIFESTATION D’INTÉRÊT N° 031/AMI/PAD/DG/2020 DU 06-11-2020 EN VUE DE LA FOURNITURE ET DE L’INSTALLATION D’UN LOGICIEL DE GESTION ÉLECTRONIQUE DES DOCUMENTS (ARCHIVAGE ÉLECTRONIQUE) ET DE GESTION DOCUMENTAIRE POUR LE CENTRE DE LA DOCUMENATION ET DES ARCHIVES DU PORT AUTONOME DE DOUALA (PAD).  « A n’ouvrir qu’en séance de dépouillement » 7. Renseignements complémentaires Les renseignements complémentaires peuvent être obtenus aux heures ouvrables au Port Autonome de Douala, chez le Chef de Centre de la Documentation et des Archives (CDA)/Direction Générale du Port Autonome de Douala  BP 4020 Douala, Téléphone : (237) 233 42 01 33 / 233 42 73 22. DOUALA le 06 Novembre 2020 Le DIRECTEUR GÉNÉRAL NGO’O Cyrus source : ARMP

Messenger : comment envoyer des messages secrets sur Messenger ?

  Voici les étapes pour activer une conversation secrète sur Messenger : Dans l’app Messenger, cliquez sur la conversation de votre choix, En haut de la conversation, cliquez sur le nom d’utilisateur du destinataire, Dans la partie « plus d’actions », cliquez sur « ouvrir la conversation secrète », Une nouvelle conversation secrète chiffrée de bout en bout apparaît. Vous avez aussi la possibilité de choisir la durée d’apparition de votre message grâce à l’icône minuteur. Vous pouvez laisser apparaître votre message pour seulement 5, 10 ou 30 secondes ou bien le laisser visible jusqu’à un jour après l’envoi.     NB : Facebook a annoncé ce 12 novembre l’arrivée du Vanish Mode sur Messenger, une fonctionnalité qui permet d’envoyer des messages éphémères à ses contacts. Le groupe a ainsi indiqué : « parfois, un message est spontané, quelque chose que vous souhaitez dire sur le moment sans vous soucier qu’il reste ». Une fonctionnalité qui permettrait de mieux protéger la vie privée des utilisateurs. Source : BDM

Internet haut débit : le Cameroun et la Guinée équatoriale connectés au Gabon par une fibre optique de 528 km

  L’Agence gabonaise des infrastructures numériques et des fréquences (Aninf) annonce ce 18 novembre, la fin des travaux d’extension de 528 km de fibre optique reliant Bouée au nord du Gabon à des interconnexions physiques au Cameroun et la Guinée équatoriale en passant par Bitam & Oyan-Bifoun-Lambarene. C’est dans le cadre du projet Central Africa Backbone (CAB4). L’Aninf indique la prochaine étape du CAB4 sera la mise en service opérationnelle de la liaison qui permettra aux populations des villes gabonaises et des deux autres pays de bénéficier d’une bonne qualité des services Internet à haut débit. À cet effet, le projet d’interconnexion du Cameroun avec ses voisins de la sous-région par la fibre optique a été inscrit dans les 11 projets intégrateurs que la Communauté a présentés lors d’un tour de table, les 16 et 17 novembre, à Paris en France. Le CAB4 permettra d’interconnecter les pays membres de la Cemac dans un réseau de télécommunications haut débit comme recommandé par les chefs d’État de la sous-région depuis 2016. Ce projet est conçu en vue d’accroître en capacité, en qualité et a des tarifs compétitifs l’offre de services des télécommunications dans l’espace communautaire. Les principaux bailleurs de fonds sont la Banque africaine de développement et la Banque mondiale. Source : investiraucameroun.com

Windows 10, Office, Defender… : Microsoft corrige 112 failles de sécurité dans ses produits

  Windows 10, Microsoft Office, Windows Defender et de nombreux autres logiciels Microsoft bénéficient du Patch Tuesday du mois de novembre 2020. En tout plus de 112 failles de sécurité, dont 17 sont considérées comme critiques, ont été corrigées via le correctif. Microsoft vient de déployer des correctifs pour 112 failles de sécurité découvertes dans ses produits via le Patch Tuesday de novembre 2020. La mise à jour inclut une solution contre la faille zero-day particulièrement dangereuse découverte par Google Project Zero la semaine dernière. 17 des failles adressées par le Patch Tuesday de novembre sont considérées comme “critiques” c’est à dire particulièrement graves. 93 d’entre elles sont classées “Importantes” et deux sont de faible gravité. Ce qui porte tout de même le compte total au-delà de 110 après un Patch Tuesday d’octobre qui avait corrigé 87 failles. Microsoft explique que les bugs concernés par ce Patch Tuesday visent les produits suivants : ·         Microsoft Windows ·         Microsoft Office et Microsoft Office Services et Web Apps ·         Internet Explorer ·         Microsoft Edge (EdgeHTML) ·         Microsoft Edge (Chromium) ·         ChakraCore ·         Microsoft Exchange Server ·         Microsoft Dynamics ·         Microsoft Windows Codecs Library ·         Azure Sphere ·         Windows Defender ·         Microsoft Teams ·         Azure SDK ·         Azure DevOps ·         Visual Studio Microsoft corrige pas moins de 117 failles de sécurité dont 17 critiques La pire de ces failles de sécurité est sans conteste la faille CVE-2020-17087 qui écope d’un score CVSS de 7,8 (sur une échelle de 10). Il s’agit d’une faille de type dépassement de mémoire tampon (buffer overflow) qui peut permettre à un attaquant, en conjonction avec une autre faille de Google Chrome, d’exécuter du code arbitraire avec élévation de privilèges. En plus de ce Patch Tuesday, on note que Chrome bénéficie lui aussi d’une mise à jour pour adresser cette faille. Parmi les autres problèmes de sécurité on trouve un grand nombre de vulnérabilités de type exécution de code à distance (Remote Code Execution ou RCE) sur Exchange Server, Network File System, Microsoft Teams, ainsi que dans la plateforme de virtualisation Windows Hyper-V. Dans ces failles, la plus sévère semble être celle du Network File System (CVE-2020-17051) qui écope d’un score CVSS de 9,8. Microsoft relève néanmoins qu’en raison de la complexité d’une éventuelle attaque exploitant cette faille, sa sévérité réelle est plutôt basse. On peut également citer une corruption mémoire dans Microsoft Scripting Engine, Internet Explorer (CVE-2020-17053) et des failles d’exécution de code à distance dans la librairie de codecs HEVC. Pour le reste, Microsoft est plutôt discret quant à la manière dont les failles de ce Patch Tuesday pouvaient être exploitées, et leurs effets sur la machine. En raison de l’étendue et de la gravité des failles, il semble cependant indispensable de tenir votre machine à jour. Pour cela, sur Windows 10 : Allez dans Démarrer > Paramètres > Mises à jour et Sécurité > Windows Update Cliquez sur Vérifier les mises à jour La mise à jour sera proposée dès qu’elle est disponible sur votre machine. Source: Phonandroid

Google Drive va supprimer les fichiers des comptes inactifs depuis 2 ans

  Google Drive va supprimer les fichiers stockés par des comptes inactifs depuis plus de deux ans. Pour éviter que vos données ne soient effacées, Google demande aux utilisateurs de son service de se connecter régulièrement à leur compte.  Ce 11 novembre 2020, Google a annoncé plusieurs changements à la politique d’utilisation de ses services. Tout d’abord, la firme a annoncé la fin stockage gratuit et illimité sur son service Google Photos. Dès le 1er juin 2021, “les contenus en haute qualité ou en qualité express seront décomptés de l’espace de stockage de votre compte Google”. Sans surprise, Google conseille aux usagers d’opter pour un abonnement Google One. Dans un second temps, Google a évoqué le cas de Google Drive. Désormais, le géant de la recherche s’octroie le droit de supprimer les données stockées par des comptes inactifs depuis plus de 2 ans. “Si vous êtes inactif dans un ou plusieurs des services pendant deux ans (24 mois), Google peut supprimer le contenu du ou des services pour lesquels vous êtes inactif” met en garde Google dans un billet de blog. Même son de cloche si l’espace de stockage alloué à votre compte est rempli. Google conseille de vous connecter régulièrement à Drive Evidemment, Google s’engage à prévenir les utilisateurs de la suppression imminente de leurs fichiers. La firme promet d’avertir les utilisateurs “via les e-mails et les notifications” au moins trois mois avant les 2 années d’inactivité. De ce côté là, Google utilise une procédure similaire à celle de son “gestionnaire de compte inactif”, un service destiné à supprimer les données des utilisateurs décédés après un certain laps de temps. Pour éviter que vos fichiers ne soient supprimés par Google, la firme vous invite à vous connecter régulièrement à votre compte Google Drive. “Le moyen le plus simple de garder votre compte actif est de visiter régulièrement Google Drive via un navigateur web ou une application Google officielle” précise Google. Cette nouvelle politique entrera en vigueur le 1er juin 2021. Á partir de cette date, vous aurez 24 mois pour vous connecter à votre compte et éviter la disparition de vos fichiers stockés en ligne. Source : phonandroid.com

Google Photos : le stockage gratuit et illimité, c’est bientà´t terminé

  Le service de stockage de Google perd son principal intérêt : sa gratuité. Les utilisateurs ont six mois pour choisir s’ils souhaitent payer ou changer. Après cinq ans de stockage gratuit et illimité en « haute qualité », Google siffle la fin de la récré. Le très populaire Google Photos changera de formule le 1er juin 2021. Ses utilisateurs bénéficieront désormais d’un espace de stockage gratuit de 15 Go. Au-delà de cette limite, il faudra payer, tout simplement. En réalité, c’est d’un changement plus profond qu’il s’agit puisque cet espace restreint concerna également Gmail, et l’ensemble des documents stockés sur Drive. Dès le 1er juin, il faudra donc mettre la main au porte-monnaie pour acheter du stockage supplémentaire via Google One. Gmail et Drive aussi concernés En revanche, le service précise que toutes les photos stockées avant le changement de politique tarifaire, c’est-à-dire avant le 1er juin, ne seront pas décomptées de cette limite de 15 Go. Google annonce également qu’il supprimera les données stockées par des utilisateurs inactifs. Pour le géant de Mountain View, l’inactivité se traduit par une absence de connexion au cours des deux dernières années. Enfin, ces modifications ne concerneront pas les utilisateurs de Pixel, les smartphones de Google. En effet, pour ces privilégiés, le stockage restera gratuit et illimité même au-delà du 1er juin 2021. Google estime que pour 80% de ses utilisateurs, ce seuil de 15 Go ne devrait pas être atteint avant au moins trois ans. Et pour permettre à chacun d’estimer le temps qu’il lui faudra pour dépasser le cadre de son enveloppe de stockage gratuite, la société de Mountain View a mis en place un outil qui permet d’avoir un aperçu du stockage utilisé et de la durée estimée avant d’atteindre le seuil critique des 15 Go. source : 01net.com

Facebook va mettre sous surveillance certains groupes privés ou publics

  Pour limiter les fake news, le réseau social va scruter pendant deux mois la gestion des modérateurs et administrateurs de groupes détectés comme dangereux. Imposer une période de probation à certains groupes. C’est la dernière initiative de Facebook pour tenter de ralentir la diffusion de fausses informations. Comme le rapporte le Washington Post, si un groupe, public ou privé, a trop de messages violant les règles du réseau, ses administrateurs et modérateurs devront accepter manuellement chaque nouveau post. Deux mois de probation Cette étape supplémentaire restera en vigueur pendant 60 jours, sans aucun moyen de l’arrêter. Pendant ces deux mois, l’entreprise surveillera de près la façon dont ils gèrent les messages. Si l’expérience n’est pas probante, Facebook pourra décider de fermer complètement le groupe. Cette nouvelle exigence rend les administrateurs et modérateurs d’un groupe responsable du contenu partagé face au réseau social. « Protéger les gens » « Nous exigeons temporairement que les administrateurs et les modérateurs de certains groupes politiques et sociaux aux États-Unis approuvent tous les messages, dans le cas où les membres du groupe accumulent un certain nombre de violations des normes communautaires », a résumé un porte-parole de la société dans les colonnes du Washington Post. L’objectif ? « Protéger les gens pendant cette période sans précédent. » Cette probation inédite fait suite à la suppression, jeudi 5 novembre, du groupe « STOP THE STEAL » aux 360 000 membres, relayant de fausses informations au sujet du dernier décompte électoral. Pour les membres du groupe, les Démocrates étaient en train de « voler » l’élection à Donald Trump. Facebook a déclaré avoir retiré le groupe en raison des « appels inquiétants à la violence » et des tentatives de délégitimer le scrutin.     Source : 01net

Le Cameroun prépare un dispositif informatique pour lutter contre les micmacs autour de l’assurance automobile

  Le ministère des Finances (Minfi) a récemment autorisé la mise en place par la société camerounaise Sprint-Pay d’un dispositif de contrôle dématérialisé de la branche assurance automobile au Cameroun. Selon nos informations, la présentation de cet outil de travail en ligne a été faite à l’ensemble du personnel de la direction des assurances du Minfi, le 19 mars 2020. Une autre séance de travail, tenue le 15 juin 2020, a permis de valider certains modules complémentaires pour permettre un arrimage facilité avec l’ensemble des systèmes d’informations des compagnies d’assurances. Concrètement, apprend-on, il va s’agir, pour la direction des assurances, à partir de cet outil domicilié dans son site web, de suivre et de contrôler plusieurs paramètres pour chaque attestation d’assurance émise. Il s’agit du nom du souscripteur, du lieu et de la date de souscription, de l’intermédiaire émetteur de la police, des types et catégories de véhicules, de la période de couverture, du tarif appliqué, des impôts prélevés (TVA), du droit de timbre automobile prélevé, du numéro de l’attestation délivrée, de l’accident enregistré, de l’adversaire, des victimes, de la provision constituée… Plusieurs entrées permettront de naviguer dans ce logiciel. Les services fiscaux, les forces de maintien de l’ordre et les contrôles Cima pourront y prélever les informations concourant à l’assainissement de chacun des paramètres à leur charge respective. Les terminaux de police mobile pourront par exemple permettre un contrôle automatisé de la réalité de la couverture d’assurance. Les résultats attendus sont nombreux. Il s’agit de : l’expurgation de la gangrène « sous-tarification automobile » qui ne permet pas de collecter les primes suffisantes pour régler les sinistres ; d’une amélioration significative du chiffre d’affaires automobile collecté, de l’amélioration de la TVA collectée et du droit de timbre automobile, du contrôle exhaustif et instantané du tarif appliqué ; de l’identification de toutes les victimes et la possibilité de les contacter directement ; du suivi en ligne et individuel du règlement de chaque victime d’accident. Sans oublier une évaluation instantanée des provisions de sinistres constituées par chaque compagnie sur la branche. Source : investiraucameroun.com

PS5 : Sony confirme la vente exclusivement en ligne, pas de console en magasins

  La sortie de la PS5, prévue le 12 novembre aux États-Unis et au Japon, approche à grands pas. À ce sujet, Sony vient de confirmer qu’aucune PS5 ne sera disponible en magasin le jour du lancement. La console sera uniquement disponible sur les sites des revendeurs partenaires. Sur le Playstation Blog, le constructeur confirme qu’aucune console ne sera disponible en magasins, et ce dans toutes les régions du monde, afin “d’assurer la sécurité des joueurs, de nos détaillants et de notre personnel face au Covid-19″. L’entreprise nippone poursuit : “Ne prévoyez pas de camper ou de faire la queue chez votre revendeur local le jour du lancement dans l’espoir de trouver une console PS5 à acheter. Soyez prudent, restez chez vous et passez votre commande en ligne”. Dans sa déclaration, le constructeur assure que les précommandes pourront être récupérées en temps et en heure le jour J, ajoutant que les conditions de retrait doivent être examinées avec les revendeurs. Certaines entreprises comme la Fnac, Micromania ou Amazon ont d’ores et déjà commencé à contacter leurs clients. Pour l’heure, la PS5 est toujours en rupture de stock. Il faut toutefois garder espoir pour ceux qui aimeraient se procurer la console en cette fin d’année. Il est possible que les revendeurs soient réapprovisionnés, notamment au lancement. Source: Sony

Concours : cinquième édition du Challenge App Afrique organisé par France24 et RFI

  Le Challenge App Afrique, qui est à sa cinquième édition est un concours visant à soutenir le développement d’applications numériques dans le domaine des Technologies de l’Information et de la Communication (TIC) pour lutter contre les épidémies. Après une première pré-sélection de 20 candidats, une seconde sélection au sein de ce groupe de présélectionnés permettra au 10 participants finalistes de présenter au jury une preuve de concept (POC), ou une démonstration de faisabilité. Le gagnant se verra financer le développement de son application, dans le cadre de ce qui est défini dans le règlement.  Ce concours est l’occasion pour les candidats de bénéficier d’une visibilité et d’opportunités commerciales au niveau international. Il fait l’objet d’un règlement spécifique et n’est soumis à aucune obligation d’achat ni à aucun frais de gestion de dossier. La compétition a pour vocation d’encourager et soutenir l’innovation en stimulant et accompagnant les start-ups et développeurs africains, et de favoriser l’intégration des TIC dans la lutte contre les épidémies. Il vise également à valoriser les compétences des développeurs locaux africains dans les pays africains francophones. Le service proposé devra être en français. Ressources mises à disposition des candidats: L’émission Priorité Santé L’émission Tech 24 Le règlement du concours est disponible ici: https://appafrique.rfi.fr/fr/reglement Le 15 Novembre est la date limite de participation : participer ici

Ouverture du concours African App Launchpad pour les créateurs d’applications et de jeux

  La compétition African App Launchpad est ouverte pour récompenser les meilleures start-up africaines spécialisées dans la création d’applications et de jeux. L’objectif est d’atteindre 10 000 entrepreneurs et de soutenir 100 start-up. L’ITIDA (IT Industry Development Agency) du ministère égyptien des TIC, en collaboration avec Microsoft et Grindstone Africa, a lancé le concours African App Launchpad pour récompenser les start-up africaines qui se concentrent sur le développement d’applications et de jeux. L’objectif est d’atteindre 10 000 entrepreneurs et de soutenir 100 start-up. Pour participer au concours, les start-up doivent être en activité depuis au moins 2 ans. Les équipes doivent être composées de deux membres au minimum, et posséder un prototype fonctionnel. En ce qui concerne les étudiants, ils doivent être diplômés de l’enseignement supérieur avant 2021, et ceux non spécialisés dans les TIC ou qui n’ont pas encore le niveau, peuvent s’inscrire à des cours d’initiation. Les 3 premiers gagnants recevront respectivement 12 000, 8 000 et 4 000 dollars. Les autres finalistes remporteront 1 000 dollars chacun. Un accès à une plateforme d’apprentissage sera proposé en ligne par les universités et les grandes entreprises, ainsi qu’un programme de mise sur le marché de Microsoft, dans lequel les start-up interagiront avec les réseaux Microsoft Network Africa et auront la possibilité de développer leur activité. Les pays participant à cette compétition sont l’Égypte, l’Ouganda, le Rwanda, le Togo, l’Afrique du Sud, le Ghana, la République démocratique du Congo, la Mauritanie, le Cameroun, le Malawi, Madagascar, la Côte d’Ivoire, l’Angola, le Tchad, le Rwanda, le Sénégal, la Gambie, le Niger, la Namibie, le Nigeria et les Comores. Les candidats seront jugés sur la base des critères suivants : l’innovation et la créativité, le modèle économique, le design de l’application et les compétences de l’équipe. Les projets des équipes ou des start-up doivent être fournis avant le 22 novembre, et les finalistes seront annoncés le 30 novembre 2020. Pour postuler, cliquez ici. source : Agence Ecofin

Malgré les 10 milliards de dollars versés à  Apple par Google en 2020, Apple développe son propre moteur de recherche

  Actuellement, un concurrent de taille s’attaque à Google sur son terrain de prédilection qu’est la recherche sur Internet. C’est Apple. La marque à la pomme dispose de moyens techniques, financiers et humains, pour mettre au point un moteur de recherche capable de concurrencer valablement celui de Google. En effet, l’iOS 14, la dernière version du système d’exploitation d’Apple installé sur les iPhone lancé en octobre 2020 peut désormais réaliser des recherches sans avoir à passer par Google qui était le moteur de recherche par défaut d’Apple. Cette évolution montre qu’Apple est décidé à développer une alternative au moteur de recherche de Google. Les dirigeants d’Apple ont recruté il y a quelques années des spécialistes en intelligence artificielle pour développer un outil  qui va se positionner sur le marché et concurrencer Google sur son terminal iPhone. En avril 2018, Apple avait débauché John Giannandrea, le responsable de la recherche chez Google. Il était question à travers cette embauche de booster les recherches d’Apple dans le domaine de l’intelligence artificielle et de l’aider à améliorer son assistant vocal Siri. Aujourd’hui, ce recrutement dévoile l’intention et la stratégie d’Apple. Google et Apple sont concurrents sur de nombreux marchés, parmi lesquels des systèmes d’exploitation pour téléphones (Android et iOS). Mais pour les services de recherche, depuis 2014, Apple verse à Google un montant considérable pour assurer être le moteur de recherche par défaut des terminaux Apple. Ce montant qui était d’un milliard de dollars par an en 2014 se situerait en 2020 autour des 10 milliards de dollars Us. Iphone, Ipad, Mac  sont des technologies d’Apple et grâce aux milliards déboursés, Google s’octroie la primauté d’être l’unique moteur de recherche par défaut sur les produits Apple. Selon le DOJ, le département américain de la Justice, près de la moitié du trafic de recherche de Google provient désormais d’appareils Apple, et la perspective de perdre l’accord avec Apple aurait été décrite en interne comme un scénario de “code rouge” au sein de l’entreprise, rapporte des médias spécialisés comme developpez.com. Car lorsque les utilisateurs de l’iPhone effectuent des recherches sur Google, ils voient les annonces de recherche qui font tourner l’activité de Google. Il faut noter qu’en octobre 2020, le département américain de la Justice, avait déposé une plainte contre Google, l’accusant d’utiliser des pratiques illégales pour protéger son monopole sur le marché de la recherche. Google le ferait en concluant des accords avec de grandes enseignes, des contrats exclusifs lui permettant d’étouffer la concurrence. Notamment en étant le moteur de recherche par défaut sur les terminaux mobiles. Ce qui lui permet, d’après les experts, de contrôler Internet depuis plus de 15 ans. C’est également pour cela qu’Apple pourrait justifier le lancement de son moteur de recherche.  Depuis plusieurs années, Google est le leader incontesté des moteurs de recherche. Selon les statistiques du géant américain, chaque seconde, ce sont 65.000 recherches  qui sont faites sur Google par des internautes du monde entier. En matière de ratio, cela fait 2000 milliards de requêtes annuelles soit 5.5 milliards de recherches Google par jour. Les chiffres sont tout simplement astronomiques et montrent à quel point Google règne sans partage sur l’industrie des moteurs à recherche. Les concurrents sont pourtant là, mais techniquement il est très difficile pour eux de s’aligner sur les moyens colossaux de la firme américaine.     Source : digitalbusiness.africa

La camerounaise Adwa et la Gabonaise Fedha s’associent pour lancer la 1ère banque 100% digitale en Afrique centrale

  En marge de la 3ème édition du Douala Fintech Tour, qui se déroulera du 05 au 06 novembre 2020 dans les locaux du Cercle municipal de Douala, au quartier Bonanjo, dans la capitale économique camerounaise, la start-up locale Adwa, promotrice de la solution de paiement AdwaPay, annonce la signature d’une convention de partenariat avec sa consœur gabonaise Fedha. Cette convention, selon ses promoteurs, vise trois objectifs principaux, au cours des cinq prochaines années. A savoir : Digitaliser et monétiser 10 000 entreprises de la sous-région Afrique centrale ; Soumissionner en tandem aux appels d’offres pour des solutions fintechs auprès des grandes entreprises et organisations en Afrique ; Et développer une banque 100% digitale pour la sous-région Afrique centrale, apprend-on officiellement. « La sous-région Afrique centrale, avec plus de 70% de la population exclue du système bancaire pourra, grâce à ce nouveau partenariat, faciliter l’accès aux services financiers à ces hommes et femmes dynamiques qui ne demandent qu’à contribuer au développement de notre continent », soulignent les deux partenaires dans un communiqué officiel. Pour rappel, Adwa et Fedha sont tous deux leaders de leurs marchés domestiques, et ont fait de l’inclusion financière leur principal cheval de bataille. Cette fois-ci, ils uniront leur force et expérience acquises au Gabon et au Cameroun, apprend-on, pour booster l’accès aux services financiers sur le continent africain. Source : investiraucameroun

Android : Google révèle ce qu’une application doit éviter pour rester sur son Play Store

  Google vient de livrer sa liste des écueils à éviter pour qu’une application continue à demeurer sur son Play Store. A méditer pour les développeurs d’applications mobiles sur Android. Avis aux développeurs d’applications mobiles sur Android. Google vient de dévoiler les quatre principales raisons qui pourraient pousser le géant américain à suspendre une application de sa boutique Google Play. Sans oublier de mettre en ligne un cours destiné à enseigner aux développeurs comment éviter d’en être expulsés La suppression d’applications rend la vie difficile aux développeurs d’applications, c’est pourquoi Google a souligné les « erreurs » courantes que les développeurs commettent, afin de les aider à éviter que leurs comptes ne soient bloqués par le grand gardien. Google a publié ses recommandations à l’occasion de la publication de sa nouvelle politique de programme pour les développeurs, qui est entrée en vigueur le 21 octobre. Les applications avec des boutons et des menus qui renvoient à des pages en dehors du Play Store sont particulièrement préoccupantes. Ces liens renvoient soit à des applications du même développeur, soit à d’autres applications qui peuvent être affiliées au développeur, mais qui ne sont pas clairement étiquetées comme des annonces ou des liens promotionnels. Un magasin d’applications très fourni « Sans cette clarté, les applications peuvent être soupçonnées de contenir des publicités trompeuses ou déguisées. L’un des moyens d’éviter de telles erreurs consiste à les signaler explicitement en étiquetant les boutons et les liens comme « Plus d’applications », « Plus de jeux », « Explorez », « Découvrez nos autres applications », alerte Andrew Ahn, chef de produit pour Google Play App Safety. Google communique ce conseil en partant du principe que les développeurs ne font que commettre des erreurs qui violent ses règles plutôt que de s’adonner à des pratiques malveillantes. Outre ces liens déguisés, Google s’attaque également aux mots-clés abusifs, qui permettent aux développeurs de mettre davantage en valeur leur application dans le magasin très fourni d’Android, qui compterait selon Statista 2,7 millions d’applications, contre 1,8 million sur l’App Store d’Apple. Les blocs de texte et les listes comportant des descriptions répétitives ou des mots sans rapport avec l’application violent la politique de listage et de promotion de la boutique de Google. « Rédiger une description claire de l’application, destinée et optimisée pour la lisibilité et la compréhension de l’utilisateur, est l’un des meilleurs moyens d’éviter cette violation », souligne Andrew Ahn. Source : zdnet.fr

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