La digitalisation de l’état civil à  Madagascar suit son chemin

Antananarivo, 5 Juillet 2023 – Le projet de mise en place de l’identifiant unique des citoyens à Madagascar suit son chemin. D’après Andry Rajoelina le projet qui entre dans le cadre de la réforme de l’état civil intégrera la reconnaissance faciale. “On scannera seulement le visage et toutes les informations concernant la personne seront connu, ou on tapera uniquement son nom et toutes les informations s’afficheront”, indique le président de la République lors de son discours d’ouverture de l’atelier de validation du plan national de décentralisation émergente qui s’est tenu à Ivato mardi dernier. La digitalisation de l’état civil, à travers la mise en place de l’identifiant unique à Madagascar, est incontournable aujourd’hui insiste Andry Rajoelina. L’objectif est que tous les Malgaches puissent jouir de leurs droits en tant que citoyen. “Chaque Malgache recevra cet identifiant unique à la naissance. Cela définit qu’il est un citoyen” explique le Président. “Il y a beaucoup de citoyens physique mais qui n’ont pas d’existence légale, et qui n’ont pas de carte nationale d’identité et ne peuvent ainsi pas jouir de leur droit”, souligne-t-il.     La mise en place du projet l’identifiant unique est pilotée par le projet de gouvernance digitale et de gestion de l’identité ou le programme Prodigy et l’Unité de gouvernance digitale (UGD). Le projet lancé en 2019 vise, à court terme, d’ici trois ans, de fournir l’identifiant unique au moins à cinq millions de malgaches. L’identifiant unique, fourni à la naissance, ne permettra pas uniquement de fournir plus facilement un identifiant aux Malgaches. Il vise aussi à faciliter l’administration publique. Source : 2424.mg

Les créateurs de contenu et les marques seront davantage valorisés grà¢ce au défi créatif de Tik Tok

La communauté Tik Tok, qui s’agrandit de jour en jour aura de quoi se réjouir pendant un long moment, avec la nouveauté de l’heure, le « Creative Challenge ». Avec ce nouveau défi, les possibilités de monétisation sont plus souples et accessibles au public. Les créateurs de contenu sont particulièrement mis en avant dans la mesure où à travers leur contenu (vidéo) ils inspirent les marques, engagent le public et impulsent les dernières tendances. « Afin de reconnaître et de récompenser les créateurs pour leur créativité et d’accroître la valeur de leur contenu, nous lançons le TikTok Creative Challenge », peut-on lire sur le site officiel du réseau social.   Ce défi permet aux créateurs de participer aux défis lancés par les marques et de soumettre leurs vidéos en vue d’une collaboration rémunérée. Les soumissions doivent respecter les règles du défi, être de haute qualité et originales. Une fois qu’elles sont approuvées, les créateurs peuvent consulter leurs performances et vérifier leurs gains mensuels. Les critères de récompense sont le nombre de visionnages de vidéos qualifiées, de clics et de conversions entre autres. Seule condition primaire : pour participer au défi créatif et bénéficier du programme de mentorat, les créateurs doivent être âgés d’au moins 18 ans et posséder un compte basé aux États-Unis avec un minimum de 50 000 followers. Pour recevoir plus de détails sur comment monétiser vos contenus sur le réseau social, n’hésitez pas à visiter le portail des créateurs. Source : Tik Tok   Vanessa Ntoh

L’U.S. – West Africa Tech Challenge est lancé !

Le Tech Challenge États-Unis-Afrique de l’Ouest a pour objectif de soutenir le développement des technologies innovantes permettant de lutter contre la désinformation, la propagande et l’extrémisme violent en Afrique de l’Ouest. Il est parrainé par le Global Engagement Center du Département d’Etat américain, en partenariat avec l’Ambassade des Etats-Unis à Abidjan, le Ministère ivoirien de la Communication et de l’Economie Numérique, le Programme des Nations Unies pour le Développement, She Code Africa, Impact Hub Abidjan, et Becera. Prévu pour les 27 et 28 septembre 2023 à Abidjan (Côte d’Ivoire), le concours est ouvert aux organisations et experts technologiques ayant leur siège social en Afrique et non exclusivement à celles basées en Afrique de l’Ouest.     Les présélections vont se passer en deux étapes : 8 à 10 entreprises présenteront leur outil devant le jury et à un public fermé composé de membres du gouvernement ivoirien, de la société civile et du secteur privé. A l’issue de cette journée de démos, des discussions auront lieu sous forme de panels centrés sur les défis et perspectives. A la suite de la journée d’échanges, trois organisations seront retenues comme les lauréates du concours. Ces dernières bénéficieront de la somme de 250 000 USD. Pour participer au concours, vous devrez vous enregistrer au préalable pour recevoir les instructions de participation, via un formulaire disponible en anglais et en français. La date limite de dépôt des candidatures est le 16 juillet 2023 à 23h59 UTC. Source : Becera   Vanessa Ntoh

Digitalisation : le système de santé du Sénégal financé par la Banque Mondiale à  hauteur de 50 millions de dollars

Le Sénégal bénéficie d’une enveloppe de près de 50 millions de dollars de la Banque mondiale pour la numérisation de son système de santé. Ce financement vise à soutenir le Programme national de digitalisation du système de santé (PDSS) et permettra la construction, l’équipement et la connexion des établissements hospitaliers du pays. Le Dr Ibrahima Khaliloulah Dia, coordinateur de la Cellule de la carte sanitaire et sociale, a souligné l’importance de la santé digitale pour les patients, avec la possibilité de stocker leurs données médicales en ligne de manière sécurisée et de faciliter la coordination des soins. Ce projet s’inscrit dans le cadre plus large du Projet d’accélération de l’économie numérique du Sénégal (PAENS), financé à hauteur de 150 millions de dollars par la Banque mondiale. Depuis 2017, le Sénégal s’est engagé dans un processus de numérisation de son système de santé, et le projet de loi d’orientation sur la santé numérique a récemment été finalisé. Le pays compte numériser 1 500 postes de santé, 110 centres de santé et 40 hôpitaux, mais le financement actuel ne couvrira qu’une partie de ce vaste projet. Dans la phase de démarrage, 20 centres de santé seront concernés, et environ 1,5 million de patients, dont 50% de femmes, bénéficieront du dossier malade partagé (DPP).     La numérisation du système de santé vise à améliorer la gestion des données, la coordination des soins et l’accès aux services de santé, contribuant ainsi à renforcer le secteur de la santé au Sénégal. Ce financement de la Banque mondiale offre une opportunité importante pour le Sénégal de moderniser son système de santé grâce aux technologies numériques. Il s’agit d’une étape cruciale vers la transformation du secteur de la santé, permettant une meilleure gestion des données médicales, une coordination améliorée entre les établissements de santé et une plus grande accessibilité aux services de santé. La numérisation du système de santé favorisera une prise en charge plus efficace des patients et contribuera à renforcer les capacités du secteur de la santé dans le pays. Source : AITN

C’est la Pause pour l’application TousAntiCovid !

Le gouvernement français a annoncé la fin des mises à jour de la célèbre application mobile TousAntiCovid, dès ce 30 juin 2023. Cette application a été créée dans le cadre de la lutte contre l’épidémie liée au coronavirus en 2020. Après trois années d’existence marquées par des critiques et polémiques au sujet de la protection de la vie privée des utilisateurs, elle est « mise en pause » par le gouvernement français selon lequel les objectifs initiaux de l’application ont été remplis ». Ces objectifs initiaux, qui renvoient aux fonctionnalités de l’application, sont : la contribution aux activités de contact tracing, l’accompagnement des cas et des personnes contacts, la mise à disposition d’informations sur l’épidémie et les mesures de gestion, le stockage des certificats sanitaires.     Le contact tracing particulièrement est cette fonctionnalité qui permet de tracer une infection via la connexion bluetooth d’un smartphone à l’autre. Son utilité étant remise en cause par de nombreuses associations, celle-ci a été désactivée récemment notamment en janvier. Avec plus de 62,9 millions de téléchargements en février dernier, il va sans dire que l’application mobile a suscité l’engouement du public. Ce dernier pourra continuer de l’utiliser pour accéder à son carnet (personnel), stocker les certificats de test et/ou de vaccination. Pour suivre l’actualité sur la COVID-19, les sites internet du ministère de la Santé et de la Prévention et de Santé publique France restent ouverts au public. Source : ministère de la Santé et de la Prévention   Vanessa Ntoh  

Gabon: comment la filière bois contribue grandement à  l’économie nationale du Gabon

Le 20 juin à Libreville, le ministre des Eaux et Forêts a reçu le rapport d’une étude portant sur la contribution de la filière bois dans l’économie gabonaise. Réalisée par le cabinet de comptabilité Ernst and Young et le cabinet de réalisation d’études socioéconomiques Mays Mouissi Consulting, l’étude qui mesure l’impact dudit secteur sur le plan économique, fiscal et social de 2018 à 2022 met en lumière des avancées significatives. Le 20 juin, Lee White a reçu le rapport d’une étude portant sur la contribution de la filière bois dans l’économie gabonaise. Sur instructions du ministre des Eaux et forêts, de la mer, de l’environnement, chargé du plan climat et du plan d’affectation des terres, l’étude a été réalisée par le cabinet de comptabilité Ernst and Young et le Cabinet de réalisation d’études socioéconomiques Mays Mouissi Consulting, avec pour objectif de mesurer l’impact dudit secteur sur le plan économique fiscal et social de 2018 à 2022. Si un document officiel présenté lors du One Forest Summit montrait que la contribution du secteur bois au PIB a quadruplé entre 2010 et 2021, l’étude qui fait état de l’évolution de l’évolution de l’industrie de ce secteur sur 4 ans révèle que le secteur bois est désormais structuré autour de trois principaux types d’entreprises.     Notamment, les exploitants forestiers, les industries de transformation du bois opérant dans le périmètre d’une zone économique spéciale (ZES), et les industries de transformation du bois opérant en dehors des ZES. Sur le plan économique, l’étude qui a pris en compte la période 2014-2022 révèle que dans cet intervalle, le chiffre d’affaires de l’exploitation forestière a progressé de 231% passant de 28 milliards de francs CFA aÌ€ 93 milliards. À la clé, une progression du chiffre d’affaires de l’industrie forestière de 455 milliards de francs CFA (+292%) pour s’établir aÌ€ 611 milliards francs CFA en 2022 et une forte progression de 525% entre 2014 et 2022, du chiffre d’affaires réalisé sur le segment placage. Une progression à plusieurs niveaux Dans le détail, la production de placage est passée de 197 189 m3 en 2010 aÌ€ 589 181 m3 en 2022 (+191%). Entre 2018 et 2022, la production des usines de transformation de bois (UTB) installées dans la ZES de Nkok est passée de 135 710 m3, soit environ 35% de la production nationale de placage, aÌ€ 360 775 m3, soit 61% de la production nationale. Une hausse de 166% en 5 ans. Des facteurs qui ont permis au Gabon de se hisser en 2022, au 6e rang mondial des pays producteurs de feuilles de placage et au 1er rang en Afrique. Sur le plan fiscal, le secteur a permis aux impôts et à la douane gabonaise de recouvrir en 2022 un montant total de 36 884 millions de francs CFA contre 12,798 millions de francs CFA en 2018. L’on note sur le plan social, une progression de 49%, du nombre d’emplois dans le secteur sur une période un peu plus large allant de 2010 à 2022. Une dynamique portée par l’industrie forestière dont le nombre d’emplois s’est accru de 117% en passant de 4 095 emplois en 2010 aÌ€ 8 884 emplois en 2022. Autant d’éléments de l’étude qui font dire au ministère des Eaux et forêts que sur la période 2018-2022 «le secteur du bois a fortement participé à l’amélioration de l’économie gabonaise». Ce, après la décision du président Ali Bongo d’interdire l’exportation du bois sous forme de grumes. «Le Gabon est passé d’une économie basée sur l’exportation des matières premières brutes aÌ€ une économie favorisant la transformation locale du bois», soutient le ministère. Source : gabonreview.com

AVIS D’APPEL D’OFFRES NATIONAL DU 15.06.2023 RELATIF à€ LA FOURNITURE DU MATà‰RIEL INFORMATIQUE à€ LA CAISSE AUTONOME D’AMORTISSEMENT (CAA)

1.Objet Le Directeur General de la Caisse Autonome d’Amortissement (CAA) lance pour le compte de son organisme, un Appel d’Offres National Ouvert, en PROCÉDURE d’urgence, pour la fourniture du matériel  informatique à la CAA. 2.Consistance des prestations Les prestations objet du présent Appel d’Offres, comprennent  la fourniture et l’installation de treize (13) Ordinateurs professionnels.                        Les spécifications techniques de ces équipements sont détaillées dans la pièce N°5 (Descriptif de la fourniture) du présent DAO. 3.Cout Prévisionnel Le coût prévisionnel de l’opération à l’issue des études préalables est de dix neuf millions cinq cent mille  (19 500 000) Francs CFA TTC. 4.Participation et origine Le présent appel d’offres est ouvert à toute société ou entreprise de droit camerounais, spécialisée dans la fourniture des équipements et services informatiques. 5.Financement Les prestations objet du présent Appel d’Offres sont financées par le Budget d’investissement de la CAA, exercice 2022, sur la ligne d’imputation budgétaire 244 000 200 « MATERIEL INFORMATIQUE». 6.Consultation du Dossier Le dossier du présent Appel d’Offres peut être consulté aux heures ouvrables au Service des Marchés (SM) de la CAA situé au niveau – 1, porte S1.08 de son immeuble siège, boulevard du 20 Mai Yaoundé, Tel : 222 22 22 26/ 222 22 01 87, dès publication du présent avis ou dans les sites www.caa.cm, www.marchespublics.cm et www.armp.cm. MODE DE SOUMISSION : Le mode de soumission retenu pour cette consultation est : en ligne ou hors ligne.Pour toute assistance, bien vouloir contacter la Division des Systèmes Informatiques (DSI) du MINMAP qui est chargée de la Passation de Marchés en ligne. 7.Acquisition du Dossier Le dossier d’Appel d’Offres peut être obtenu Service des Marchés (SM) de la CAA situé au niveau – 1, porte S1.08 de son immeuble siège, boulevard du 20 Mai Yaoundé, Tel :222 22 22 26/222 22 01 87, sur présentation d’un reçu de versement en espèces d’une somme non remboursable de : quinze mille (15 000) F CFA, dans le compte N° 33 59 88 60001-94 ouvert au nom de l’ARMP dans les livres des différentes agences de la BICEC. Lors du retrait du dossier, les soumissionnaires devront se faire enregistrer en laissant leur adresse complète (boîte postale, téléphone, email). 8.Remises des offres Chaque offre rédigée en français ou en anglais devra faire l’objet d’une soumission en ligne au plus tard le 19.07.2023 à 14 heures précises, heure locale, (www.marchespublics.cm). Dans les mêmes délais, une copie de sauvegarde dudit dossier sur support électronique (USB, CD,…) sera déposée sous pli fermé au Service des Marchés de la CAA sise au premier sous-sol, porte S1.08 de son immeuble siège, boulevard du 20 Mai, Yaoundé.Tailles et format des fichiers :Les tailles maximales des documents qui vont transiter sur la plateforme et constituant l’offre du soumissionnaire sont les suivantes :5 MO pour l’Offre Administrative ;15 MO pour l’Offre Technique ; 5 MO pour l’Offre Financière.Les formats acceptés sont les suivants :Format PDF pour les documents textuels ;JPEG pour les images.Le candidat veillera à utiliser des logiciels de compression afin de réduire éventuellement la taille des fichiers à transmettre. Soumission hors ligne  Chaque offre rédigée en français ou en anglais, en sept (07) exemplaires dont un (01) original et six (06) copies marquées comme tels, devra parvenir à la Caisse Autonome d’Amortissement sis au premier sous-sol, porte S1.08 de l’immeuble siège de la CAA, boulevard du 20 mai à Yaoundé au plus tard le 19.07.2023 à 14 heures précises, heure locale, sous pli fermé. Passé ce délai, aucun pli ne sera accepté. Aucune offre régulièrement déposée ne peut être ni modifiée, ni retirée.Chaque offre devra porter la mention :AVIS D’APPEL D’OFFRES NATIONAL OUVERT EN PROCÉDURE D’URGENCE N°07729/AONO/PU/CAA/CIPM/2023 DU 15.06.2023 RELATIF À LA FOURNITURE DU MATÉRIEL INFORMATIQUE À LA CAISSE AUTONOME D’AMORTISSEMENT (CAA).  « À N’OUVRIR QU’EN SÉANCE DE DÉPOUILLEMENT ». 9.Delai de Livraison Le délai de livraison prévu par le Maître d’Ouvrage pour la fourniture de ce matériel objet du présent Appel d’Offres est de soixante (60) jours.Les fournitures seront livrées à la Caisse Autonome d’Amortissement sise au boulevard du 20 Mai.     10.Cautionnement Provisoire Chaque soumissionnaire doit joindre à ses pièces administratives, une caution de soumission établie par une banque de premier ordre agréée par le Ministre chargé des finances et dont la liste figure dans la pièce 12 du DAO ou un organisme financier, d’ un montant de FCFA trois cent quatre-vingt-dix mille (390 000), valable pendant trente (30) jours au-delà de la date de validité des offres. 11.Recevabilité des Offres Sous  peine  de  rejet, les pièces  du dossier administratif requises doivent être produites en originaux ou en  copies certifiées conformes par le service   émetteur ou l’autorité administrative compétente,  conformément  aux  stipulations du Règlement Particulier de l’Appel d’Offres. Elles doivent dater de moins de trois (03) mois ou avoir  été  établies  postérieurement  à  la  date  de signature  de l’avis d’appel d’offres. Toute   offre   incomplète conformément   aux   prescriptions   du  Dossier  d’Appel  d’Offres  sera déclarée  irrecevable. Notamment l’absence  de  la caution de soumission délivrée par une banque de premier  ordre  agréée  par  le  Ministre  chargé  des finances ou le non-respect des modèles des pièces du  Dossier  d’Appel  d’Offres,  entraînera  le  rejet  pur et simple de l’offre. 12.Ouverture des Plis L’ouverture des plis sera effectuée en un (01) temps par la Commission Interne de Passation des Marchés de la CAA (CIPM-CAA) siégeant dans sa salle de conférences sise au 5ème étage immeuble CAA, le 19.07.2023 à 15 heures, heure locale.Seuls les soumissionnaires peuvent assister à cette séance d’ouverture ou s’y faire représenter par une personne de leur choix dûment mandatée. 13.Critères d’évaluation Critères éliminatoires –  Absence ou non-conformité d’une pièce administrative après 48 heures à compter de la date d’ouverture des plis ;–  Absence de la caution de soumission ;–  Fausse déclaration ou falsification des Pièces ;–  Absence du prospectus–  Score technique inférieur à 80% de « OUI »  ;–  Non-conformité aux spécifications techniques majeures de la fourniture ;–  Absence de l’autorisation du fabriquant valide ;–  Absence de certificat de conformité délivré par le fabricant ;–  Non-respect du format : format PDF pour les documents textuels et JPEG pour les images.Critères essentiels              L’évaluation des offres techniques se fera selon le système binaire (oui/non), sur

Exploitation illégale du bois au Cameroun : le MINFOF intensifie les opérations de contrà´le

Le ministre des forets et de la faune a pris une mesure récente dans le cadre de la lutte contre l’exploitation illégale du bois. Dans sa correspondance datée du 13 juin dernier, le ministre Jules Doret Ndongo instruit à ses collaborateurs d’ « accentuer les activités de contrôle et de saisir tous produits forestiers indûment récoltés en circulation sur le territoire national ». Cette décision fait suite aux informations reçues selon lesquelles des produits forestiers de source informelle circulent en grande quantité sur le territoire camerounais en toute impunité. Les produits forestiers en question proviennent de la coupe non autorisée du bois à laquelle s’adonnent de nombreux acteurs de la chaine forestière dans l’ombre. Ces derniers utiliseraient des documents de transport contrefaits (lettres de voiture, carnets de chantier DF10) pour acheminer les grumes vers le marché noir sans avoir à payer les taxes forestières.     Selon une publication de l’Organisation des Nations Unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO, septembre 2020), l’on apprend que 73% du volume de bois mis en circulation dans le marché intérieur est d’origine illégale, et l’on estime à 27% la proportion provenant de sources légales. Ces chiffres ont été confirmés par le CIFOR (Centre de recherche forestière internationale) qui travaille en étroite collaboration avec le ministère des forets et de la faune. Lire aussi : Le projet « Appui aux processus APV-FLEGT au Vietnam, au Laos et au Cameroun » : origine et enjeux D’où l’intérêt de mettre en place un système de traçabilité de bois plus efficace qui va permettre à l’Etat d’avoir une vue plus nette des activités menées par les exploitants forestiers toutes branches confondues (sociétés privées, forets communautaires). Ce système permettrait également de réduire la marge des opérateurs véreux étant donné que le SIGIF 2, en place jusqu’ici, n’a pas induit des résultats satisfaisants dans ce sens. Source : Investir au Cameroun   Vanessa Ntoh

Appel à  manifestation d’intérêt Cameroun-CAFI

Dans le cadre du Partenariat CAFI-Cameroun, le Ministère de l’Economie, de la Planification et de l’Aménagement du Territoire du Cameroun (MINEPAT) et CAFI (Fonds Fiduciaire de l’Initiative pour la Foret d’Afrique Centrale) lancent un Appel à Manifestation d’Intérêt (AMI) pour sélectionner les organismes de mise en œuvre de trois projets pré-identifiés de la phase de démarrage du Partenariat CAFI-Cameroun. En quoi consiste cette phase de démarrage ? C’est la phase pilote d’une durée de 3 ans, (2023-2026), elle comporte quatre projets dont trois sont ouverts au présent AMI :     – Projet de gestion intégrée du paysage prioritaire du Grand Mbam qui sera mis en œuvre afin de renforcer les capacités décentralisées pour : l’aménagement du territoire et la gouvernance des ressources naturelles, – Projet d’aménagement du territoire qui consolidera et renforcera les travaux en cours de plusieurs ministères soutenus notamment par la Coopération Allemande et l’Union européenne sur la planification participative de l’aménagement du territoire, la cartographie et le suivi de l’utilisation des terres et du changement d’affectation des terres, – Programme pilote d’appui à l’intensification durable de l’agriculture et la transition agroécologique qui permettra de concevoir et de déployer un mécanisme d’appui direct aux producteurs au travers du « Fonds de développement des filières Cacao et Café ». Les organismes de mise en œuvre retenus à l’issue de cet appel à manifestation d’intérêt seront invités à préparer des documents de projets complets et conformes aux attentes du CAFI et du Cameroun avant leur mise en œuvre effective sur le terrain. Critères d’éligibilité au projet  Le présent AMI est ouvert aux entités suivantes : Les Agences du Système des Nations Unies et la Banque Mondiale ; Les Organisations éligibles Non-Nations-Unies (NONUs) suivantes : Les Organisations de Coopération Internationale (par exemple KFW, Enabel, AFD,GIZ, USAID, JICA, SNV, etc.) ; Les Organisations Non Gouvernementales Internationales (ONGI) ou les instituts de recherche internationaux (à but non lucratif), à condition qu’ils/elles remplissent les critères suivants : – Avoir un accord de collaboration avec le Cameroun, ou être en voie d’obtenir cet accord ou s’engager à l’obtenir car en mesure de présenter toutes les caractéristiques requises pour ce faire ; – Avoir porté des projets dont le coût total est d’au moins 6 à 10 millions USD au Cameroun ou dans la région du Bassin du Congo sur les 5 dernières années (correspondant au montant estimé du budget du projet considéré par le soumissionnaire cf. Annexe 1). Une expérience équivalente dans d’autres régions tropicales pourra également être considérée. Une session d’information ouverte aux participants s’est tenue le 8 juin dernier, et les réponses aux questions posées sont disponibles sur le site du CAFI : www.cafi.org. La date limite de réception des notes d’expression d’intérêt est le 23 juin 2023, 17h00 GMT. Source : pfbc-cbfp   Vanessa Ntoh

Le programme d’innovation ARM Labs 5.0 est ouvert jusqu’au 15 juin 2023 !

ARM, un acteur clé du secteur de l’investissement au Nigeria a annoncé l’ouverture des candidatures pour « l’ARM Labs Innovation Program », son programme de soutien intensif destiné aux start-up nigérianes dans le but d’améliorer leurs produits, d’étendre leur marché et de renforcer les compétences de leur équipe pour augmenter leurs chances de réussite. Pour la 5e cohorte, le programme d’innovation accueillera les start-up FinTech, PenTech (technologies des pensions de retraite), Data Intelligence et Digital Trade. Les candidatures sont ouvertes jusqu’au 15 juin à l’adresse : https://www.arm.com.ng/applications-are-now-open-for-arm-labs-innovation-program-5-0/ Source : Wearetech.africa

Fabric, la nouvelle solution analytique de Microsoft

Intégration, stockage, ingénierie, analyse en temps réel, outil de visualisation, Fabric, la nouvelle plateforme SaaS présentée par Microsoft permet de réaliser toutes les tâches afférentes au traitement et à l’analyse des données en bénéficiant des dernières avancées en matière d’intelligence artificielle Lors de Build 2023, la conférence annuelle de Microsoft qui s’est déroulée du 23 au 25 mai, l’intelligence articielle était partout, sans surprise et dans la continuité de son partenariat avec OpenAI. Le géant américain a notamment présenté aux développeurs « Microsoft Fabric », une infrastructure informatique multi-cloud regroupant différents outils liés à l’analyse de données, intégrant les dernières avancées de la société en matière d’IA. Une plateforme SaaS tout-en-un Le géant américain décrit son nouveau produit comme une plateforme SaaS unifiée permettant aux entreprises de réaliser toutes les charges de travail afférentes à l’analyse des données. Elle comprend des outils d’intégration, de stockage, une plateforme d’ingénierie des données, une plateforme d’analyse en temps réel, ainsi que Power BI, son outil de visualisation dont la dernière version a été améliorée par l’IA. Le tout est connecté à un seul et unique référentiel de données appelé OneLake. Il fonctionne avec la plateforme cloud de l’entreprise, Microsoft Azure, mais aussi avec Amazon S3. Google Cloud Storage devrait également être intégré « prochainement« . Copilot bientôt intégré pour assister les utilisateurs L’entreprise a assuré qu’elle intègrerait prochainement à la plateforme analytique Windows Copilot, son outil d’assistance alimenté par GPT, lui aussi présenté à l’occasion de Build 2023, pour simplifier l’expérience des utilisateurs. Microsoft explique que ces derniers pourront ainsi utiliser le langage naturel pour créer des flux et des pipelines de données, générer du code ou encore construire des modèles d’apprentissage automatique. Un seul produit et un seul fournisseur La plupart des entreprises ont besoin de plusieurs outils, parfois développés par différents fournisseurs, pour opérer leurs systèmes de données et d’analyse de données. Microsoft insiste sur le fait que Fabric pourrait alors faire économiser de l’argent aux clients, ce qui peut effectivement s’avérer important dans l’environnement économique actuel, qui force les entreprise à rationnaliser leurs coûts. La société a par ailleurs décidé de simplifier le modèle de tarification : il se concentre sur l’infrastructure informatique et s’articule autour d’une unité de calcul Fabric commune. Une gouvernance des données renforcée Microsoft tient à mettre l’accent sur un autre avantage : le fait que le système soit unifié permettrait de gérer plus facilement l’accès aux données et la gouvernance. Si un employé, qui dispose des droits d’accès adéquats, analyse des données confidentielles et les exporte, l’entreprise assure que le service veillera à ce que les documents créés avec ces données héritent des mêmes règles de confidentialité. Sur la base de ces règles, le logiciel cryptera automatiquement les fichiers de sorte que même s’ils fuitent, personne ne puisse y accéder. Une version preview de Fabric est actuellement disponible en avant-première publique, ce qui signifie que tout le monde peut tester gratuitement le service. À partir du 1er juillet, la plateforme devrait être officiellement activée pour tous les utilisateurs de Power BI. Source : L’Usine Digitale

Fintech : l’application web Wadivo sort du lot !

Wadivo est une application web client conçue pour aider les consommateurs africains à récupérer divers actifs en Afrique centrale et occidentale. Elle leur fournit des informations sur le marché, notamment dans les secteurs bancaire et des télécommunications. Comment fonctionne-t-elle ? Développée par la startup éponyme, elle défend les droits des consommateurs ou clients pris de manière individuelle. En s’inscrivant sur la plateforme et en acceptant les termes du contrat, le client donne le mandat à Wadivo de négocier auprès des banques le montant qu’il réclame. Par la suite, « en cas de succès dans la transaction ou si la banque paie le montant réclamé à la suite d’une décision de justice, le client recevra sur son compte le montant remboursé, et wadivo recevra la marge par virement bancaire sur son compte d’entreprise ». L’utilisation de Wadivo est gratuite ; la société est payée sur la base de la marge entre le montant réclamé et la somme remboursée. Pour sa phase expérimentale, l’application est lancée sur le territoire camerounais. En cas de réclamation, pour bénéficier des services proposés, vous devrez être client(e) d’une banque installée au Cameroun.     Ce qu’il faut savoir L’arrêté camerounais n° 000005/MINFI du 13 janvier 2011 portant institution du Service Bancaire Minimum Garanti stipule que la banque ne doit pas facturer au client de manière directe ou indirecte des frais de tenue de compte courant, pour des services tel que la délivrance des livrets d’épargne, la consultation du compte sur place, le virement de compte à compte entre autres. Cependant, sur le terrain ceci n’est pas le cas car de nombreuses banques facturent encore ces services à l’insu des consommateurs. La plateforme Wadivo intervient pour permettre à ces derniers de récupérer les fonds prélevés de façon arbitraire par les banques. Pour réclamer le remboursement des frais de tenue de compte indûment prélevés par votre banque de 2018 à 2020, vous devez vous inscrire sur la plateforme, et ensuite remplir le formulaire de réclamation. Les éléments à fournir sont : le nom de la banque, le montant de la facturation mensuelle, un justificatif de facturation comme une page d’un relevé bancaire issu de la période concernée. La date de clôture des inscriptions est le 15 juillet 2023. Besoin d’une application web performante ? N’hésitez pas à nous contacter. Sources : MINFI, WADIVO   Vanessa Ntoh

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